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The start, Bordeaux
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Pujols
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A bit too posh for us
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Strawberry time
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Strawberry fields forever
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St Livrade sur Lot
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Tourette
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Sete
When the cycle club decided to ride the Bordeaux Sete 2015, Nick jumped at the chance, along with eight others. They would do it over 4 days, covering about 130km a day, over varied terrain, so he started training for it.
We left Nogaro at 4.30am on Wednesday in the black of night, arriving in Bordeaux in time for them to set off at 8o’clock. There was a slight panic when Nick, having put the car keys in “a safe place”, couldn’t remember exactly where that was, but they turned up after a few minutes’ frantic searching; he wasn’t allowed keys for the rest of the trip though! An hour’s riding from Bordeaux and the temperature was steadily climbing, reaching 33ºC by the afternoon, so everyone was delighted to arrive at the first hotel, to drink beer and head out for a good meal in a restaurant that had been recommended in the beautiful old village of Pujols.
We all sat down and started to tuck into the bowls of olives on the table, but when we tried to order, we were told that the €16.50 menu wasn’t available on the eve of a bank holiday and the cheapest one was nearly twice the price. I think they’d taken one look at our less-than-chic attire and decided we weren’t their sort of clientele. So we left, tummies rumbling and Nick managed to find the way to a place he and I had chanced upon a few months ago, where we had an excellent meal.
The weather on Thursday was perfect, not too hot, and the 142km passed without incident, but shortly after arriving at the hotel, the clouds started to move in. The following day was cold, wet and windy – the temperature had dropped from 33 to 9ºC in just two days! To add to the sombre mood, one of the riders heard that her father had died, so she and her husband had to abandon the ride. Everyone was soaked to the skin during the frequent squally showers, sometimes of large hailstones, which even washed the route markings off the road. They were all tired and relieved to arrive at the hotel that evening, having had 3 punctures to deal with in the course of the day.
The final day was the shortest, at 120km; it was dry and warm with a strong following wind helping them along. There was the option of riding up Mont St. Clair in Sete, but most of the riders were too tired, so only Nick did it – indefatigable to the end!
I’d only signed up for the trip as a passenger and to do a bit of navigating; it sounded like a pleasant few days off painting, but somehow I ended up living my worst nightmare; driving the main support vehicle, a van big enough to carry nine bikes and eleven people’s luggage. I like to think I’m fairly independent and able to stand my ground; however, in the company of two very feisty Frenchwomen, one my navigator and the other driving her own car, my plans to leave the riders at the start of each day and do some sightseeing, before meeting up at the hotel in the evening, soon fizzled out. Instead, I did as I was told and, against my better judgement, followed the cyclists’ route “in case we were needed”. That’s to say, I attempted to follow their route, though I think the satnav I was given last belonged to Noah and it soon became apparent that my navigator wasn’t exactly gifted in map reading. I dread to think how many extra miles we did, along tiny roads and through medieval villages where we had to move the wing mirrors in to get between the house walls. It didn’t help that on the final day, hopelessly lost, as was the norm, we asked an old man the way to Aiguesvives, only to be asked if we were aware that there were two villages of the same name within spitting distance; naturally, we were heading for the wrong one. At least we could have a laugh about it.
I did manage to take a few photos along the route, but I’d love to go back there to explore the area properly.
Quand le club de vélo a décidé de faire Bordeaux Sete 2015 , Nick voulait le faire et s’est inscrit, avec huit autres coureurs. Ils le feraient sur quatre jours, en faisant a peu pres 130 km chaque journée, sur un terrain varié.
Nous sommes partis de Nogaro à 04h30 le mercredi dans le noir, en arrivant à Bordeaux pour un départ à 8 heures. Il y avait une légère panique lorsque Nick, après avoir mis les clés de la voiture dans un «lieu sûr», ne pouvait pas se souvienir exactement où cela était, mais on les a trouvé après des recherches frénétique de quelques minutes; on ne lui a pas donné des clés pour la reste du voyage! Une heure apres partir de Bordeaux la température avait augmenté, atteignant 33°C pendant l’après-midi, donc tout le monde était ravi d’arriver au premier hôtel, à boire de la bière et d’aller manger un bon repas dans un restaurant que l’hotel avait recommandé dans le vieux village magnifique de Pujols.
Nous sommes tous assis et avions commencé à manger les amuses-geueles, quand nous avons essayé de commander le menu du jour: le serveur nous a dit que le menu €16,50 n’était pas disponible à la veille d’un jour férié et le moins cher était près de deux fois le prix. Je pense qu’ils avaient pris un coup d’oeil à notre tenue moins-que-chic et décidé que nous n’étions pas de la bonne clientèle. Donc, nous sommes partis, les ventres gargouillant et Nick a réussi à retrouver la voie à un resto que lui et moi avions trouvé par hasard il y a quelques mois, où nous avons mangé un excellent repas.
Mercredi il a fait tres beau, et pas trop chaud; les 142 km ont passé sans incident, mais peu de temps après notre arrivée à l’hôtel, les nuages ont commencé à emménager. Le jour suivant était froid, humide et venteux – la température a chuté de 33 à 9°C en seulement deux jours! Pour ajouter à l’ambiance sombre, l’un des coureurs avait entendu que son père est mort, donc elle et son mari ont dû abandonner la rando. Tout le monde était trempé à la peau pendant les averses violents et fréquentes, parfois de gros grêlons, qui ont meme enlevé les fleches dessiné pour signaler la route. Ils étaient tous fatigués et soulagés d’arriver à l’hôtel ce soir là, après avoir eu trois crevaisons à reparer au cours de la journée.
La dernière journée a été la plus courte, à 120 km; il était sec et chaud avec un fort vent suivant les aider le long. Il y avait la possibilité de monter jusqu’à Mont Saint-Clair à Sète, mais la plupart des coureurs étaient trop fatigués, alors que Nick l’a fait – infatigable à la fin!
Je voudrais seulement signé pour le voyage comme passager et de peut etre faire un peu de navigation; cela me semblait quelques agréables jours de congé, mais de toute façon j’ai fini par vivre mon pire cauchemar; la conduite du véhicule de support principal, une camionnette assez grand pour transporter neuf vélos aussi que des bagages. C’etait la première fois que j’ai utilisé un GPS et il y avait assez de lieux ou il nous a dit d’aller dans un sens ou il n’y avait pas de route! Je redoute de penser combien de miles de bonus que nous avons fait, le long des petites routes ou à travers de petits villages médiévaux où les routes n’etaient que des centimetres plus larges que la camionette. Il ne nous a pas aidé le dernier jour, lorsque perdu, comme d’habitude, nous avons demandé à un vieil homme la route vers Aiguesvives; il nous a demandé si nous savions qu’il y a deux villages du même nom tres proche; naturellement, nous partions en direction de la mauvaise. Au moins, nous pourrions rire.
Je n’ai réussi qu’à prendre peu de photos sur la route, mais je serais ravi d’y retourner pour explorer la région d’avantage.