Since starting the tiling of the floors, Nick has begun to have pain in his knees; I put it down to the tiling, but he was having none of that – he thought it was due to too much driving. During the summer, while neither driving nor tiling much, his knees improved; until he started tiling again, when, standing up, there was a horrible cracking noise and his knee didn’t feel great. He had to admit it was probably tiling.
The solution seemed obvious to me; but tiling floors, it seems, is most definitely a blue job and it took all my powers of persuasion to convince him to let me help. Finally a compromise was reached; he’d mix and lay the sticky and I could put down the tiles. We’ve always worked well together and this time is no exception and two of us working means we can get a lot done during each session, so we can see progress being made.
In order to prevent the same thing happening to my knees, Nick’s insisted that we have a day off between tiling days. A friend was looking for a guitar for her daughter and I found one in Pau; so we picked up the guitar en route to the Pyrenees and had a few hours in the hills.
We parked beside the river in Louvie-Juzan, ate a quick picnic and cycled to Laruns; Nick wanted to do the Col de Portalet, a 30km climb that starts just above the town. I did the first few km of the climb with him; it’s a long time since I’ve been able to do any “proper” cycling and it felt great to be back in the hills, especially on the descent, with the wind whistling through my helmet. I cycled back to pick up the car and take it to Laruns, where I wandered around the pretty town and read my book in a pavement cafe till Nick got back, just minutes before it started to rain. En route for home, we dropped off the guitar, so everyone was happy.
Depuis il a commencé faire le carrelage des sols, Nick a des douleurs aux genoux; je lui ai dit que c’est du au carrelage, mais il pensais que c’était dû à trop de conduite. Pendant l’été, quand il n’a fait pas beaucoup de conduite ni de carrelage, les genoux ont amélioré; jusqu’à il commencé carreler encore, quand, debout, il y avait un bruit de craquement terrible et son genou ne se sent pas très bien. Il a du admettre qu’il a probablement été le carrelage.
La solution me semblait évident; mais faire du carrelage du sol, il semble,est un metier pour les hommes et il a fallu tous mes pouvoirs de persuasion pour le convaincre de me laisser aider. Enfin, un compromis a été atteint; il mélange et tartine le col et je pose les carreaux. Nous avons toujours bien travaillé ensemble et cette fois ne fait pas exception; nous pouvons faire beaucoup plus chaque séance de travail qu’une seule personne, afin que nous puissions voir du progrès.
Afin d’éviter que la même chose se passe à mes genoux, Nick a insisté que nous avons un jour de repos entre les jours de carrelage. Un ami a été à la recherche d’une guitare pour sa fille et j’en ai trouvé une à Pau; donc nous sommes allés chercher la guitare en route vers les Pyrénées et avons passé quelques heures dans les collines.
Nous nous sommes garés à côté de la rivière à Louvie-Juzan, mangé un pique-nique rapide et pédalé à Laruns; Nick a voulu faire le Col de Portalet, une montée de 30km qui commence juste au-dessus de la ville. J’ai fait quelques premiers kilomètres de la montée avec lui; il est longtemps depuis je peux faire le “vrai”cyclisme et il me sentais bien d’être de retour dans les montagnes, en particulier sur la descente, avec le vent qui siffle travers mon casque. Je suis allée chercher la voiture et je l’ai pris à Laruns, où je promenais autour de la jolie ville et lisais mon livre dans un café jusqu’à Nick revint, quelques minutes avant qu’il a commencé à pleuvoir. En route pour la maison, nous avons déposé la guitare, donc tout le monde était heureux.