Mushroom hunting

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It’s mushroom season. They spring up everywhere; in the garden, on walks through the forest and in the hedgerows. But of course, not all are edible and people die due to eating the wrong sort every year.

Nick’s been helping our friend Hervé wire his new kitchen recently; Hervé is a real countryman who worked as a shepherd for 25 years, so when it comes to mushroom identification, he’s something of an expert. But a Frenchman’s mushroom picking spot is generally a closely guarded secret, so we were very surprised and not a little flattered when Hervé invited Nick to go mushroom picking with him.

They set off early, looking for cepes, very highly prized, but there weren’t any so they had to be satisfied instead with a variety of other types; but each of them arrived back with a carrier bag full, enough for two meals.

Il est la saison des champignons. Ils poussent un peu partout; dans le jardin, dans la forêt et dans les haies. Mais bien sûr, ils ne sont pas tous comestibles et de personnes meurent en raison de manger le mauvais type chaque année.

Nick a aidé notre copin Hervé faire l’electricité dans sa nouvelle cuisine recemment; Hervé est vrai paysan qui travaillait comme berger pendant 25 ans, alors quand il faut identifier des champignons, il est expert. Mais le lieu ou un Français trouve des champignons est généralement un secret étroitement gardé, donc on a été très surpris et pas un peu flatté lorsque Hervé a invité Nick aller ramasser de champignons avec lui.

Ils sont sortis assez tot, à la recherche de cèpes, très prisée, mais il n’y en avait pas alors et ils ont dû se contenter avec une variété d’autres types; mais tous les deux sont arrivés de retour avec une poche complète, assez pour deux repas.

 

 

Tiling ups and downs

Since starting the tiling of the floors, Nick has begun to have pain in his knees; I put it down to the tiling, but he was having none of that – he thought it was due to too much driving. During the summer, while neither driving nor tiling much, his knees improved; until he started tiling again, when, standing up, there was a horrible cracking noise and his knee didn’t feel great. He had to admit it was probably tiling.

The solution seemed obvious to me; but tiling floors, it seems, is most definitely a blue job and it took all my powers of persuasion to convince him to let me help. Finally a compromise was reached; he’d mix and lay the sticky and I could put down the tiles. We’ve always worked well together and this time is no exception and two of us working means we can get a lot done during each session, so we can see progress being made.

In order to prevent the same thing happening to my knees, Nick’s insisted that we have a day off between tiling days. A friend was looking for a guitar for her daughter and I found one in Pau; so we picked up the guitar en route to the Pyrenees and had a few hours in the hills.

We parked beside the river in Louvie-Juzan, ate a quick picnic and cycled to Laruns; Nick wanted to do the Col de Portalet, a 30km climb that starts just above the town. I did the first few km of the climb with him; it’s a long time since I’ve been able to do any “proper” cycling and it felt great to be back in the hills, especially on the descent, with the wind whistling through my helmet. I cycled back to pick up the car and take it to Laruns, where I wandered around the pretty town and read my book in a pavement cafe till Nick got back, just minutes before it started to rain. En route for home, we dropped off the guitar, so everyone was happy.

Depuis il a commencé faire le carrelage des sols, Nick a des douleurs aux genoux; je lui ai dit que c’est du au carrelage, mais il pensais que c’était dû à trop de conduite. Pendant l’été, quand il n’a fait pas beaucoup de conduite ni de carrelage, les genoux ont amélioré; jusqu’à il commencé carreler encore, quand, debout, il y avait un bruit de craquement terrible et son genou ne se sent pas très bien. Il a du admettre qu’il a probablement été le carrelage.

La solution me semblait évident; mais faire du carrelage du sol, il semble,est un metier pour les hommes et il a fallu tous mes pouvoirs de persuasion pour le convaincre de me laisser aider. Enfin, un compromis a été atteint; il mélange et tartine le col et je pose les carreaux. Nous avons toujours bien travaillé ensemble et cette fois ne fait pas exception; nous pouvons faire beaucoup plus chaque séance de travail qu’une seule personne, afin que nous puissions voir du progrès.

Afin d’éviter que la même chose se passe à mes genoux, Nick a insisté que nous avons un jour de repos entre les jours de carrelage. Un ami a été à la recherche d’une guitare pour sa fille et j’en ai trouvé une à Pau; donc nous sommes allés chercher la guitare en route vers les Pyrénées et avons passé quelques heures dans les collines.

Nous nous sommes garés à côté de la rivière à Louvie-Juzan, mangé un pique-nique rapide et pédalé à Laruns; Nick a voulu faire le Col de Portalet, une montée de 30km  qui commence juste au-dessus de la ville. J’ai fait quelques premiers kilomètres de la montée avec lui; il est longtemps depuis  je peux faire  le “vrai”cyclisme et il me sentais bien d’être de retour dans les montagnes, en particulier sur la descente, avec le vent qui siffle travers mon casque. Je suis allée chercher la voiture et je l’ai pris à Laruns, où je promenais autour de la jolie ville et lisais mon livre dans un café jusqu’à Nick revint, quelques minutes avant qu’il a commencé à pleuvoir. En route pour la maison, nous avons déposé la guitare, donc tout le monde était heureux.

Oh I do love to be beside the seaside.

It’s been a pretty busy summer and Nick and I felt sorely in need of a break before the next lot of visitors arrived. The forecast was good for last weekend, so we decided to head off for the little town of Vieux Boucaux on the west coast on Friday.

The garden is still producing loads of veg, so the whole of Thursday was spent in the kitchen, making vast quantities of tomato coulis, putanesca pasta sauce and Indian peach chutney (it was meant to be mango chutney, but we didn’t have any mangoes, just a tray of peaches that weren’t ripening). Once all that was done, I went to band practice, leaving Nick to clean up the catastrophe of a kitchen.

By Friday morning, we hadn’t done any preparation for the trip and really wondered if we ought to stay home and do some gardening, tiling or any of the other 1001 jobs that need doing; but common sense prevailed, we threw the essentials, or most of them, into the camper and set off. We called in to Adrian’s for lunch and he took me out for a motorbike ride and to look for a hinge for our new front door; we didn’t find a hinge, but had a great ride with Kieran. The next port of call was Dax, to take Alice her birthday present and enjoy aperitifs with her and Kieran; so by the time we arrived in Vieux Boucaux, it was already dark and we only found the camping car site with some difficulty.

On Saturday, we went to explore the town; it’s lovely, built just behind the big sand dunes. There’s a marine lake too, linked to the sea by a little river and in contrast to the big waves of the sea, that attract surfers, the lake is completely calm. There was a great market to look around and the beach looked very inviting. It was too cold, at 20ºC, for me to go in the sea, but Nick spent ages diving into the big waves.  On Sunday we went for a ride along the cycle path; built on the old railway line, it extends to Mimizan to the north and Cap Breton to the south, going through miles of beautiful forest. It’s well used, by walkers, cyclists, roller skaters and skateboarders and being in the Landes, is pan flat. Then for a walk around the lake and another dip in the sea for Nick.

On the way home, looking for a petrol station, I realised that I’d left the bank card in the pocket of the motorbike jacket that Adrian had lent me; but it was OK; the “low fuel” light didn’t turn on till 5 miles from home. I was forgiven.

Il a été un été très occupé et Nick et moi nous sentions d’avoir besoin d’une pause avant le prochain couple d’invités seraient arrivés. La meteo était bon pour le week-end dernier, nous avons donc décidé d’aller à la petite ville de Vieux Boucaux sur la côte ouest le vendredi.

Le jardin continue de produire des quantités de légumes, donc l’ensemble de jeudi a été consacré à la cuisine, on a fait des vastes quantités de coulis de tomate, sauce putanesca  et de chutney de pêche  Indien (il a été destiné à être chutney de mangue, mais on n’avait pas de mangues, juste un plateau de pêches qui ne mûrissaient pas). Une fois qu’on avait fini tout ça, je suis allé à la repete, laissant Nick pour nettoyer la catastrophe d’une cuisine.

Vendredi matin, nous n’avions rien fait comme la préparation pour le voyage et on se demandait si nous devrions rester à la maison et faire du jardinage, de carrelage ou de toute de l’autre 1 001 taches qu’il nous faut faire; mais non, nous avons jeté les choses essentiels dans le camping-car et sommes partis. Nous sommes allés chez Adrian pour le déjeuner et il m’a ammené pour une rando au moto et de chercher une nouvelle charnière pour notre porte; nous n’avons pas trouvé une charnière, mais il etait un très bon tour avec Kieran. Notre prochaine arrete était Dax, à offrir un cadeau d’anniversaire à Alice et profiter des apéritifs avec elle et Kieran; donc au moment où nous sommes arrivés à Vieux Boucaux, déjà il faisait noir et nous n’avons trouvé le camping qu’avec une certaine difficulté.

Le samedi, nous sommes allés à la découverte de la ville; elle est belle, construit juste derrière les grandes dunes de sable. Il y a un lac marin aussi, reliée à la mer par une petite rivière et en contrast aux grandes vagues de la mer qui attirent les surfeurs, le lac est complètement calme. Il y avait un grand marché et la plage était très attrayante. Il faisait trop froid, à 20°C, pour moi d’aller dans la mer, mais Nick a passé du temps de se plonger dans les grosses vagues. Le dimanche, nous sommes allés pour une promenade sur la piste cyclable; construit sur l’ancienne voie ferrée, elle étend à Mimizan au nord et au Cap-Breton, au sud, va-travers des kilometres de belle forêt. Il est bien utilisé, par les marcheurs, cyclistes, rollers et skateboarders et d’êtant dans les Landes, elle est absolument plat. Ensuite, pour une promenade autour du lac et un autre plongeon dans la mer pour Nick.

Sur le chemin du retour, à la recherche d’une station d’essence, je me suis souvenue que j’avais laissé la carte bancaire dans la poche de la veste moto que Adrian m’a prêté; mais ça y etait; la lumière “de carburant réduite” n’a activer jusqu’à 8km de chez nous. Je suis pardonné.

Once upon a guinea pig holiday: part 2

Anyone who regularly reads my blog may remember last year’s guinea pig holiday (https://www.cawthray.co.uk/2013/10/01/once-upon-a-guinea-pig-holiday/), in which our friends Mr Rattletrap and Mr There’s-not-enough-chocolate-in-it went on holiday.

It’s a little known fact that the collarbones of guinea pigs who eat too much chocolate become soft, rather like twix bars, in fact; so this year, shortly before embarking on his annual visit to the dungeons of the Emperor Adrian in deepest, sunniest South West France, Mr There’s-not-enough-chocolate-in-it went for a ride on his motorbike, fell off and broke his twixbone – again. He’d enjoyed the experience of having it repaired with a metal plate so much last time, that he thought it a good idea to repeat the experience, even if it meant he’d be unable to ride his motorbike to France.

Luckily Mr Rattletrap’s brother, Mr Oh-no-not-a-seventh had also booked to visit, and being a big, strong sort of guinea pig, offered to carry Mr There’s-not-enough-chocolate-in-it’s bag, well packed with enough chocolate to sustain him, on to the plane, if he could book a flight.

Like Mr Rattletrap, Mr Oh-no-not-a-seventh also plays a mean guitar, so mean, actually, that Ryanair wouldn’t let it on board, so ferocious is it that he had to leave it in the dangerous animals’ cage. Normally a gentle sort of guinea pig,  Mr Oh-no-not-a-seventh has a horror of playing seventh chords on his guitar, they make him screw up his face in an apoplexy of angst, while shouting “Oh no, not a seventh!”

The first job was to buy Mr Oh-no-not-a-seventh a motorbike as it would have been a squeeze to fit all three guinea pigs onto one, none of them being exactly sylph-like specimens of guinea pig-hood. This done, they set off to chase dragons in them thar mountains, accompanied by Mr I’m-just-off-to-dax-to-see-alice Skinnypig, now known as Mr Aren’t-I-smart-in-my-shiny-new-leathers Skinnypig, on account of his recently having married the lovely Alice and bought a set of motorbiking leathers, the smallest size made, but still less than a close fit. The three rounder-than-they-should-be guinea pigs, whose bodies may be ageing and decrepit, but whose minds are still as sharp as a plastic spoon, and with the combined maturity of a twelve year old schoolboy, had great fun taunting Mr Aren’t-I-smart-in-my-shiny-new-leathers Skinnypig about said new leathers, suggesting remedies for their shinyness, such as rolling about in muddy puddles and when he didn’t agree, they accidentally-on-purpose spilt coffee on him.

The dragons needn’t have worried about being caught this year as Mr Oh-no-not-a-seventh wasn’t used to his new bike and Mr Rattletrap, cosily sharing his bike with Mr There’s-not-enough-chocolate-in-it (they did look sweet!), rode at a grannie’s pace up the hills, the poor bike struggling under their combined consumption of steak, chips and chocolate, and still sounding like a bucket of spanners being dropped down the stairs, so leaving the dragons more time than ever to saunter back to their caves, laughing all the while at the overtaking antics of Mr Aren’t-I-smart-in-my-shiny-new-leathers Skinnypig.

Once they’d tired of that game, they came to visit us (guinea pigs can never resist a free lunch). Amongst the experimental cuisine on offer were chocolate and chilli samosas for Mr There’s-not-enough-chocolate-in-it; he had finished one and was part way through the second before he piped up that these samosas were sweet, he hadn’t been expecting that and hadn’t anyone else noticed? Everyone else had veggie samosas, so no, we hadn’t! A delicious selection of curries, made by Mr Bonnet-ornament Skinnypig followed, finished off by an experimental chocolate meringue pie; chocolate in the pastry, chocolate truffle filling, topped with chocolate meringue. Even Mr There’s-not-enough-chocolate-in-it didn’t dare complain.

I’m sorry I haven’t any photos of the guinea pigs or the dragons, but none of them thought to take a camera and wouldn’t take me along for a ride.

Ceci ne traduit pas bien en français – désolée!

And work goes on….

Over the last couple of months, life has been so busy that we don’t seem to have had a lot of time to work on the house, but although it’s been slow, we haven’t ground to a complete halt.

Nick’s finished grouting the tiles downstairs and I’ve cleaned the cement residue off them with acid, so they look really good now. I’ve finished painting the walls and ceiling upstairs and Olivier came back to sand the floor, so Nick is ready to start tiling this week. He’s been working to adapt the doors we bought second hand, to replace the current back door. He’s made an oak frame and will have to cut a much larger hole in the wall, but it’s going to transform the back of the house and allow us to get Joel back to crepi the outside, a sort of render-like finish.

Apart from that, we’ve spent many hours in the garden; watering can take up to two hours a day, then we’ve had to pick the produce – plums, tomatoes, aubergines, beans, onions, courgettes, chillies, butternut squash and melons. Once picked, it all has to be dealt with; we’ve made batches of plum jam and plum butter, about 80 jars of tomato based pasta sauces, heaps of ratatouille and tomato coulis, jars of  chilli and tomato ketchup and, new for this year, several jars of sun dried tomatoes in olive oil. The figs are now ripening; I cut them in half, squash them and put them in the dryer; when they’re dry I can store them, ready to take when I go walking.

Now most of the cooking stuff is done and the freezers are rapidly filling up, things should start to get back to normal. The schools have all gone back and soon it will be time for me to restart my French and English classes. The CLAN is having major work done this year, so I’m not teaching there, but I’m going to have another go at learning Spanish when my friend Maria begins teaching again – third time lucky.

Au cours des dernière quelques mois, la vie a été tellement occupés que nous ne semblons pas avoir eu beaucoup de temps pour travailler à la maison, mais même si elle a été lente, on n’a pas arreté completement. Nick a fini les joints de carrelage au rez-de-chaussée et j’ai nettoyé le résidu de ciment avec de l’acide, alors ils sont bien maintenant. J’ai fini de peindre les murs et le plafond à l’étage et Olivier est revenue à poncer le sol, donc Nick est prêt à commencer le carrelage cette semaine. Il travaille pour adapter les portes que nous avons acheté pour remplacer la porte arrière de courant. Il a fait un cadre en chêne et devra couper un plus grand trou dans le mur, mais elle transformera l’arrière de la maison et nous permettra demander à Joel de retourner faire le crépi de l’extérieur.

 

Apart de cela, nous avons passé de nombreuses heures dans le jardin; l’arrosage qu’à deux heures par jour, alors que nous devons ramasser les produits – des prunes, des tomates, des aubergines, des haricots, des oignons, des courgettes, des piments, des butternuts et des melons. Une fois ramassé, tout cela doit être cuisiné; nous avons fait des lots de confiture de prunes et de beurre de prune, environ 80 pots de sauces tomates pour pâtes, des tas de ratatouille et coulis de tomates, des pots de ketchup de tomate et piment et, nouveau cette année, plusieurs pots de tomates séchées à l’huile d’olive. Les figues sont maintenant en train de mûrir; je les coupe en deux, les écraser et de les mettre dans le deshydrateur; quand ils sont secs, je peux les stocker, prêt à prendre quand je vais marcher. 

Maintenant, la plupart des trucs de cuisine est faite et les congélateurs se remplissent rapidement, les choses devraient commencer à revenir à la normale. Les écoles ont tous rentrés et bientôt il sera temps pour moi de redémarrer mon cours de français et anglais. Le clan est d’avoir fait des travaux majeurs cette année, donc je ne vais pas y enseigner, mais je vais avoir un autre aller à apprendre l’espagnol quand mon amie Maria commence à enseigner à nouveau – troisième fois chanceux.

A busy week

When Gemma stayed with us in June, and came to the cycle club dinner, we didn’t realise the impresion she’d made. But a few days before she arrived back, this time for Kieran and Alice’s wedding party, we were chatting to a few of the guys from the club when they started asking about our beautiful daughter; how old is she? Where does she live? Is she married? And so it went on; she’d obviously caused a stir. Even those who hadn’t been at the meal had heard of her. When we said that she was coming back on Wednesday, there was great excitement; the Nogaro circuit would be open to non-motorised forms of transport on Wednesday evening; they all thought they might go; were we going? Did we think Gemma would like to go too? Did she ride? Did she have a bike? Eventually, we had to promise that she’d be there, and riding, to which she agreed, greatly amused and not a little flattered by the attention.

There were all sorts of vehicles there on Wednesday evening; scooters, roller skates, a recumbent bike, and of course, a large contingent of the Nogaro cycle club, in their best lycra, bikes polished for the event. We rode a few laps of the circuit and watched as the Nogaro peloton rode round, as disciplined as they’re ever likely to be in their effort to impress, before heading home; after all, Gemma had been up since 4am and was flagging by then.

Alex and Izzy arrived on Thursday afternoon, just in time to sort themselves out and pack a few things for the next couple of days. Friday was the party; we stayed overnight in the camper and the following day headed off to Mimizan, on the coast.

Mimizan is a surfers’ paradise with the huge waves typical of the west coast. The area where swimming is permitted was quite small and closely surveyed by three life guards, two on a tower, the third in the water, which gives an indication of how dangerous these waters can be. Even paddling was quite strenuous, as the tide was coming in and the waves hit the shoreline with amazing force. We had two people with Izzy at all times; she loved jumping and diving into the waves, but the undertow was so strong, it could easily have carried her away.

A walk into town for ice creams, post cards and a look around, then it was time to go home, all of us pretty tired after a busy few days.

But there’s no rest for the wicked, as they say; this was, after all, the weekend of the village fete and we’d booked to go to the lunch on Sunday. No chance for Izzy to be bored as there was a bouncy castle at the back of the salle des fetes, so she burnt off plenty of energy between courses, leaving us to enjoy the food, the wine and the company.

Monday, Alex and Izzy’s last day, was less successful. The restaurant we went to for lunch, never having needed to book before, was full; we tried two others, but both were closed, so we went home and ate left-overs from the fridge. Alex wanted to go to the treetop walk that Nick and Izzy had done last year, but it started to rain as we were driving there and within a few minutes of our arrival there was thunder, lightning and a downpour; so we came home. Alex wasn’t happy, but maybe next year…..

Later that evening there was a huge storm with thunder, lighning, torrential rain and the strongest winds we’ve seen since we’ve been here. As it started we went up to the bacony to move furniture back, out of the way of the rain; we were just in time to see the cane chairs and settee sliding along the balcony, whipped by the wind, and about to disappear off the end, if we hadn’t managed to grab them and bring them inside. The following morning we found our beans and tomato plants sorry and battered to the ground, but we were lucky; many people lost trees and tiles from their roofs.

On Tuesday Alex and Izzy went home, followed by Gemma on Wednesday; the house felt so quiet and empty without them. A friend describes the post family visit time as being a bit like a bereavement; I don’t know that I’d go that far, but we certainly miss them when they’ve gone. Fortunately, it doesn’t last too long.

Lorsque Gemma est resté avec nous en juin, et est venu au dîner du club de vélo, nous ne savions pas l’impresion qu’elle avait fait. Mais quelques jours avant elle allait retourner, cette fois pour la fête de mariage de Kieran et Alice, nous parlions avec quelques-uns des gars du club quand ils ont commencé à demander à propos de notre belle fille; Quelle age a-t-elle? Où vit-elle? Est-elle mariée? Et il en fut ainsi de suite; elle avait évidemment causé un émoi. Même ceux qui n’avaient pas été au repas avaient entendu parler d’elle. Quand nous avons dit qu’elle revenait le mercredi, il y avait beaucoup d’excitation; le circuit de Nogaro serait ouvert à des transports non motorisées mercredi soir; ils ont tous pensé qu’ils pourraient aller; allions-nous? Est-ce que nous pensions que Gemma aimerait y aller? Est-ce qu’elle roule? At-elle un vélo? Finalement, nous avons dû promettre qu’elle serait là, au vélo; elle etait d’accord, très amusée et pas un peu flatté par l’attention.Il y avait toutes sortes de véhicules  mercredi soir; trottinettes, patins à roulettes, un vélo couché, et bien sûr, un important contingent du club de cycle Nogaro, portant leur meilleur lycra, leurs vélos polis pour l’événement. Nous avons roulé quelques tours du circuit et a parlé aux membres du club pendant un moment, avant de rentrer; après tout, Gemma s’etait levée à quatre heures ce matin-la et elle a commencer a fatiguer.

Alex et Izzy sont arrivés jeudi après-midi, juste à temps pour vider et remplir leurs valises  pour les deux prochains jours. Vendredi était la fete; nous avons passé la nuit dans le camping-car et le jour suivant sommes partis à Mimizan, au bord de la mer.

Mimizan est le paradis des surfeurs avec les énormes vagues typiques de la côte ouest. La zone où la baignade est autorisée était assez petite et bien surveillé par trois gardiens de la vie, deux sur une tour, la troisième dans l’eau, ce qui donne une indication du danger ces eaux peuvent poser. Même pataugeoire était assez intense, comme la marée montait et les vagues frapper le rivage avec une force incroyable. Nous avions deux personnes avec Izzy en tout temps; elle aimait sauter et plonger dans les vagues, mais le ressac était si forte, il aurait facilement pu l’emporter.

Une promenade en ville pour des glaces, des cartes postales et un coup d’oeil autour, alors il était temps de rentrer à la maison, nous etions tous assez fatigués après quelques jours occupés.

Mais il n’y a pas de repos pour les méchants, comme ils disent; ce fut, après tout, le week-end de la fête du village et nous avions réservé pour aller à la déjeuner le dimanche. Pas de chance pour Izzy à être ennuyé car il y avait un château gonflable à l’arrière de la salle des fetes, alors elle pouvait brûler beaucoup d’énergie entre les plats, nous laissant profiter de la nourriture, le vin et la société.

Lundi, la dernière journée pour Alex et Izzy, a moins bien réussi. Le restaurant ou nous sommes allés pour le déjeuner, ou on n’a jamais eu besoin de réserver avant, était plein; nous avons essayé deux autres, mais tous les deux  était fermés, alors nous sommes allés chez nous et nous avons mangé des restes du frigo. Alex voulait aller au parc acrobatique, avec ses tyroliennes, que Nick et Izzy avaient fait l’année dernière, mais il a commencé à pleuvoir, lorsque nous étions en voiture et à quelques minutes de notre arrivée, il y avait de l’orage, la foudre et la pluie torrentielle; donc nous sommes rentrés. Alex n’était pas heureuse, mais peut-être l’année prochaine …..

Plus tard ce soir-là il y avait une énorme tempête; du tonnerre, des coups de foudre, des pluies torrentielles et les vents les plus forts que nous avons vu depuis que nous sommes ici. Comme il a commencé, nous sommes allés jusqu’au balcon pour bouger les meubles en arrière, plus loin de la pluie; nous étions juste à temps pour voir les chaises en rotin et canapé glissant le long du balcon, fouettés par le vent, et sur le point de disparaître du bout, si nous n’avions pas réussi à les saisir et de les amener à l’intérieur. Le lendemain matin, nous avons trouvé nos haricots et des plants de tomates désolé et battu au sol, mais nous avons eu de la chance; beaucoup de gens ont perdu des arbres et des tuiles de leurs toits.

Le mardi Alex et Izzy sont rentrés chez eux, suivi par Gemma mercredi; la maison était tellement calme et vide sans eux. Un ami décrit le temps apres une visite de la famille comme étant un peu comme un deuil; je ne dirais pas tellement fort, mais elles nous manquent certainement quand elles sont parties. Heureusement, cela ne dure pas trop longtemps.

Party time

This summer has been so hot, a series of heat waves with temperatures up to 40ºC, each one running into the next, with hardly time to notice when it was cooler in between.

The day of the party to celebrate Kieran and Alice’s wedding was no different; it was held at Alice’s parents’ house in the middle of the forest, so we benefitted from the shade of the trees, but even so, no-one complained when the children started spraying everybody with hosepipes as the temperature soared.

Kieran was up early that morning to light the fire in the outdoor bread oven, for the evening’s pizzas and the fire to cook the Méchoui, a whole lamb cooked on a spit over an open fire, for lunch. There was a tomato salad to start with, then the lamb, which was delicious, served with beans and heaps of French bread. Cheese and salad followed, then the cake, a traditional pièce montée, choux puffs, filled with crème patissière, piled up and stuck together with caramel.

Jacques, Alice’s dad, had asked me to take my guitar, so I’d asked Adrian and his brother Mick to do the same. We played for a few hours in the evening; it was a lovely atmosphere and so informal that lots of people joined in; if I didn’t know a song, someone else would, and if they were unsure of the lyrics, someone would find them on a tablet. Alice’s brother, Max, seemed to know nearly every song and was more than happy to throw himself into the role of rock star.

We stayed over, in the camper, and helped with the clean up the next morning, before heading off to the coast, but that’s another story.

Cet été a été très chaud, une série de canicules avec des températures jusqu’à 40°C, chacun suivant le prochain, avec à peine le temps de remarquer quand il faisait plus frais entre eux.

Le jour de la fête pour célébrer  le mariage de Kieran et Alice n’etait pas différente; on est allé à la maison des parents d’Alice au milieu de la forêt, nous avons donc profité de l’ombre des arbres, mais tout de même, personne ne se plaint quand les enfants ont commencé à pulvériser tout le monde avec des tuyaux d’arrosage quand la température est monté.

Kieran a du se lever tôt le matin pour allumer le feu dans le four à pain extérieur, pour les pizzas de la soirée et le feu pour faire cuire le méchoui, un agneau entier cuit à la broche sur un feu ouvert, pour le déjeuner. Il y avait une salade de tomates pour commencer, puis l’agneau, qui était délicieux, servi avec des haricots et du pain. Fromage et salade ont suivi, puis le gâteau, une pièce montée traditionnelle.

Jacques, le père d’Alice, m’avait demandé de prendre ma guitare, donc j’ai demandé à Adrian et son frère Mick à faire de même. Nous avons joué pendant quelques heures dans la soirée; ce fut une belle atmosphère informelle et ainsi que beaucoup de personnes se sont jointes; si je ne connaissais pas une chanson, quelqu’un d’autre la connaissait, et si il ne savaient pas des paroles, quelqu’un pourrait les trouver sur une tablette. Le frère d’Alice, Max, semblait connaître presque tous les chansons et était plus qu’heureux de se jeter dans le rôle de la rock star.

Nous y avons séjourné dans le camping-car, et aidé au nettoyage le lendemain matin, avant d’aller à la côte, mais cela est une autre histoire.

Cow running, Nogaro style

It’s the time of year when festivals and local fetes abound; every weekend is the turn of some nearby town or village to hold its annual fete, be it at Dax, one of the biggest fetes in the region, or of a tiny village with only a handful of inhabitants.

We had a walk around the vide grenier, which is always part of the Nogaro fete; the main roads through the town are closed to traffic and filled with stalls selling everything imaginable, from those people just having a clear out, to professionals selling old tools, organic breads, jewellery, books, jams…….. I picked up a few nice pieces of lace for my latest project and Nick bought a couple of water colour paintings, which now adorn the sitting room walls. But the main reason for going to the vide grenier is to bump into people you perhaps haven’t seen for a while, as everybody goes. The atmosphere is great.

The following day was the running of the cows; not just any old cows, but cows that are specially bred and trained for this, and similar, events. I got there early and found a good vantage point on the corner of the road. A bandas band came past; I can’t say it’s my sort of music, in fact it seems to me as though they all just play as loud and as fast as they can, in order to make as much noise as possible; but each to their own. After they’d finished the only people on the road were the young men selected for the event, ie to run in front of the cows without being trampled. A good natured crowd had built up behind the barriers lining the streets, until the town siren soundedmarking the start. Six cows were released from a lorry at the end of the run; they chased the men past the hay bales, a safe spot to jump to when the cows got too close, round the corner and down to the bottom of Nogaro’s main street. Then back up as far as the lorry, where they were turned around, to do it again, and again, three or four times in total, lasting all of 10 minutes.

Not Pamplona, but entertaining.

Il est la saison de l’année où les fêtes et festivals locaux abondent; chaque week-end est le tour d’une ville ou d’un village à proximité d’avoir leur fête annuelle, que ce soit à Dax, une des plus grandes fêtes de la région, ou d’un petit village avec seulement une poignée d’habitants.

Nous avons eu une promenade autour du vide grenier, qui est toujours partie de la fête de Nogaro; les  routes principales sont fermées à la circulation et rempli de stands vendant de tout imaginables, de ceux des gens qui trient, à des professionnels qui vendent de vieux outils, de pains biologiques, bijoux, livres, confitures …….. J’ai trouvé quelques beaux morceaux de dentelle pour mon dernier projet et Nick a acheté deux peintures, qui ornent aujourd’hui les murs du salon. Mais la raison principale pour aller à la vide grenier est de recontrer des gens qui peut-être on n’a pasi vu pendant un certain temps, mais qui seront la, parce que tout le monde y va. L’ambiance est super.

Le jour suivant était la course des vaches; pas n’importe quelles vaches, mais des vaches qui sont élevés et entrainé pour cela, et des événements similaires. Je suis arrivé tôt et ai trouvé un bon point de vue au coin de la route. Le Bandas est passé, en jouant; je ne peux pas dire qu’il est mon genre de musique, en fait, Il me semble qu’ils jouent aussi fort et aussi vite que possible, afin de faire autant de bruit que possible; mais chacun a sont gout. Lorsqu’Ils avaient fini, les seules personnes sur la route étaient les jeunes hommes sélectionnés pour l’événement, pour courir devant les vaches sans être piétiné. Une bonne foule de bon humeur etait arrivé derrière les barrières qui bordent les rues, la sirène de la ville a sonné, est c’est parti. Six vaches ont été libérés d’un camion au bout de la course; Ils ont chassé les hommes autour du coin et vers le bas de la rue principale de Nogaro. Puis elles sont revenu vers le camion, où ils ont été tournés autour, pour le faire encore, et encore, trois ou quatre fois en tout, d’une durée de 10 minutes.

Ce n’est pas Pampelune, mais c’etait divertissant.

 

Marciac jazz festival

The last three weeks have been Marciac’s annual jazz festival, when the entire town is taken over by musicians, music lovers and artisans of all kinds. The central place is covered by a fabric roof, a stage is erected at one end and free concerts go on from the morning through to the early evening; later on, the big names appear in the chapiteau, a huge marquee that seats around 6000 people.

The rest of the town becomes a huge market, with stalls selling all sorts of artisanal goods, jazz CDs and vinyl, jewellery, clothing. There’s a proliferation of bars, cafes and restaurants, many of the temporary, housed in tents, where you can eat Vietnamese, Moroccan, Italian, food from all over the world in fact. Residents let out their garages and even their kitchens for the duration of the festival, to be turned into guitar builders’ studios, art galleries or cafes selling Morrocan pastries and mint tea to the weary.

The atmosphere is great, so relaxed; if there isn’t enough seating in the place for everyone who wants to listen to a particular band, people just sit on the ground, or some dance around the edges. People of all ages go, from tiny babies, through to the elderly, barely able to hobble around on the walking sticks. You see quite an array of fashions; people around here don’t tend to dress up to go out to the cinema, a meal, a party, or even a wedding; but they dress up to go to Marciac – there’s all sorts of weird clothing!

One day we went to find that most of the day’s bands in the place were from local music schools and colleges; some weren’t to our taste, but others were superb. You could hear tones of Pink Floyd from one band and the keyboard player in another was clearly a Rick Wakeman fan.

We still haven’t been to a gig in the chapiteau; we wanted to go to see Lisa Simone this year, but the weather was foul that day, with torrential rain and thunderstorms, so we decided not to venture out; but next year, I hope we’ll get there.

Sorry the photos are poor; I only took my phone with me.

Ces trois dernières semaines etaient le festival de jazz à Marciac, lorsque la ville entière est prise en charge par des musiciens, mélomanes et artisans de toutes sortes. La place est couvert par une toiture en tissu, un stade est érigé à une extrémité et il y a des concerts gratuits du matin au soir; plus tard, les grands noms de jazz jouent dans un immense chapiteau qui peut accueillir environ 6000 personnes.

Le reste de la ville devient un immense marché, avec des stands vendant toutes sortes de produits artisanaux, des CD de jazz et de vinyle, des bijoux, des vêtements. Il y a une prolifération de bars, cafés et restaurants, beaucoup d’eux logées temporairement, dans des tentes, où on peut manger vietnamien, marocain, italien, nourriture de partout dans le monde, en fait. Les résidents louent leurs garages et même des cuisines pour la durée du festival, pour être transformé en studios, des galeries ou des cafés vendant des pâtisseries et thé à la menthe marocaine.

L’ambiance est super, tellement détendu; si il n’y a pas assez de sièges dans la place pour tous ceux qui veulent écouter un groupe, les gens s’assoient au sol, ou dansent à coté. Les gens de tous âges y vont,  des petits bébés aux personnes âgées, à peine capable de marcher avec leurs cannes. On voit telle mode; des gens d’ici ne s’habillent pas bien pour aller au cinéma, à un repas, à une fete, ou même pour un mariage; mais ils s’habillent tres attentivement pour aller à Marciac – on voit toutes sortes de vêtements bizarre aussi qu’elegant!

Nous sommes allés un jour à constater que la plupart des groupes de la journée venaient des écoles et collèges de musique locaux; certains n’étaient pas à notre goût, mais d’autres étaient superbes. On pouvait entendre des tonalités de Pink Floyd d’un groupe et dans un autre le claviériste etait evidemment fan de Rick Wakeman.

Nous n’avons pas encore assisté à un concert sous le chapiteau; nous voulions aller voir Lisa Simone cette année, mais le temps était affreux ce jour-là, avec la pluie et les orages torrentielles, donc nous avons décidé de ne pas y aller; mais l’année prochaine, je l’espère, nous y arriverons.

Je suis désolée que les photos ne sont pas bonnes; je n’ai amené que mon portable.

 

A very French wedding

When Kieran and Alice announced their intention to marry, their plan was to have as small a ceremony as possible, just themselves, both sets of parents and their witnesses. No fuss.

But there hasn’t been a wedding in the Bellocq family since that of Alice’s parents, 36 years ago, so understandably, everyone in the big, extended family wanted to be there; brothers, aunts and uncles, grandparents, loads of cousins, as well as a few, select friends.

Kieran’s witness, Chris, flew out from Harrogate, while Alice’s, Pierre (who looks just like a young Clark Gable) arrived from Athens; they’d all had a good night on the eve of the wedding and there were some sore heads by Monday morning.

Alice looked stunning in a beautiful blue dress and we felt so proud of Kieran, in his new suit and a ring he’d made on the 3D printer, as his hadn’t arrived in time; he looked so handsome, though I would think that, wouldn’t I?

The sun was splitting the paving as we arrived at the Mairie in Dax and everyone was glad of the cool inside as people spread themselves evenly betwen the two family sides of the seating; we adopted several of Alice’s friends and relations as honorary Cawthray family members for the service, so there wouldn’t be just Nick, Chris and I on “our” side. The lady who performed the wedding had phoned Kieran last week to ask how to pronounce his name and made a very passable attempt at it. The official part was over in minutes, but she went on to say a few words and read a poem which I think is a classic, but which, I have to admit, went over our heads.

By the time we left the Mairie, the sky had clouded over, so we were able to take some photos outside before going back to Alice’s parents’ house for the evening, and to watch the fantastic firework display put on for us by Mother Nature, as the thunder rumbled and the lightning flashed all around. The younger crowd headed off to a family house in the forest, where they could barbecue and party to their hearts’ content, without fear of disturbing neighbours, while we oldies celebrated in a quieter fashion. That’s not to say there wasn’t plenty of champagne flowing as we enjoyed an apero dinatoire, a sort of French finger buffet, containing all the ingredients of a sit down meal.

I’d love to say that Nick and I struggled to learn the names of all of Alice’s relatives, most of whom we hadn’t met before, but it would be more accurate to say that, for the most part, we failed. It was lovely to meet them all, though, and I hope we’ll do better next time we see them, when we have a big wedding party at the end of the month. Alex, Izzy and Gemma will be coming over for that, as well as other friends, so we Cawthrays will be better represented.

Lorsque Kieran et Alice ont annoncé leur intention de se marier, leur plan était de cérémonie aussi petit que possible, à eux-mêmes, leurs parents et leurs témoins. Pas de chichi.Mais il n’y a pas été un mariage dans la famille Bellocq depuis  celle des parents d’Alice, il y a 36 ans, donc naturellement, tout le monde dans la grande famille élargie, voulait être là;des frères, des oncles et des tantes, des grands-parents, des  cousins et cousines, ainsi que quelques amis.Le témoin de Kieran, Chris, est arrivé de Harrogate, tandis que ce d’Alice, Pierre (qui ressemble à un jeune Clark Gable) est venu d’Athènes; ils avaient tous celebré bien la veille du mariage et il y avait quelques têtes endoloris par lundi matin.Alice était magnifique dans une belle robe bleue et nous nous sommes sentis si fiers de Kieran, dans son nouveau costume et une bague qu’il avait fait sur l’imprimante 3D, comme la sienne n’était pas arrivé; il avait l’air si beau, mais, bien que je pense, n’est-ce pas?

Le soleil etait très chaud quand nous sommes arrivés à la mairie de Dax et tout le monde était heureux d’aller à intérieur frais; nous avons adopté plusieurs français comme membres d’honneur de la famille Cawthray pour le service, pour que Nick, Chris et moi ne soient pas les seuls à «notre» côté de la pièce. La dame qui a effectué le mariage a apellé Kieran la semaine dernière pour demander comment prononcer son nom et a fait une tentative très passable. La ceremonie officielle n’a duré  que quelques minutes, mais elle a continué à dire quelques mots et lire un poème qui je pense est un classique, mais qui, je dois admettre, nous n’avons pas compris.

Au moment où nous quittions la Mairie, le ciel était couvert, donc nous avons pu prendre quelques photos à l’extérieur avant de revenir chez les parents d’Alice pour une soirée, et de regarder le feu d’artifice fantastique mis sur nous par la Mère Nature, comme le tonnerre grondait et des éclairs tout autour. Les jeunes se dirigea vers la maison de famille dans la forêt, où ils pouvaient faire un barbecue et passer une soirée assez bruyant, sans crainte de déranger les voisins, alors que nous, les plus vieux et vieilles ont célébré dans un façon plus tranquille. Cela ne veut pas dire qu’il n’y avait pas beaucoup de champagne qui coulait, et nous avons apprécié un superbe apero dinatoire.

Je serais ravi de dire que Nick et moi ont eu du mal à apprendre les noms de tous les parents d’Alice, la plupart de ce que nous avions jamais rencontré auparavant, mais il serait plus exact de dire que, pour la plupart, nous avons échoué. Il était très agréable de les rencontrer tous, cependant, et j’espère que nous ferons mieux la prochaine fois que nous les voyons à la fin du mois, quand on fera une grande fete. Alex, Izzy et Gemma seront là, aussi que quelques autres amis  donc nous, les Cawthray, seront mieux représenté.