The last three weeks have been Marciac’s annual jazz festival, when the entire town is taken over by musicians, music lovers and artisans of all kinds. The central place is covered by a fabric roof, a stage is erected at one end and free concerts go on from the morning through to the early evening; later on, the big names appear in the chapiteau, a huge marquee that seats around 6000 people.
The rest of the town becomes a huge market, with stalls selling all sorts of artisanal goods, jazz CDs and vinyl, jewellery, clothing. There’s a proliferation of bars, cafes and restaurants, many of the temporary, housed in tents, where you can eat Vietnamese, Moroccan, Italian, food from all over the world in fact. Residents let out their garages and even their kitchens for the duration of the festival, to be turned into guitar builders’ studios, art galleries or cafes selling Morrocan pastries and mint tea to the weary.
The atmosphere is great, so relaxed; if there isn’t enough seating in the place for everyone who wants to listen to a particular band, people just sit on the ground, or some dance around the edges. People of all ages go, from tiny babies, through to the elderly, barely able to hobble around on the walking sticks. You see quite an array of fashions; people around here don’t tend to dress up to go out to the cinema, a meal, a party, or even a wedding; but they dress up to go to Marciac – there’s all sorts of weird clothing!
One day we went to find that most of the day’s bands in the place were from local music schools and colleges; some weren’t to our taste, but others were superb. You could hear tones of Pink Floyd from one band and the keyboard player in another was clearly a Rick Wakeman fan.
We still haven’t been to a gig in the chapiteau; we wanted to go to see Lisa Simone this year, but the weather was foul that day, with torrential rain and thunderstorms, so we decided not to venture out; but next year, I hope we’ll get there.
Sorry the photos are poor; I only took my phone with me.
Ces trois dernières semaines etaient le festival de jazz à Marciac, lorsque la ville entière est prise en charge par des musiciens, mélomanes et artisans de toutes sortes. La place est couvert par une toiture en tissu, un stade est érigé à une extrémité et il y a des concerts gratuits du matin au soir; plus tard, les grands noms de jazz jouent dans un immense chapiteau qui peut accueillir environ 6000 personnes.
Le reste de la ville devient un immense marché, avec des stands vendant toutes sortes de produits artisanaux, des CD de jazz et de vinyle, des bijoux, des vêtements. Il y a une prolifération de bars, cafés et restaurants, beaucoup d’eux logées temporairement, dans des tentes, où on peut manger vietnamien, marocain, italien, nourriture de partout dans le monde, en fait. Les résidents louent leurs garages et même des cuisines pour la durée du festival, pour être transformé en studios, des galeries ou des cafés vendant des pâtisseries et thé à la menthe marocaine.
L’ambiance est super, tellement détendu; si il n’y a pas assez de sièges dans la place pour tous ceux qui veulent écouter un groupe, les gens s’assoient au sol, ou dansent à coté. Les gens de tous âges y vont, des petits bébés aux personnes âgées, à peine capable de marcher avec leurs cannes. On voit telle mode; des gens d’ici ne s’habillent pas bien pour aller au cinéma, à un repas, à une fete, ou même pour un mariage; mais ils s’habillent tres attentivement pour aller à Marciac – on voit toutes sortes de vêtements bizarre aussi qu’elegant!
Nous sommes allés un jour à constater que la plupart des groupes de la journée venaient des écoles et collèges de musique locaux; certains n’étaient pas à notre goût, mais d’autres étaient superbes. On pouvait entendre des tonalités de Pink Floyd d’un groupe et dans un autre le claviériste etait evidemment fan de Rick Wakeman.
Nous n’avons pas encore assisté à un concert sous le chapiteau; nous voulions aller voir Lisa Simone cette année, mais le temps était affreux ce jour-là, avec la pluie et les orages torrentielles, donc nous avons décidé de ne pas y aller; mais l’année prochaine, je l’espère, nous y arriverons.
Je suis désolée que les photos ne sont pas bonnes; je n’ai amené que mon portable.