A while ago, my friend Terrie phoned to ask if her friend’s son could come to stay with us for a week’s immersion course in French. He was studying in Paris, but the course was run in English and the other students, from all over the globe, wanted to practice their English, so his French wasn’t improving as quickly as he’d hoped. We were unsure, but agreed. The idea was that Tom would work mornings with Nick and study French with me in the afternoons; it didn’t quite work out like that, through nobody’s fault.
We started well enough; Nick and Tom cleared all the piles of soil, left from installing drains behind the house, then they sorted and restacked all the firewood, but although we started many conversations in French, a group of English, speaking amongst themselves in French never felt right, and we soon resorted to English, almost without realising. Tom was looking tired after a couple of days of working at Nick’s pace, so I think he was pleased to be asked to help with my English classes at the CLAN on Tuesday afternoon. At the end of the classes, I asked if anyone would be willing to speak to him in “real” French for an hour or two, after all, it would be so much better than talking with us. My classes consist largely of middle-aged to elderly women, so you can imagine the response when offered the chance to spend time with a handsome young Englishman – we hardly saw him after that!
One took him out to lunch, then to collect her sister’s dog and take it to the vet’s. Another took him to the market, then to hers for lunch, after which her husband took him to a veteran rugby players’ match and dinner in the evening. The director of the local school of music, one of my token male students, took him to lunch and around the school for another day. He joined the walking club on Sunday morning and came with us to a reception held by the new mayor of Caupenne in the afternoon, as well as going to the local cinema to watch a French film – without subtitles, so he was able to listen to and speak plenty of French.
I think he enjoyed his stay; he was made an honorary Cawthray as he tucked into what we regard as healthy quantities of food and drink, but which defeat most normal people. The house once again feels quite empty now that he’s left.
Il y a quelque semaines, ma copine, Terrie, m’a appelé à demander si le fils de sa copine pouvait rester chez nous pour un cours d’immersion en français. Il est étudiant à Paris, mais le cours est en Anglais et les autres étudiants, de partout dans le monde, veulent pratiquer leur Anglais, donc son français n’ameliorait pas aussi rapidement qu’il l’avait espéré. Nous n’etions pas surs, mais on a accepté. L’idée était que Tom travaillerait les matin avec Nick et étudierait le français avec moi dans l’après-midi; il n’a pas tout à fait fonctionné comme ça, la faute de personne.
Nous avons commencé assez bien; Nick et Tom ont bougé tous les amoncellements de terre, laissé après l’installation de drains derrière la maison, puis ils ont triés et empilé tout le bois de chauffage; mais, bien que nous avons commencé de nombreuses conversations en français, un groupe d’anglais, se exprimant en français entre eux n’a jamais été naturel, et nous avons vite eu recours à l’anglais, presque sans réaliser. Tom avait l’air fatigué après deux jours de travail au rythme de Nick, donc je pense que il était heureux quand je lui ai invité à m’aider aux cours d’anglais au CLAN mardi après-midi. À la fin des classes, j’ai demandé si quelqu’un pourrait lui parler en «vrai» français pour une heure ou deux, car ça serait tellement mieux que parler avec nous. La plupart de mes étudiants sont des femmes d’un certaine age, vous pouvez donc imaginer la réponse à la possibilité de passer du temps avec un beau jeune Anglais – nous avons à peine le vu après ça!
Une lui a ammené manger à un restaurant, puis à recueillir le chien de sa sœur et le prendre au vétérinaire. Une autre lui a ammené au marché, puis chez elle pour le déjeuner, après que son mari l’a ammené à un match de rugby et un dîner des vétérans joueurs de rugby la soirée. Le directeur de l’école de musique locale, un de mes étudiants males, l’a emmené à déjeuner et autour de l’école pour un autre jour. Il a rejoint le club de marche le dimanche matin et est venu avec nous à une réception organisée par le nouveau maire de Caupenne l’après-midi, ainsi qu’aller au cinéma local, voir un film en français – sans sous-titres, donc il a écouté et parlé beaucoup de Français.
Je pense qu’il a apprécié son séjour; on l’a nommé un membre honoraire de la famille Cawthray, à cause de son capacité de manger et de boire. La maison sent tout à fait vide une fois de plus maintenant qu’il est parti.