It was the weekend of the Fources flower show; the whole village is turned into a riot of colour, the scents of rose and lemon flowers perfume the air and there are stalls selling garden furniture and sculptures of every description. The men of the village organise the parking in the surrounding fields, the women serve lunch, then later on, dinner, to the thousands of visitors who descend for the weekend, and the young people push barrows full of purchases to the cars of those who have bought more than they can possibly carry.
As most of our garden is more of a weed infested field than anything to be proud of, we went just to look, to get ideas for next year, but not to buy much – famous last words; by the time we’d made numerous trips back to the car with our various purchases, the car was full. A lime tree, a climbing rose, a mock orange, phlox, osteospermum, geraniums, to name but a few; the car smelt wonderful. But the one plant we were looking for, that we’d seen in a garden in Caupenne last week but didn’t know the name of, we couldn’t find.
So this morning, I went for a walk that took me past the house where we’d seen the mystery plant. I knocked on the door and explained to the man, who turned out to be the gardener of the household; he was delighted to tell me the plant is an abutilon, and if I go back in August, he’ll give me a rooted cutting of it.
The French Superbikes Championship was being held at the circuit this weekend, so I found a suitable vantage point from which to watch for a few minutes as first motorbikes with sidecars and then those without raced around the track. I was a bit too far away to get good photos, but it always amazes me the way they lean the bikes around the bends without falling off. Fortunately, they’d finished for the day when the sky turned black and thunder started to rumble before the rain started to pour; I hope the exhibitors at Fources didn’t get caught in it.
C’était le week-end du marché aux fleurs à Fources; tout le village est transformé en une débauche de couleurs, les senteurs de rose et de citron fleurs parfument l’air et il y a aussi des stands qui vendent des meubles de jardin et sculptures de toutes sortes. Les hommes du village organise le parking dans les champs autour du village, les femmes servent le déjeuner, puis un plus tard, le dîner, aux milliers de visiteurs qui descendent pour le week-end, et les jeunes gens pousser des brouettes complètes des achats aux voitures de ceux qui ont acheté plus qu’ils peuvent porter.
Comme la plupart de notre jardin est plus d’un champ infesté de mauvaises herbes que beau jardin, nous sommes y allés juste pour regarder, pour obtenir des idées pour l’année prochaine, mais ne pas acheter beaucoup – derniers mots célèbres; quand nous sommes alls plusieurs fois à la voiture avec nos divers achats, elle était pleine. Un arbre citron vert, un rosier grimpant, un philadelphus, des phlox, des osteospermum, des géraniums; la voiture sentait merveilleux. Mais la seule plante que., nous cherchions, que nous avions vu dans un jardin à Caupenne la semaine dernière mais dont nous ne savions pas le nom, nous ne pouvions pas trouver.
Donc ce matin, je suis allée me promener vers la maison où nous l’avions vu. J’ai frappé à la porte et a expliqué à l’homme; il etait ravi de me dire que la plante est un Abutilon, et si je retourne en août, il me donnera une bouture enracinée de celui-ci.
C’etait le Championnat Superbike français sur le circuit ce week-end, donc j’ai trouvé un point de vue à partir duquel je pouvais regarder pendant quelques minutes, premières des motos avec side-cars (désolée – je ne peux pas trouver la traduction) et ensuite des motos ordinaires, qui ont couru autour de la piste. J’étais un peu trop loin pour prendre de bonnes photos, mais il m’étonne toujours de la façon dont ils penchent les motos autour des virages sans tomber. Heureusement, ils avaient fini pour la journée quand le ciel est devenu noir et le tonnerre a commencé à gronder avant que la pluie a commencé à verser; j’espère que les exposants à Fourcès ont fini avant que la pluie est arrivée.