When the nearby cycle club of Riscle organised a 200km ride and invited members of our club to join them, Nick decided to join a group of 10 Nogaro riders; it would be good training for the upcoming Bordeaux to Sete marathon ride. They set off by car for Riscle at 6.30 yesterday morning and left Riscle by bike at 7 o’clock, just as the church bells sounded the Angelus. They were headed for the flat lands of the Landes, ideal for a long ride. As the Angelus sounded at midday they rolled into Sabres, where lunch was booked in a local restaurant, then back on the bikes to return, by a different route, arriving just as the Angelus peeled out in Riscle, at 7pm. I’m sorry, but he didn’t have time to take any photos.
Francis, a club member and a caterer, invited all the riders and their other halves to dinner in the evening; we didn’t know whether we’d be eating indoors or out as not many people have enough space for 30 in their dining room, but we arrived to find tables set in his vast garage, among the bikes, the freezers and boxes of what I can only suppose to be equipment for the catering trade.
Once the riders had finished complaining about how saddle sore they were, and the aperos were out of the way, and while we ate our way through the starters, the main course, (which appeared to be half a cow, lightly grilled), salad, cheese and fruit tarts, Richard had us in stitches as he regaled us with tales of his childhood, living with his grandparents. His grandad would leave the house every morning, taking his scythe with him and leaving Richard’s grandma to light the range, the only means of heating and cooking. He’d cut a section of grass until the range would be good and hot, when he’d return with breakfast – a bucketful of snails, picked off the grass and the plants in the garden. Richard said he’d line them up along the front of the range, where they made sort of miaowing noises; you could tell they were cooked when they stopped singing!
This grand old gentleman also taught Richard and his brother how to hunt for frogs; they’d find a stick or length of bamboo, steal some of grandma’s knitting wool and find some geranium petals – red ones were best, to attach to the end of the “fishing line”. They’d sit quietly at the edge of the pond, gently lowering the geranium petal to the surface of the water, the frogs would think it was a mosquito, make a leap for it and wham! they were caught. A quick blow to the head, peel the skin off and into the pan on the range – delicious! A far cry from childhood today
Quand le club de vélo de Riscle a organisé un tour de 200km et a invité les membres de notre club, Nick a décidé de rejoindre un groupe de 10 coureurs de Nogaro; il serait bon entraînement pour la randonnée de Bordeaux à Sete. Ils sont partis en voiture pour Riscle à 6h30 hier matin et sont partis de Riscle à 7 heures, pendant que l’angélus sonnait . Ils allaient vers les plaines des Landes, parfait pour un long trajet. Ils sont arrivés à Sabres à midi, juste quand l’angelus sonnait, où ils avaient réservé le déjeuner dans un restaurant local, puis un retour sur les vélos pour revenir, par une voie différente, encore en arrivant quand l’Angélus sonnait à Riscle, pour les 19 heures. Je suis désolée qu’il n’avait pas le temps de prendre des photos.Francis, un membre du club et un traiteur, a invité tous les coureurs et leurs épouses à dîner chez lui la soirée; nous ne savions pas si nous allions manger à l’intérieur ou à l’extérieur parceque tres peu de gens ont assez d’espace pour 30 personnes dans leur salle à manger, mais nous sommes arrivés à trouver des belles tables dans son vaste garage, parmi les vélos, les congélateurs et les boîtes de ce je suppose être de l’équipement pour le secteur de la restauration.
Une fois que les coureurs avaient fini se plaindre des douleurs des fesses, et pendant nous mangions des entrées, le plat principal, (qui semblait être une demi-vache, légèrement grillées), de la salade, du fromage et des tartes aux fruits, Richard nous a fait rire quand il nous régalé avec des histoires de son enfance, vivant avec ses grands-parents. Son grand-père quittait la maison tous les matins, en tenant sa faux avec lui et en laissant la grand-mère de Richard allumer le poele, le seul moyen de chauffage et de cuisson. Il a coupé un peu d’herbe, jusqu’à le poele serait bien chaud, à tel point il est rentré avec le petit déjeuner – un seau d’escargots qu’il avait trouvé dans l’herbe et aux plantes dans le jardin. Richard dit que il les alignait le long du poele, où ils ont fait de bruits de miaulements;on savait qu’ils etait cuit quand ils ont cessé de chanter!Ce grand vieux monsieur a également enseigné Richard et son frère comment chasser les grenouilles; Ils ont trouvé un bâton ou une longueur de bambou,ils ont volé de la laine de la grand-mère et ont trouvé quelques pétales de géranium – les rouges étaient les meilleurs, à joindre à la fin de la “ligne de pêche”. Ils se sont assis tranquillement au bord de la marais, abaisser doucement le pétale de géranium à la surface de l’eau, les grenouilles pensaient que c’était un moustique, ils ont sauté pour elle et vlan! Ils ont été pris. Un coup rapide à la tête, décoller la peau et dans la casserole sur le poele – délicieux! On a l’impression que c’etait loin de l’enfance d’aujourd’hui.