The best way to learn a language is to go to the country where it’s spoken. So, having worked very hard recently, feeling in need of a break and having noted that the weather forecast for northern Spain was good this week, we packed up the camper and headed off. First stop Jaca, just 20km over the border; a lovely town with a castle, a cathedral, lots of restaurants and a camper van site.
The only down side to being so close to France, from the point of view of someone who wanted to try out her Spanish, was that most people spoke French, English or both. But I kept trying. Looking around the town I noticed an old fashioned haberdashery shop, the perfect place to buy the bits I need for a textile arts project; full of enthusiasm, I went into the shop, only realising too late that I had neither my dictionary nor the necessary words. I hadn’t a clue how to say “ribbon”, could make a wild guess at “gold” and “silver”, but as for “sparkling” – no hope! Luck was on my side though, as there was a French woman serving. so I bought everything I needed without a problem.
We stayed in Jaca for a couple of days, wandered around the town and castle, ate very well at local restaurants (where the waiters were very patient with my halting attempts at their language) and soon felt very relaxed.
The next place on Nick’s itinerary was Ainsa, an ancient village about 80km away; but we missed the turning, so took a much longer route, which led us past a stunning reservoir, olive and almond groves and fields and road edges full of wild flowers. Ainsa is a little medieval village perched on a hilltop, complete with the ruins of a castle, next to which was the campervan site. The views over the mountains were lovely, especially as the sun set, turning everything golden.
We went for a short bike ride the evening we arrived, to see a monument recommended by the tourist information lady; if I needed any convincing that I don’t like mountain biking, this was it; the views were great, but I was far too busy worrying about falling off on the rutted track to appreciate them!
The following morning we set off on a proper bike ride, ie on nice, smooth, tarmacked roads. We followed a little road up into the hills; there were tiny villages dotted all around and we found ourselves in Guaso, from where you can take the road an extra 1km further up a very steep hill, to see the tower built on the summit; Nick, of course, did; I chickened out halfway, preferring to watch the good looking tree surgeon prune the olive trees on the other side of the road.
Eventually we got back to the camper and set off home, a journey that should have taken about 4-5 hours, but by the time we’d had numerous stops to take photos and called in to see some friends in the foothills of the Pyrenees, it was nearer seven, but we were on holiday after all.
La meilleure façon d’apprendre une langue est d’aller dans le pays où elle est parlée. Ainsi, après avoir travaillé très dur récemment, on sentait le besoin d’une pause et après avoir constaté que les prévisions météo pour le nord de l’Espagne a été bonne cette semaine, nous avons chargé le camping car et sommes partis. Premier arrêt Jaca, à seulement 20 km de la frontière; une belle ville avec un château, une cathédrale, beaucoup de restaurants et d’un site de camping car.
Le seul inconvénient d’être si proche de la France, du point de vue de quelqu’une qui voulait essayer son espagnol, est que la plupart des gens parlaient français, anglais ou les deux. Mais j’ai essayé. En regardant autour de la ville, je remarquai un magasin de mercerie, l’endroit idéal pour acheter les morceaux dont j’ai besoin pour un projet d’arts textiles; plein d’enthousiasme, je suis allé dans la boutique, ne réalisant que trop tard que j’avais ni mon dictionnaire, ni les mots nécessaires. Je n’avais pas la moindre idée comment dire «ruban», pourrait faire une conjecture à «or» et «argent», mais pour «eblouissant» – aucun espoir! Mais j’avais de la chance; il y avait une française qui y travail. donc j’ai acheté tout ce qu’il me fallait sans problème.
Nous avons séjourné à Jaca pendant deux jours, flâné autour de la ville et le château, très bien mangé dans des restaurants locaux (où les serveurs étaient très patient avec mes tentatives de parler leur langue) et bientôt senti très détendu.
Le prochain endroit sur l’itinéraire de Nick était Ainsa, un ancien village à environ 80 km; mais nous avons manqué la route, donc nous avons pris une route beaucoup plus longue, ce qui nous a conduit passé un réservoir magnifique, des vergers d’oliviers et d’amandiers et les champs et les bords de la route pleine de fleurs sauvages. Ainsa est un petit village médiéval perché sur une colline, avec les ruines d’un château, à côté de lequel est le site de camping-car. Les points de vue sur les montagnes étaient très belles, d’autant plus que le coucher du soleil, transformant tout d’or.
Nous sommes allés pour une courte rando à vélo le soir nous sommes arrivés, pour voir un monument recommandé par la dame d’information touristique; si je n’étais pas sure que je n’aime pas faire du VTT, ça y était; les vues étaient super, mais j’étais beaucoup trop occupé se soucier de tomber sur la piste défoncée pour les apprécier!
Le lendemain matin, nous sommes partis faire une vrai rando de velo, c’est à dire sur , des routes goudronnées belles et lisses. On a suivi une petite route dans les collines; il y avait des petits villages parsemés tout autour et nous nous sommes retrouvés à Guaso, d’où on peut prendre la route 1km plus loin sur une colline escarpée, pour voir la tour construite au sommet; Nick, bien sûr, l’a fait; je me suis dégonflé à mi-chemin, préférant regarder le bel jeune homme tailler les oliviers de l’autre côté de la route.
Finalement, nous sommes revenus au campeur et partit à la maison, un voyage qui aurait dû prendre environ 4-5 heures, mais le temps que nous avions eu de nombreux arrêts pour prendre des photos et avons rendu visite chez nos amis en bas des Pyrénées , il était plus près de sept heures, mais nous étions en vacances après tout.