Most of the outer walls of our new house are built of roofing tiles; it’s quite a common construction method around here and very attractive, but the outer walls needed insulating, so there we’ve lost the lovely effect. However, the walls common with the gite don’t need to be insulated so we decided to make a feature of them as they extend from the hall downstairs, past the staircase and up to the roof.
Nick’s current mission, then, is to point between the tiles.Before pointing, he must first chip out all the old mortar to about half the depth of the wall; as the pointing covers a larger area than the tiles themselves, this is quite a task. He’s using a special mix of products to get the effect we want, sourced from far and wide. The end result is good, though; I think it will be worth all the effort.
He also has to replace the torchis, the in-fill between the colombage beams beside the staircase; so today he removed barrow loads of the loose, crumbling in-fill that’s graced the old wine making part of the grange for many years. Next he needs to fill the gaps with supporting bricks, before he can start to replace the torchis.
For my part, I’ve been busy in the garden recently; it’s time to sew French beans, and plant out the courgettes, aubergines, tomatoes, chillies, peppers and melons we’ve grown from seed in our makeshift greenhouse. We made three long, narrow beds for veg last year, using the old telegraph poles that used to support the old garage roof, but the first problem this year was finding them. The weeds were shoulder high on me and it was only by walking till I tripped up over one of the poles that I could find the beds at all! It’s taken me all week to clear all the weeds, but today, once Nick had strimmed around the edges, we were ready for planting.
The goose was “helping” Nick, which was fine until he needed to empty his barrow into the compost bins, near where I was working. I made sure my wheel barrow was between me and the goose and stayed very quiet, hoping it wouldn’t notice me; not a chance. Nick caught it heading my way a couple of times and spoke to it soothingly, but as soon as his back was turned, it started to hurtle across the grass towards me, too fast for Nick to catch up. I was using the garden fork, a wonderful anti-goose-attack device, as I discovered; I pointed it at my attacker, who continued to run full pelt, straight between two of the tines. It was completely stuck, flapping its wings wildly and squawking loudly, till Nick took it back to the park. Forget the big stick – from now on my weapon of choice will be the garden fork.
La plupart de murs extérieurs de notre nouvelle maison sont construits de tuiles; c’est une méthode de construction très commun ici et très jolie, mais on a du isoler les murs extérieurs, donc nous avons perdu le bel effet. Cependant, les parois communes avec le gîte ne doivent pas être isolés et nous avons décidé de faire une attraction d’eux comme ils s’étendent de la salle en bas, à coté de l’escalier et jusqu’au toit.
La mission actuelle de Nick, alors, est de faire les joints entre les tuiles. Au début, il doit enlever tout le vieux mortier à environ la moitié de la profondeur de la paroi; comme le mortier couvrera une superficie plus grande que les tuiles eux-mêmes, c’est tout à fait une tâche. Il utilise un mélange spécial de produits pour obtenir l’effet que nous voulons, provenant de très loin. Le résultat final est bon, donc je pense que ça vaut la peine.
Il doit aussi remplacer les torchis à côté de l’escalier; de sorte qu’il a retiré les charges de brouette, l’effritement de remplissage qui a etait partie de la grange pendant de nombreuses années. Ensuite, il doit combler les lacunes avec des briques, avant de pouvoir commencer à remplacer les torchis .
Pour ma part, je suis bien occupée dans le jardin récemment; il est temps de semer des haricots verts, et planter les courgettes, aubergines, tomates, piments, poivrons et melons que nous avons fait pousser de semences dans notre serre de fortune. Nous avons fait trois petits potagers étroits l’année dernière, en utilisant les vieux poteaux qui soutenaient l’ancien toit de garage, mais le premier problème cette année a été les trouver. Les mauvaises herbes étaient jusqu’à mes épaules et ce n’est que par la marche jusqu’à ce que je trébuché au-dessus de l’un des poteaux que j’ai pu trouver lespotagers du tout! Il m’a fallu toute la semaine pour effacer toutes les mauvaises herbes, mais aujourd’hui, une fois Nick avait tondu sur les bords, nous étions prêts pour la plantation.
Le jar “aidait” Nick, qui allait bien jusqu’à ce qu’il avait besoin de vider sa brouette dans les bacs de compostage, près d’ où je travaillais. Je me suis assuré que ma brouette était entre moi et le jar et est restée très calme, en espérant qu’il ne me remarque pas. Nick le gardait et lui parlait doucement, mais dès qu’il avait le dos tourné, il a commencé à dévaler à travers l’herbe vers moi, trop rapide pour Nick à rattraper. J’utilisais la fourchette de jardin, un merveilleux appareil anti-attaque-de-jar, comme je l’ai découvert; je l’ai signalé à mon agresseur, qui a continué à toute vitesse, la tete entre deux des dents. Il a été complètement bloqué, agitant ses ailes follement et se balader fort , jusqu’à Nick l’a ramené au parc. Oubliez le gros bâton – à partir de maintenant sur mon arme de choix sera la fourchette de jardin.