Cake or Death

Each year the “Geant du Tourmalet”, a huge statue of a cyclist, is taken in a lorry to where it will spend the summer, on top of the col du Tourmalet. Over the years it has become something of a cyclists’ pilgrimage to follow the lorry up the mountain, and Nick, along with some other members of our club, joined the other 1500 or so cyclists, starting at Bagnerres de Bigorre for the 30km ride.

Nick had actually spent the previous night at a friend’s near Arreau; he’d have had to set off from here at some ungodly hour of the morning for the start, so he and Ian cycled to the start from Ian’s, another 30km.

Once on the top of the Tourmalet, they were all given a present of a buff, and food is provided for the masses; baguettes, hams, cheeses, fruit, wine, coffee and an array of cakes to die for. Nick sampled as many as he was able, including four pieces of the most magnificent fruit tart.

He stayed the next night at Ian’s too, as the club run on Sunday was in the mountains; 69km over the cols of Azet, Ris and Peyresourde, and  finishing with a picnic on the side of a lake.

As Monday was a bank holiday, there was another club run, this time from Nogaro, bringing Nick’s total distance for the weekend up to an impressive 278km.

Chaque année, le “Géant du Tourmalet”, une immense statue d’un cycliste, est prise dans un camion à l’endroit où elle va passer l’été, sur le dessus du col du Tourmalet. Au fil des années il est devenu quelque chose de pèlerinage des cyclistes de suivre le camion de la montagne, et Nick, avec quelques autres membres de notre club, rejoint les quelque 1500 autres cyclistes, à partir de Bagnerres de Bigorre pour la balade 30 km.

Nick avait  passé la nuit précédente chez un ami près d’Arreau; il aurait dû partir d’ici très tôt la matinée pour le début, donc lui et Ian ont pédalé au départ, un autre 30 km.

Une fois sur le sommet du Tourmalet, ils ont tous reçu un cadeau d’un chamois, et la nourriture est fournie pour les masses; baguettes, jambons, fromages, fruits, vin, café et un éventail de gâteaux superbe. Nick a échantillonné autant qu’il a pu, y compris quatre pièces de plus magnifique tarte au fruit.

Il a passé la nuit prochaine chez Ian aussi, comme la rando du club le dimanche était dans les montagnes; 69 km par les cols d’Azet, Ris et Peyresourde, et en terminant par un pique-nique sur le bord d’un lac.

Comme lundi était un jour férié, il y avait une autre rando du club, cette fois de Nogaro, portant la distance totale de Nick pour le week-end à 278 km; impressionnant.

A magical, musical evening

The concert with Omnes orbis last month

 

There’s an old chapel in Aire sur l’Adour that’s been converted into a gite for pilgrims on the route of St. Jacques de Compostelle; Sophie and Gerard, who own it, have worked non stop for the last few years to transform it from a ruin, vandalised by the local youth, to a beautiful, welcoming gite d’étape. Nellie, who sings in the band, has had the task of restoring and rebuilding the stained glass windows and tiling the bathrooms with original mosaics and her partner Hervé has done a large part of the woodwork.

Last year Sophie and Gerard were able to welcome six guests, but this year they’ve opened the sacristy as a second dormitory, giving them space for a further six pilgrims, but there’s still a lot of work to be done, so Gerard has organised a series of monthly concerts to help raise funds; the first, last month, was Omnes Orbis, a male voice choir in which Hervé sings and which was very well attended. Last night we went to listen to K’y Bam, a two man group that promised a musical trip around the world; we weren’t disappointed.

The two musicians played an amazing array of instruments, from bongo drums to various whistles, trumpet to a hand cranked harmonium, not to mention the dozens of traditional, ethnic instruments whose names I couldn’t even start to guess at, along with state of the art record and replay technology. It was impressive even before we heard the voice of one of the men; a tenor whose range extended beyond the top of a normal female soprano’s; he could do anything with his voice, it was incredible!

There was utter silence from the audience; we were totally swept away as the music took us from the sand dunes of the Sahara to deepest Africa, then across Asia to the mosques of Pakistan; it felt like a ride on a magical, flying carpet.

Nick’s away for the weekend, but I signed up to their mailing list; I’m determined he’ll be able to see them when next they play, I’ve never heard such innovative, original or hauntingly beautiful music. If you’re interested, check out the link below

https://www.youtube.com/watch?v=tQFFh034yJc

K’y Bam

Il ya une vieille chapelle à Aire sur l’Adour qui a été transformée en un gîte pour les pèlerins sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle; Sophie et Gérard, qui en sont propriétaires, ont travaillé sans arrêt pendant les quelques dernières années à transformer de ruine, vandalisé par la jeunesse locale, pour un beau, accueillant gîte d’étape. Nellie, qui chante dans la bande, a eu la tâche de restaurer et de reconstruire les vitraux et de faire le carrelage des salles de bains avec mosaïques originales et son partenaire Hervé a fait une grande partie de la menuiserie.

L’an dernier, Sophie et Gérard ont pu accueillir six personnes, mais cette année, ils ont ouvert la sacristie comme une deuxième dortoir, leur donner un espace pour six pèlerins en plus, mais il reste beaucoup de travail à faire, donc Gérard a organisé une série de concerts mensuels pour aider à amasser des fonds; le premier, au mois de mai, était Omnes Orbis, un chœur de voix d’hommes dans lequel Hervé chante et qui a été très bien fréquenté. La soirée dernière, nous sommes allés à écouter K’y Bam, un groupe de deux hommes qui a promis un voyage musical autour du monde; nous n’avons pas été déçus.

Les deux musiciens ont joué un extraordinaire éventail d’instruments, de bongos à divers flutes, d’une trompette à une manivelle harmonium, pour ne pas mentionner les dizaines d’instruments traditionnels, ethniques dont les noms je ne pouvais même pas commencer à deviner, avec la technologie de enregistrement de lecture tout moderne. C’était impressionnant même avant nous avons entendu la voix de l’un des hommes; un ténor dont la gamme étendue au-delà du haut d’une normale soprano fille; il n’y avait rien qu’il ne pouvait pas faire avec sa voix, c’était incroyable!

Il y avait un silence absolu de l’auditoire; nous etions totalement balayés par la musique que nous a transporté des dunes de sable du Sahara à l’Afrique profonde, puis à travers l’Asie vers les mosquées du Pakistan; c’était comme un tour sur un  tapis magique.

Nick est en montagnes ce week-end, mais je me suis inscrit à leur liste de diffusion; je suis déterminé qu’il  les verra quand ils jouent à côté, je n’ai jamais entendu une telle musique innovante, originale ou d’une beauté envoûtante. Si vous êtes intéressé, consultez le lien ci-dessous

https://www.youtube.com/watch?v=tQFFh034yJc

Flamenco and filling

There was a Spanish evening in the nearby village of Aignan last weekend; Didier, a member of the cycle club, was dancing with the Flamenco troupe, so a group of cyclists went along. The hall was packed with over 300 people, all eager to eat paella watch the dancing. The evening started with the youngest of the dancers; the smallest must have been all of 4 years old, all dressed up in flamenco dresses in an array of colours, bright pinks, oranges, greens and blues. Next came the teenagers, to be joined by the adults, all magnificently dressed and looking very Spanish as they strutted their stuff, accompanied by a live Spanish band. Didier didn’t dance until the second half of the evening, looking very much the part with his swarthy skin and dark, curly hair; there were a few comments from some of the men in our group, being of the more typical French variety, but Didier was man enough to shrug them off – who says dancing’s for girls?!

Monday was back to reality and more joint filling; Kieran joined us for a day, so he and Nick did some filling of the high ceiling bits as I don’t like going up the scaffolding if I can avoid it. They got quite a long way; we’re beginning to see the light at the end of the filling tunnel.

I had visions of my first project in my new sewing room being making a new dress or doing some patchwork, but no, it wasn’t to be. Nick decided the water storage tank need a cover to prevent it growing algae, so we raided the garage to find the appropriate materials; a length of roof lining and a mucky old tarpaulin. It took me all day to make the cover, having to piece some parts of it when I found that the mice had eaten the end 50cm of the tarpaulin. Pins bent as I tried to push them into the layers of fabric and my thumbs felt punctured, but at last it was done and in place. Next time the summer dress?

Il y avait une soirée espagnole dans le village voisin d’Aignan week-end dernier; Didier, un membre du club de vélo, danse avec la troupe de flamenco, donc un groupe de cyclistes est allé le voir. La salle était remplie de plus de 300 personnes, tous désireux de manger la paella et regarder la danse. La soirée a débuté avec le plus jeune des danseurs; la plus petite doit avoir été tout de 4 ans, tout habillés dans des robes de flamenco dans une gamme de couleurs, des roses lumineux, oranges, verts et bleus. Viennent ensuite les adolescents, d’être rejoints par les adultes, tous magnifiquement vêtus et avec un air très espagnol, accompagnés par un groupe musical espagnol. Didier ne dansait pas avant la deuxième moitié de la soirée, il avait le look avec ses cheveux noirs et bouclés; il y avait quelques commentaires de certains des hommes de notre groupe, étant de la variété française plus typique, mais Didier était assez homme pour trouver la faille – qui dit que la danse n’est pour que les filles!

Lundi était de retour à la réalité et plus remplissage des joints; Kieran nous a rejoint pour une journée, afin que lui et Nick fait un peu remplissage des parties hautes de plafond ou je n’aime pas aller à l’échafaudage si je peux l’éviter. Ils ont beaucoup fait; nous commençons à voir la lumière au bout du tunnel de remplissage.

J’ai eu des visions de mon premier projet dans ma nouvelle salle de couture serait de faire une nouvelle robe ou du patchwork, mais non, ce n’était pas d’être. Nick a décidé le réservoir de stockage d’eau a besoin d’un couvercle pour empêcher la croissance des algues, nous sommes allés au garage pour trouver les matériaux appropriés; une longueur de revêtement de toit et une vieille bâche boueux. Il m’a fallu toute la journée pour faire la couverture, d’avoir à reconstituer certaines parties de celui-ci quand j’ai découvert que les souris avaient mangé le 50cm de la fin de la bâche. Des épingles ont tordu comme j’ai essayé de les pousser dans les couches de tissu et mes pouces se sentaient crevé, mais à la fin il a été fait et en place. La prochaine fois, la robe d’été peut-etre?

And the hip bone’s connected to the thigh bone……..

Isn’t it always the case, that you want to do just one small job, but it ends up cascading into an unforeseen number of other, usually bigger, jobs.

Now that Kieran has left, it seemed a good idea to decorate his room before Alex and Izzy arrive for the summer, a task that’s needed doing since he and Nick insulated the outer wall 18 months ago. We cleared out and boxed up most of what was left, but need to move the book case that takes up most of one wall. It would fit beautifully on the wall of the corridor outside the bathroom, except that’s where the computer lived. So we’d have to rehouse that first. The ideal place, temporarily speaking, seemed to be the space that will one day become the “family guest room”. However, that was full of clothes, futon, travel bags, new kitchen cabinets, boxes of fabric and house contents that we’re storing for friends. In addition to that, while the builders were doing the roof, part of the chipboard flooring was damaged and couldn’t be walked on.

So we cleared part of the space, enough to house the PC, and Nick put down a wooden floor and installed plugs and lighting; we now have a workable office space. Such luxuries as walls and a ceiling will come later, once we’ve moved the book case, decorated Kieran’s room and finished the rest of the house – not next week, then!

N’est-ce pas toujours le cas, que vous voulez faire juste un petit emploi, mais il finit en cascade dans un nombre imprévu d’autres, généralement plus grandes, taches.

Maintenant que Kieran a quitté notre maison, il semblait une bonne idée de décorer sa chambre avant Alex et Izzy arrivent pour l’été, une tâche qu’il nous faut faire depuis  lui et Nick ont isolée le mur extérieure il ya 18 mois. Nous avons trié  la plupart  de ce qui restait, mais nous devons bouger les etageres de livres qui prend la plupart d’un mur. Il s’accorde  au mur du couloir dehors de la salle de bains, sauf que c’est là où l’ordinateur a vécu. Alors, nous devons reloger cette première. L’endroit idéal, parlant temporairement, semblait être l’espace qui sera un jour la “chambre familiale”. Cependant, c’était plein de vêtements, futon, sacs de voyage, de nouvelles armoires de cuisine, boîtes de tissu et les contenus de la maison de quelques amis. En plus de cela, alors que les constructeurs faisaient le toit, une partie du plancher de panneaux de particules a été endommagé et n’a pas pu être piétiné.

Donc, nous avons dégagé une partie de l’espace, assez pour abriter le PC, et Nick a posé un plancher en bois et a installé les prises et l’éclairage; nous avons maintenant un espace de bureau pratique. Ces objets de luxe comme des murs et un plafond arriveront plus tard, une fois que nous avons déménagé le cas du livre, décoré la chambre de Kieran et terminé le reste de la maison – pas la semaine prochaine, alors!

BOGOF water!

Caupenne doesn’t have mains drains, so each house has its own fosse septique (septic tank); this may sound rather primitive, but has one big advantage, you can use the treated, grey water that’s pumped out of the fosse to water the garden.

Our friend Guy, who has a vine propagating business, gave us a 1000 litre water storage tank, so Nick’s been busy devising a system of tanks and pipes to take the water from the fosse, at one side of the garden, to the storage tank at the other.

When the water comes out of the fosse, it’s pumped really fast, so up to now, we’ve collected it in a dustbin while both of us scoop it out into watering cans as fast as we can, running to empty them onto the tomatoes, aubergines and courgettes, while trying not to let the dustbin overflow. But once the new system’s up and running things should be a lot easier and watering the garden should feel less like a game of “It’s a knockout”.

 

Caupenne n’ste pas tout à l’égout, donc chaque maison a sa propre fosse septique; cela a un gros avantage, qui est qu’on peut utiliser l’eau traité, grise, qui est pompé hors de la fosse pour arroser le jardin.

Notre ami Guy, qui a une entreprise de vigne de multiplication, nous a donné un réservoir de 1000 litres d’eau, donc Nick a été occupé par l’élaboration d’un système de tuyauteries et réservoirs à prendre l’eau de la fosse, d’un côté du jardin, vers le réservoir de stockage à l’autre.

Quand l’eau sort de la fosse, elle est pompé très vite; jusqu’à présent, nous l’avons recueilli dans une poubelle alors que nous deux évider en arrosoirs aussi vite que nous le pouvons, en cours d’exécution pour les vider sur les tomates, les aubergines et les courgettes, tout en essayant de ne pas laisser le trop-plein de la poubelle. Mais une fois en place et fonctionne les choses du nouveau système devrait être beaucoup plus facile et l’arrosage du jardin devrait beaucoup plus facile.

La not-quite-fabuleuse histoire d’un night out

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We love the cinema in Nogaro; its seats are richly upholstered and the most comfortable I’ve found in any cinema, there is loads of leg room and it’s not an expensive night out. They show a different film every evening, most of them new and several times a month have a “foreign” film in version original. We frequently find that the English films we watch haven’t yet been released in Britain.

Sadly, it’s not well attended; sometimes there are only three or four people in the audience. Last night was an exception however; “La fabuleuse histoire de Monsieur Riquet” was to be shown in the presence of the director, with a slot for questions afterwards. The story of the man who built the canal du Midi, to link the Atlantic to the Mediterranean, in the 17th century attracted a good audience, though I think we were the only English there and as such were introduced to the director by our friend Jean-Luc, who had organised the evening.

It was billed as a documentary, we’d hoped for a drama-documentary, but that wasn’t the case; I have to admit to getting completely bogged down in the dates, place names and names of the people involved, as well as the technical terminology, but as I listened to the person behind me snoring gently, I realised I wasn’t the only one struggling. By the end we’d probably understood about a quarter of what was said, though we do know more about the canal’s history now than we did before the film.

We did enjoy the evening, however; neither of us having met a real film director before. But I think the next time we find a documentary, we might just give it a miss.

Nous aimons bien le cinéma à Nogaro;  ses sièges sont richement tapissée et le plus confortable que j’ai trouvé dans un cinéma, il y a beaucoup d’espace pour les jambes et ce n’est pas une nuit cher. Ils montrent un film différent chaque soir, la plupart d’entre eux de nouvelles et plusieurs fois par mois il y a un film «étranger» en version originale. Nous constatons souvent que les films anglais que nous y regardons  n’ont pas encore été publié en Grande-Bretagne.

Malheureusement, ce n’est pas bien suivie; parfois, il n’y a que trois ou quatre personnes. La nuit dernière était cependant une exception; “La fabuleuse histoire de Monsieur Riquet” devait être présenté en présence du réalisateur, avec un moment pour les questions après. L’histoire de l’homme qui a construit le Canal du Midi, pour relier l’Atlantique à la Méditerranée, dans le 17ème siècle, a attiré un bon public, mais je pense que nous étions les seuls Anglais.

Il a été présenté comme un documentaire, nous avions espéré pour un drame-documentaire, mais ce n’était pas le cas; je dois avouer être complètement enlisé dans les dates, les noms des lieux et les noms des personnes concernées, ainsi que la terminologie technique, mais quand j’ai écouté à la personne derrière moi de ronfler doucement, je savais que je n’etais pas la seule personne ayant du mal. À la fin nous aurions probablement compris environ un quart de ce qui a été dit, mais neanmoins nous savons plus sur l’histoire du canal maintenant qu’avant le film.

Nous avons apprécié la soirée, cependant; ni l’un ni l’autre de nous avoir rencontré un vrai metteur en scène du film avant. Mais je pense que la prochaine fois que nous trouvons un documentaire, nous pourrions simplement l’eviter.

 

Not a race, but great fun

Cycling’s no minority sport here; you see cyclists everywhere, and mostly riding state of the art, carbon fibre machines. Every village has its cycling club and each one is different from its neighbours. Our club, in Nogaro, is affiliated to the French Cycle Touring Association; the le Houga club, whose president happened to ride past when I was struggling to remove a tyre  after a puncture last week, and played the role of knight in shining armour, has their main race of the year at the village fete; another, Eauze, is mostly for racing.

The Eauze club is holding a race at the motor race circuit in Nogaro in June; they wanted to check that their timing system was working properly, so several members of our club joined some of their riders on the circuit tonight to try out the transponders. There were about twenty riders, from little lads of 8 or 9 years old in full Eauze club strip, to the more mature members of our club; they did several tours of a small circuit, passing the finish line individually and in a group, to check that the system, linked to a laptop, functioned as it should.

By the end of about 40km, the organisers seemed happy with their system, the cyclists were happy to have had a good thrash around the circuit and everyone went home. Nick won’t be riding in the race, but we may well go along to watch.

 

 

Le vélo n’est pas un sport de la minorité ici; on voie des cyclistes partout, et le plupart roule aux belles machines en fibre de carbone. Chaque village a son club de cyclisme et chacun est différent de ses voisins. Notre club, à Nogaro, est affilié à la Federation Française de cyclotourism; le club du Houga, dont le président est arrivé à passer devant quand je luttais pour enlever un pneu après une crevaison la semaine dernière , et a joué le rôle de chevalier dans l’armure brillante, a sa principale course de l’année à la fête du village; une autre, à Eauze, est surtout pour faire la course.

Le club d’Eauze organise une course sur le circuit de Nogaro, en Juin; ils voulaient vérifier que leur système de chronometrage  fonctionne correctement, donc plusieurs membres de notre club se sont joignés certains de leurs coureurs sur le circuit ce soir pour essayer les transpondeurs. Il y avait une vingtaine de coureurs, de petits garçons de 8 ou 9 ans dans la bande complète du club d’Eauze, aux  membres  plus matures de notre club; ils ont fait plusieurs tours d’un petit circuit, en passant la ligne d’arrivée  individuellement et en groupe, pour vérifier que le système, lié à un ordinateur portable, fonctionne comme il se doit .

À la fin de pres de 40 km, les organisateurs semblaient satisfaits de leur système, les cyclistes étaient heureux d’avoir eu un bon randonnée autour du circuit et tout le monde est rentré chez lui. Nick ne roulera pas à la course, mais peut etre nous irons la regarder.

Lazy days on the balcony? Dream on!

The majority of people around here do their gardening according to the phases of the moon, so I’ve decided to give it a go. Someone in the walking club has promised me a book, but until then I’ve found a website that tells you what you can sow and when.

The tomatoes really should have been planted last week, but the bed wasn’t ready; however, from tomorrow, for several days, it’s not a good time to sow or plant anything, so we had to get on with it.

We started at 8.30 this morning; we removed the turf from where the bed was to be and broke the soil up as best we could; this patch of ground has been undisturbed for decades and it’s been hot for the last week, so the heavy clay soil was baked as hard as iron.

One of my students has horses…. and pigs and goats and chickens and cats and 13 dogs and a parrot. Not a farmer, just an animal mad English woman! She was as pleased to be rid of a trailer load of manure as we were to have it, so we spread the manure around and Nick rotavated it in, followed by a load of home made compost.

By lunch time we were ready to start planting our tomatoes, all grown from seeds saved from last year; round yellow ones, orange ones, yellow pear-shaped cherry tomatoes, red beef tomatoes, black beef tomatoes and red cherry tomatoes; 72 plants in all. If they all grow, we’ll have tomatoes coming out of our ears! The only sort we haven’t got are ordinary, round, red tomatoes, so I might buy some plants on the market this week.

Planting done, we had to go back for another trailer load of manure. We’d been promised a cooler, cloudier day today than of late, but although there was a bit of cloud, it was very hot and heavy. As we got to Tracy’s, the sky darkened and there was the sound of thunder in the distance. We shovelled as fast as we could, then came home and unloaded at the same pace. The wind was getting stronger and there were a few drops of rain in the air, but we finished in time.

Nick had to head off to pick up a water storage tank we’d been promised, but as today was the last good day for a while for planting root vegetables, I still had to weed and dig over enough ground in the patch where we dug out the broad beans yesterday, to sow beetroot. The rain started properly now; I was soaked to the skin by the time I’d finished, but very glad of the rain as I was too tired even to  consider watering.

 

La majorité des gens ici font leur jardinage selon les phases de la lune, alors j’ai décidé de l’essayer. Quelqu’un dans le club de randonnées m’a promis un livre, mais en attendant, j’ai trouvé un site qui vous dit ce que vous pouvez semer et quand.

On a du planté les tomates la semaine dernière, mais le potager n’était pas prêt; cependant, à partir de demain, pendant plusieurs jours, ce n’est pas un bon moment pour semer ou planter quoi que ce soit, donc nous avons dû le faire.

Nous avons commencé à 8h30 ce matin; nous avons enlevé le gazon d’où le potager devait être et a battu le sol comme de notre mieux; ce partie de terre n’a pas été dérangé pendant des décennies et il a fait chaud pendant la dernière semaine, donc le sol argileux lourd a été cuit et dur comme fer .

Un de mes étudiants a des chevaux …. et des porcs et des chèvres et des poules et des chats et 13 chiens et un perroquet. Pas un agriculteur, juste une anglaise folle des animaux ! Elle était aussi heureux de se débarrasser d’une charge de remorque de fumier que nous etions de l’avoir, nous avons donc écarté le fumier au potager et Nick a passé la motoculteur, suivi par une charge du compost, fait chez nous.

L’heure du déjeuner, nous étions prêts à commencer à planter nos tomates, tous issus de graines recolté l’année dernière; les rond jaunes, destomates oranges, des tomates cerises jaunes  en forme de poire, tomates coeur de boeuf rouge, tomates coeur de boeuf noires et tomates cerises rouges; 72 plantes en tout.  La seule varieté que nous n’avons pas obtenu sont des tomates rouges ordinaires, rond, donc je les acheterai au marché cette semaine .

Plantation fait, nous avons dû  retourner pour un autre chargement de la remorque de fumier. Nous avions été promis un jour nuageux et moins chaud aujourd’hui, mais bien qu’il y ait un peu de nuages, il faisait très chaud et lourd. Quand nous sommes arrivés chez Tracy, le ciel s’assombrit et il y avait le bruit du tonnerre lointain. Nous pelleté aussi vite que nous le pouvions, puis vint la maison et déchargé au même rythme. Le vent se renforce et il y avait quelques gouttes de pluie dans l’air, mais nous avons fini à temps.

Nick a dû parer à ramasser un réservoir de stockage d’ eau que nous avions été promis, mais aujourd’hui était le dernier bon jour pendant un certain temps pour la plantation des légumes  de racines, il m’a fallu enlever des mauvaises herbes et creuser suffisamment de terrain dans le patch où nous avonsenlevé les fèves hier, à semer la betterave. La pluie a commencé bien maintenant; j’étais trempé jusqu’aux os avant de finir, mais très heureux de la pluie car j’étais trop fatigué, même à considérer l’arrosage .

Summer’s here!

All of a sudden, summer’s arrived and we have to get up early to work outside before it gets too hot. Nick had this year’s first dip in the pool yesterday; he said it was lovely – it looked pretty cold to me, so I’ll take his word for it.

After many weeks of work, the first room in the new house is complete; my workshop has been the practice room for the new techniques we’ve had to learn, such as filling plasterboard joints, and for trying out shades of varnish on the woodwork. The result may not be absolutely perfect, but it’s not bad and it’s brilliant to have somewhere to sew after all this time, so I’m not complaining. I spent yesterday afternoon sorting fabrics, trimmings and books  into cupboards and onto shelves. I nearly got away with hiding the mending/alterations pile in a cupboard, but Nick spotted it and insisted that it all be put in a clear plastic bag in the middle of the room – “so I can’t miss it”. Some of it’s been in there so long, I thought he’d have forgotten it, but no, I’ll have to tackle it now.

Tout d’un coup,  l’été est arrivé et nous devons nous lever tôt pour travailler dehors avant qu’il ne fasse trop chaud. Nick a essayé la piscine hier pour la première fois de l’année ; il a dit qu’il était très agréable – il avait l’air assez froid à mon avis, donc je dois le croire.

Après plusieurs semaines de travail, la première pièce de la nouvelle maison est complète; mon atelier a été la salle de formation pour les nouvelles techniques que nous avons dû apprendre, comme le remplissage des joints de plaques de plâtre, et pour essayer nuances de vernis sur les boiseries. Le résultat  n’est pas peut être absolument parfait, mais ce n’est pas mal et c’est génial d’avoir un endroit à coudre après tout ce temps, donc je ne me plains pas. J’ai passé hier après-midi trier des tissus, garnitures et livres dans les armoires et sur ​​les étagères. J’ai essayé de cacher la tas de choses à retoucher dans un placard, mais Nick l’a vu et a insisté que tout soit mis dans un sac en plastique transparent dans le milieu de la pièce –  pour que ” je ne puisse pas l’oublier “. Certains d’entre eux ont y été  si longtemps, je pensais qu’il aurait oublié, mais non, je  dois les faire maintenant .

In praise of the garden fork

Most of the outer walls of our new house are built of roofing tiles; it’s quite a common construction method around here and very attractive, but the outer walls needed insulating, so there we’ve lost the lovely effect. However, the walls common with the gite don’t need to be insulated so we decided to make a feature of them as they extend from the hall downstairs, past the staircase and up to the roof.

Nick’s current mission, then, is to point between the tiles.Before pointing, he must first chip out all the old mortar to about half the depth of the wall; as the pointing covers a larger area than the tiles themselves, this is quite a task. He’s using a special mix of products to get the effect we want, sourced from far and wide. The end result is good, though; I think it will be worth all the effort.

He also has to replace the torchis, the in-fill between the colombage beams beside the staircase; so today he removed barrow loads of the loose, crumbling in-fill that’s graced the old wine making part of the grange for many years. Next he needs to fill the gaps with supporting bricks, before he can start to replace the torchis.

For my part, I’ve been busy in the garden recently; it’s time to sew French beans, and plant out the courgettes, aubergines, tomatoes, chillies, peppers and melons we’ve grown from seed in our makeshift greenhouse. We made three long, narrow beds for veg last year, using the old telegraph poles that used to support the old garage roof, but the first problem this year was finding them. The weeds were shoulder high on me and it was only by walking till I tripped up over one of the poles that I could find the beds at all! It’s taken me all week to clear all the weeds, but today, once Nick had strimmed around the edges, we were ready for planting.

The goose was “helping” Nick, which was fine until he needed to empty his barrow into the compost bins, near where I was working. I made sure my wheel barrow was between me and the goose and stayed very quiet, hoping it wouldn’t notice me; not a chance. Nick caught it heading my way a couple of times and spoke to it soothingly, but as soon as his back was turned, it started to hurtle across the grass towards me, too fast for Nick to catch up. I was using the garden fork, a wonderful anti-goose-attack device, as I discovered; I pointed it at my attacker, who continued to run full pelt, straight between two of the tines. It was completely stuck, flapping its wings wildly and squawking loudly, till Nick took it back to the park. Forget the big stick – from now on my weapon of choice will be the garden fork.

La plupart de murs extérieurs de notre nouvelle maison sont construits de tuiles; c’est une méthode de construction très commun ici et très jolie, mais on a du isoler les murs extérieurs, donc nous avons perdu le  bel effet. Cependant, les parois communes avec le gîte ne doivent pas être isolés et nous avons décidé de faire une attraction d’eux comme ils s’étendent de la salle en bas, à coté de l’escalier et jusqu’au toit.

La mission actuelle de Nick, alors, est de faire les joints entre les tuiles. Au début, il doit enlever tout le vieux mortier à environ la moitié de la profondeur de la paroi; comme le mortier  couvrera une superficie plus grande que les tuiles eux-mêmes, c’est tout à fait une tâche. Il utilise un mélange spécial de produits pour obtenir l’effet que nous voulons, provenant de très loin. Le résultat final est bon, donc je pense que ça vaut la peine.

Il doit aussi remplacer les torchis à côté de l’escalier; de sorte qu’il a retiré les charges de brouette, l’effritement de remplissage qui a etait partie de la grange pendant de nombreuses années. Ensuite, il doit combler les lacunes avec des briques, avant de pouvoir commencer à remplacer les torchis .

Pour ma part, je suis bien occupée dans le jardin récemment; il est temps de semer des haricots verts, et planter les courgettes, aubergines, tomates, piments, poivrons et melons que nous avons fait pousser de semences dans notre serre de fortune. Nous avons fait trois petits potagers étroits l’année dernière, en utilisant les vieux poteaux  qui soutenaient l’ancien toit de garage, mais le premier problème cette année a été les trouver. Les mauvaises herbes étaient jusqu’à mes épaules et ce n’est que par la marche jusqu’à ce que je trébuché au-dessus de l’un des poteaux que j’ai pu trouver lespotagers du tout! Il m’a fallu toute la semaine pour effacer toutes les mauvaises herbes, mais aujourd’hui, une fois Nick avait tondu sur les bords, nous étions prêts pour la plantation.

Le jar  “aidait” Nick, qui allait bien jusqu’à ce qu’il avait besoin de vider sa brouette dans les bacs de compostage, près d’ où je travaillais. Je me suis assuré que ma brouette était entre moi et le jar et est restée très calme, en espérant qu’il ne me remarque pas. Nick le gardait et lui parlait doucement, mais dès qu’il avait le dos tourné, il a commencé à dévaler à travers l’herbe vers moi, trop rapide pour Nick à rattraper. J’utilisais la fourchette de jardin, un merveilleux appareil anti-attaque-de-jar, comme je l’ai découvert; je l’ai signalé à mon agresseur, qui a continué à  toute vitesse, la tete entre deux des dents. Il a été complètement bloqué, agitant ses ailes follement et se balader fort , jusqu’à Nick l’a ramené au parc. Oubliez le gros bâton – à partir de maintenant sur ​​mon arme de choix sera la fourchette de jardin.