When not performing my duties as housekeeper, sole cook and bottle washer, nurse, physiotherapist, chauffeur, handyperson, hair washer, back scrubber, heaver of wheelchair in and out of car/house and general gofer, I occasionally find time to get out into the garden.
Last week, I had a look at the cabbages I planted a while ago; now, I’m no expert when it comes to gardening, but I do know that cabbage leaves should not look like overwashed, green lace. A closer inspection revealed caterpillars; not just the odd one or two, but hundreds of the striped, hairy things, in all sizes from armies of tiny, thread-like ones, eager to spread out and start chewing at top speed, to fully grown adults, chomping away at my cabbages. Very little remained of some of them, the pests having had their fill already.
I looked up how to deal with them and the only organic means is to pick them off and squash them. UGH!!! I tried, really I did, but even wearing rubber gloves, which made picking them up possible, no way could I bring myself to sqeeze them till they popped. So I left them for a couple of days, during which I’m sure their numbers doubled; till I was watching the nurse changing Nick’s dressing one morning. Each kit used contains two pairs of disposable plastic tweezers, so when she’d gone, I retrieved the tweezers and headed out to the potager; they were perfect, even allowing me to access those caterpillars in hard to reach spots. A quick squish and the beasties are dead – perfect! I now have quite a collection of tweezers, that I’ve put to good use for several days and today I only found 12 caterpillars, so I hope the cabbages might recover in time.
La semaine dernière, j’ai regardé les choux que j’ai planté il y a quelques semaines; je ne suis pas expert en matière de jardinage, mais je sais que les feuilles de chou devraient pas ressembler une dentelle verte, trop lavé. Un examen plus approfondi a révélé des chenilles; pas seulement un ou deux, mais des centaines, dans toutes les tailles, des armés des minuscules filiformes, désireux d’étendre et commencer à mâcher à la vitesse supérieure, à complètement développés adultes, grugeant mes choux. Très peu qui restait de certains d’entre eux, les ravageurs ayant eu leur remplissage déjà.
J’ai recherché comment les débarrasser et le seul moyen bio est de les cueillir et de les écraser. UGH !!! Je l’ai essayé, vraiment je l’ai fait, mais même avec des gants de caoutchouc, qui a rendu possible les ramasser, aucun moyen que je pourrais me résoudre à les serrer jusqu’à ce qu’ils étaient morts. Donc je les ai ignoré pendant quelques jours, au cours de laquelle je suis sûr qu’ils ont doublé en nombre; jusqu’à ce que je regardais l’ infirmière changer les pansements de Nick un matin . Chaque kit contient deux paires de pinces en plastique jetables, alors quand elle était partie, j’ai récupéré les pincettes et se dirigea vers le potager; ils étaient parfaits, me permettant d’accéder à ces chenilles dans endroits difficiles d’accès même. Un jaillissement rapide et les bestioles sont morts – parfait! J’ai maintenant toute une collection de pinces, que j’ai mis à bon usage pendant plusieurs jours et aujourd’hui, je n’ai trouvé que 12 chenilles, donc j’espère que les choux récupèreront après du temps.