Not terribly grannie-like

The nearby village of Estang had their fête recently and our band was asked to play the 10pm to 1am slot on the Sunday night. As Alex and Izzy were staying, they wanted to come along.

We arrived a bit early and went for a look round; there were fairground stalls, candy floss and rides, a big bouncy castle and all sorts of things to separate a nine-year-old from her pocket money. The thing Izzy wanted to go on most was the Octopus, always a favourite of mine when I used to sneak off to the Harrogate Fair with my brothers when we were kids. Obviously Alex, 7 months pregnant, couldn’t accompany Izzy, so she looked expectantly at Grandad; no way was he going on that and even all Izzy’s charm couldn’t budge him.

She looked so disappointed that I offered to go with her; it wasn’t too bad as we gathered speed, hurtling round and round, both of us squashed into the end of the carriage, hanging on to the bar across our knees. But I’d forgotten that it lifts too and soon we were swooping up and down, while turning round and round at high speed. “Close your eyes, Grannie; then you don’t know where you’re going” yelled Izzy, waving her arms in the air. I’d have loved to, but if I was about to die, I’d rather see it coming.

The ride was, I’m sure, about ten times as long as it ever was when I was young and by the time it finished and I staggered off, I felt distinctly queasy. Never again – I’m definitely too old for that!

Fortunately, I’d recovered sufficiently by the time the band started playing, so didn’t disgrace myself further.

Le village voisin de Estang ont eu leur fête récemment et a demandé à notre groupe de jouer du 22:00 à 1h du matin le dimanche soir. Comme Alex et Izzy etaient chez nous, elles voulaient venir.

Nous sommes arrivés un peu tôt et nous sommes allés pour un coup d’œil; il y avait des baraques foraines, barbe à papa et manèges, une grande structure gonflable et toutes sortes de choses pour séparer un enfant de neuf ans de son argent de poche. La chose que Izzy voulait aller le plus, c’était l’Octopus, toujours un favori de la mienne quand je me suis faufilée à la Harrogate Fair avec mes frères quand nous étions enfants. Évidemment, Alex, enceinte de 7 mois, ne pouvait pas accompagner Izzy, elle regarda dans l’expectative son papi; aucun moyen allait-il et même tout le charme de Izzy ne pouvait pas le bouger.

Elle avait l’air si déçu que je lui ai offert d’aller avec elle; ce n’était pas trop mauvais quand nous nous gagnaions de la vitesse, dévalant en rond, tous les deux écrasés dans l’extrémité de la voiture, accroché à la barre sur nos genoux. Mais j’avais oublié qu’il se lève aussi et bientot, nous montions et nous plongeions de haut en bas, en tournant en rond à grande vitesse. “Fermez les yeux, Mami, alors tu ne sais pas où tu vas”  a crié Izzy, en agitant les bras en l’air. Je l’aurais aimé, mais si je devais mourir, je préfère le voir venir.

Le trajet a duré, j’en suis sûr, au moins dix fois plus longue que quand j’étais jeune et au moment où il a terminé et je suis déscendue, je me sentais mal à l’aise nettement. Plus jamais – je suis vraiment trop vieille pour ça!

Heureusement, j’avais suffisamment récupéré par le temps que le groupe a commencé à jouer, donc je n’ai pas à me déshonorer davantage.

Rockfest

Every year the Emperor Adrian holds a party; there aren’t many private parties that can boast two rock bands, but there’s nothing average about Ade’s barbecue.

We arrived mid-afternoon to help with the setting up. The car was full; the plancher and gas bottle, bags of veg from our garden, fairy lights, my guitar, and bedding as we were staying over.

The party had been postponed from the previous week because of the weather, and the garden was still too wet to put out tables and chairs, so Ade and his friend John had spent the morning emptying his grange and arranging tables and chairs for the 70 people expected. The night was cool, so I, for one, was glad to be indoors.

We sliced melons and rolled ham, chopped courgettes, pattisons, aubergines and peppers, put up fairy lights and folded napkins around plastic cutlery, until the whole place was ready.Somebody even found Kieran a chef’s hat as he and Nick were in charge of the cooking. Then a quick change of clothes as the first of the guests arrived.

What a great night it was! Once the barbecue and most of the eating was over, though not the serious business of drinking, Ade’s band, Mr. Teatime, played alternately with Blue Coloured Rock, the sound being mixed in Ade’s recording studio at the end of the grange. By about midnight it was time for the big jam number of the night – George Harrison’s “While my guitar gently weeps”; every musician joined in. A bit of a daunting number to follow, when Ade asked me to do a few songs afterwards. The music continued till after 3am, when most people went home and Nick and I took ourselves off to the luxurious surroundings of Ade’s van, which turned out to be remarkably comfortable.

We helped clean up and eat leftovers the next day, a quiet meal as there were some fairly sore heads, but nobody minded as the Emperor’s party is something of an established tradition now.

 

Chaque année, l’empereur Adrien fait une fetei; il n’y a pas beaucoup de fete privées qui peuvent se vanter de deux groupes de rock, mais il n’y a rien moyenne sur le barbecue de Ade.

Nous sommes arrivés en milieu d’après-midi pour aider à la mise en place. La voiture était pleine; le plancher et la bouteilles de gaz, des sacs de legumes de notre jardin, guirlandes, ma guitare, et de la literie parce que nous allions y rester la nuit.

La fete avait été reportée à la semaine précédente en raison de la météo, et le jardin était encore trop humide pour mettre des tables et des chaises, donc Ade et son ami John avaient passé la matinée à vider sa grange et à l’organisation des tables et des chaises pour les 70 personnes attendu. La nuit était fraîche, donc, pour ma part, j’étais heureuse d’être à l’intérieur.

Nous avons tranché de melons et roulé de jambon, Coupé des courgettes, des pattisons,des aubergines et des poivrons, on a mis en place des guirlandes et plié des serviettes  autour de couverts en plastique, jusqu’à ce que toute la place était bien préparé.Quelqu’un a même trouvé un chapeau de chef pour Kieran  car lui et Nick étaient en charge de la cuisson. Puis un changement rapide de vêtements comme le premier des invités est arrivé.

Quelle belle soirée! Une fois que le barbecue et la plupart du repas était fini, le groupe de Ade, Mister Teatime, a joué en alternance avec Blue Coloured Rock, le son etait mélangé dans le studio d’enregistrement de Ade au bout de la grange. Vers minuit, il était temps pour le grand chanson de la nuit – George Harrison “While my guitar gently weeps”; chaque musicien a rejoint. Ce n’etait pas facile à suivre, quand Ade m’a demandé de faire quelques chansons plus tard. La musique a continué jusqu’à après 3h du matin, quand la plupart des gens sont rentrés chez eux et Nick et moi nous a décollé pour le cadre luxueux de la fourgonnette de Ade, qui etait remarquablement confortable.

Nous avons aidé à nettoyer et manger les restes le lendemain, un repas tranquille car il y avait quelques têtes assez douloureux, mais ça ne dérange personne car la fete de l’empereur est quelque chose d’une tradition bien établie maintenant.

 

Tree-top heaven

There’s a lake near Aignan where you can swim, play on the beach, go down the water slides or sit with a drink in the cafe/bar. On the other side of the lake, however, is something Nick and Izzy found far more exciting; in the forest, suspended between the tree trunks, are ladders and high wires and nets and all manner of stuff, making up tree top walks, and all ending in zip wire descents.

There are six routes at various levels of difficulty and height, of which our intrepid pair did three, starting off on a green route, fairly close to the ground and finishing on a red route, way up in the canopy.

Izzy was nervous at first, but was soon confidently clipping her safety gear securely onto the wires before stepping out way above where Alex and I were watching from. Nick often went ahead of her to make sure she could get onto the platform at the end of each stretch.

The high point (‘scuse the pun) of the experience, though, was the zip wire that runs the 150metres across the lake itself. Adults can touch the water as they cross it, though some caused so much drag by crossing upside down so that their head went in the water, that they lost the impetus to reach the far side and had to pull themselves, hand over hand, the last few metres. We had a fantastic afternoon and Izzy slept very well that night after all her exertions. I can see we’ll be going back there again.

Il ya un lac près Aignan où on peut nager, jouer sur la plage, descendre les toboggans ou s’asseoir avec un verre dans le café/bar. De l’autre côté du lac est quelque chose que Nick et Izzy trouve beaucoup plus excitant; dans la forêt, suspendu entre les troncs d’arbres, sont des échelles et des fils à haute et filets et toutes sortes de choses, ce qui rend jusqu’à la cime des arbres des promenades, et tout se terminant par des  tyroliennes.

Il ya six routes à différents niveaux de difficulté et de hauteur, de laquelle notre paire intrépide a fait trois, en commençant sur ​​une route verte, assez près du sol et de finition sur une route rouge, en haut dans la canopée.

Le point culminant  de l’expérience était la tyrolienne qui exécute les 150metres sur le lac lui-même. Les adultes peuvent toucher l’eau comme ils le traversent, mais pas les enfants.

Izzy était nerveux au début, mais a bientôt appris à attaché en toute confiance son équipement de sécurité sur les fils avant de sortir bien au-dessus d’où Alex et moi regardions. Nick est allé souvent en avance d’ elle pour s’assurer qu’elle pourrait obtenir sur la plate-forme à la fin de chaque tronçon, mais les deux sont passés un après-midi fantastique et Izzy très bien dormi cette nuit-là après tous ses efforts. Je peux voir que nous y retournerons souvent.

 

La fete d’Artagnan at Lupiac

According to the stories of the three musketeers, d’Artagnan was born in Lupiac, a pretty village just half an hours drive from here.The character in the books of Alexandre Dumas was based on Charles Ogier de Batz de Castelmore, Comte d’Artagnan, who  served Louis XIV as captain of the  Musketeers of the Guard and died at the Siege of Maastrich in the Franco Dutch War in 1627.

Each year the village celebrates its famous son with a festival; the villagers dress up in period costumes, there are demonstrations of traditional skills and crafts and even the entrances to the village are decorated with mock-up castle gatehouses.

Izzy wanted to dress up so I made her a dress from fabric bought to make patchwork cushions for Alice; I can always recycle it later on. Alex made her a headdress to go with it; she looked great; and being dressed up meant she was included in all sorts of things. When there was dancing in the middle of the square, someone grabbed her by the hand and pulled her in to join in with them and when she met “the real d’Artagnan”, he bowed low, kissed her hand and addressed her as “my queen”.

Later, when we’d watched the blacksmith making horseshoes and the ladies spinning wool on their spinning wheels, the geese being herded by dogs and the plough pulled by oxen, there were sword fights to entertain us. Of course d’Artagnan won most of them.

The time and effort the people of Lupiac put into the festival is amazing, particularly when you realise that it’s only on for one day. But a full day, as it starts early in the morning and goes on till late at night. The preparation takes months as all the costumes are made by the ladies of the village, though I suspect the fencing team and d’Artagnan himself are hired for the event. It draws huge numbers of people and we’ll certainly go back again.

Selon les récits des Trois Mousquetaires, d’Artagnan est né à Lupiac, un joli village à une demi-heure d’ici. Le comte des livres d’Alexandre Dumas était fondée sur Charles Ogier de Batz de Castelmore, comte d’Artagnan, qui a servi Louis XIV en tant que capitaine des mousquetaires de la garde et est mort pendant le siège de Maastricht dans la guerre de Hollande Franco en 1627.

Chaque année, le village fête son célèbre fils d’un festival; les villageois se déguisent avec des costumes d’époque, il ya des manifestations de métiers traditionnels et même les entrées du village sont décorées avec des guérites du château de la maquette.

Izzy voulait s’habiller comme autrefois, donc je lui ai fait une robe de tissu acheté à fabriquer des coussins en patchwork pour Alice; je peux le recycler plus tard. Alex lui fait une coiffure; elle avait l’air super; et étant habillé signifiait qu’elle a été inclus dans toutes sortes de choses. Quand <des gitanes> dansait au milieu de la place, quelqu’un l’a attrapée par la main et la tira pour joindre à eux et quand elle a rencontré «le vrai d’Artagnan», il s’inclina, baisa la main et lui adressa la parole en tant que “ma reine “.

Plus tard, quand nous avions regardé le forgeron faisant fers à cheval et les dames filant la laine sur leurs rouets, les oies étant rassemblés par des chiens et la charrue tirée par des bœufs, il y avait des combats d’épée à nous divertir. Bien sûr, d’Artagnan a remporté la plupart d’entre eux.

Le temps et les efforts des gens de Lupiac mis en festival est incroyable, surtout quand on se rend compte que c’est seulement sur ​​une journée. Mais une journée complète, car il commence tôt le matin et se poursuit jusque tard dans la nuit. La préparation faut des mois parce que les dames du village font tous les costumes, mais je soupçonne que l’équipe d’escrime et d’Artagnan se sont engagés pour l’événement. Il attire un très grand nombre de personnes et nous y retournerons certainement.

Jamie Cullum in Marciac

Jamie Cullum was playing in the chapiteau at the Marciac jazz festival on Thursday evening; definitely one not to miss. We arrived a little after 9pm, while the previous performer was on, Stacey Kent; we didn’t know her, but what a voice she has!

Tickets to the chapiteau are quite pricey and we weren’t sure how long Izzy would stay awake, but there are restaurants and bars all around, which have big TV screens showing the current performance. The sound wasn’t great, but we then discovered the Radio France Musique tent; they were broadcasting the night’s concerts live, there was a big screen and the sound was superb. It would have been churlish not to join the other hundred or so cheapskates and watch for free.

Jamie Cullum started about 11.20 and was amazing; we stayed until Izzy finally gave up the fight and succumbed to sleep a little after midnight.

Jamie Cullum a joué sous le chapiteau au festival de jazz in Marciac le jeudi soir; certainement l’un à ne pas manquer. Nous sommes arrivés un peu après 21 heures, alors que l’artiste précédente chantait, Stacey Kent; nous ne la connaissions pas, mais quelle voix elle a!

Les billets pour le chapiteau sont assez cher et nous ne savions pas combien de temps Izzy resterait éveillé, mais il ya des restaurants et des bars tout autour, qui ont de grands écrans de télévision montrant la performance actuelle. Le son n’était pas très bon, mais nous avons ensuite découvert la tente Radio France Musique; ils diffusaient les concerts du soir, il y avait un grand écran et le son était superbe. Il aurait été malvenu de ne pas adhérer à la centaine d’autres radins et regarder gratuitement.

Jamie Cullum a commencé vers 11h20 et était incroyable; nous sommes restés jusqu’à Izzy a finalement abandonné la lutte et a succombé à dormir un peu après minuit.

Jazz and rain in Marciac

The Marciac jazz festival started last week; three weeks of the year when the village is transformed from a sleepy backwater to a vibrant, buzzing destination for lovers of jazz from all over the world. The central square is covered with a huge chapiteau (a big, pointy tent roof with no sides) to provide shelter from the hot sun; at one end is a stage and the rest of the square is filled with rows of seating for the thousands of people who flock to listen to the free concerts that run from late morning to early evening. Around the edges of the square is a proliferation of market stalls, selling everything from oriental pastries and mint tea to Jazz in Marciac T-shirts, silver jewellery from Nigeria to ethnic musical instruments from all over the world, filling every bit of space not taken up by the cafes and restaurants spilling out onto the pavements and beyond.

Further out from the square are more market stalls, music workshops, childrens’ workshops and busking bands, and of course, The Chapiteau, an enormous marquee, this one with sides, where the big names perform. Tickets are expensive, but you can always sit in one of the bars or restaurants around, all of which have big screens showing the performance live. Jamie Cullum is playing this year, so we might just have to go along to see him on Thursday night.

We went to Marciac last week on a hot, sticky day and had a wander around some of the stalls, then sat in the square, eating ice creams, to listen to the band. We hardly noticed the sky turning black as the storm clouds gathered, but suddenly the temperature dropped, the wind started to blow, the thunder and lightning show began and the rain started to fall; the chapiteau wasn’t waterproof! Everyone put up umbrellas and sat stoically for a few minutes, but the rain was coming down in torrents and we soon found ourselves sitting in puddles as the rain ran down the backs of our chairs, En masse, most of the audience moved out to squeeze under the roofs of the bars around the edge of the square, leaving just a few hardy souls sheltering under huge golfing brollies, or even holding chairs over their heads, until at last, unable to make themselves heard over the din of the thunder, the band gave up. Ten minutes later, the sun was shining again and it was as if nothing had happened; very strange weather this year!

Le festival de jazz de Marciac a commencé la semaine dernière; trois semaines de l’année où le village se transforme d’un marigot endormi à une destination dynamique animé pour les amateurs de jazz de partout dans le monde. La place est recouverte d’un immense chapiteau pour fournir un abri contre la chaleur du soleil; à une extrémité est une étape et le reste de la place est remplie de rangées de sièges pour les milliers de personnes qui veulent écouter les concerts gratuits qui s’exécutent de la fin de matinée jusqu’en début de soirée. Sur les bords de la place est une prolifération des étals de marché, vendant de tout, des pâtisseries orientales et thé à la menthe à Jazz in Marciac T-shirts,des bijoux en argent du Nigeria aux instruments de musique ethniques de partout dans le monde, ils prennent tout petit espace qui n’est pas remplis par les cafés et restaurants débordant sur les trottoirs et au-delà.

Plus loin de la place sont plus d’étals des marchés, des ateliers musicaux, des ateliers pour enfants et de groupes qui jouent partout, et bien sûr, Le Chapiteau, un énorme chapiteau, celui-ci avec des côtés, où les grands noms font des concerts. Les billets sont chers, mais on peut s’asseoir dans l’un des bars ou restaurants autour, qui ont tous des grands écrans montrant la performance live. Jamie Cullum joue cette année, donc nous pourrions aller le voir jeudi soir.

Nous sommes allés à Marciac la semaine dernière, une journée chaude et humide, et avons fait une promenade, puis on s’assit sur ​​la place, mangant des glaces, à écouter le groupe. Nous avons à peine remarqué le ciel devient noir quand les nuages ​​d’orage se sont réunis, mais tout à coup la température a chuté, le vent a commencé à souffler, le tonnerre et les éclairs ont commencé et la pluie a commencé à tomber; le chapiteau n’était pas imperméable à l’eau! Tout le monde a mis en place des parapluies et s’assit stoïquement pendant quelques minutes, mais la pluie tombait à torrents et bientôt nous nous sommes retrouvés assis dans les flaques d’eau que la pluie coulait sur le dos de nos chaises; en masse, la plupart des spectateurs a déménagé sous les toits des bars autour de la bordure de la place, laissant quelques intrépides abritant sous d’immenses parapluies de golf, ou même avec des chaises dessus de leurs têtes, jusqu’à ce qu’enfin, incapable de se faire entendre dans le vacarme du tonnerre, le groupe

a renoncé. Dix minutes plus tard, le soleil brillait à nouveau et c’était comme si rien ne s’était passé; temps très étrange cette année!

Changing rooms, watch out!

The best way to describe our spare room furniture would be a hideous mish-mash; an old, though serviceable, oak wardrobe, a chest of drawers I painted 20 years ago as a stop-gap and two ugly, wood-effect, melamine  bedside chests. It took me months to convince Nick that, short of buying new, the only solution was to paint the lot, but for Nick, painting oak is something akin to sacrilege. However, last Friday I finally got the go-ahead, just days before Alex’s arrival.

Five coats of paint, numerous hours distressing (or should that be numerous distressing hours?!), a coat of varnish and I’m done. Just in time, we’ve put the room back together and Nick’s gone to pick Alex and Izzy up from the airport. I hope she notices the difference!

La meilleure façon de décrire notre chambre d’amis serait un méli-mélo hideux; un vieux, mais utilisable, armoire en chêne, une commode que j’ai peint il ya 20 ans  et deux chevets en melamine, effet bois. Il m’a fallu des mois pour convaincre Nick que, apart d’acheter de nouveaux, la seule solution était de peindre les tous, mais pour Nick, peindre du chêne est quelque chose comme un sacrilège. Cependant, vendredi dernier, j’ai finalement obtenu le feu vert, quelques jours avant l’arrivée d’Alex.

Cinq couches de peinture, de nombreuses heures faire du patinage, une couche de vernis et c’est fait. Juste à temps, nous avons remis les meubles dans la chambre et Nick est parti chercher Alex et Izzy à l’aéroport. J’espère qu’elle remarquera la différence!

 

L’etape du Tour

Each year amateur cyclists have a chance to ride a stage of the Tour de France; it’s usually a pretty gruelling stage, often in the mountains and the event is held a few days before the real Tour does the same stage. Yesterday was the big day for an incredible 13000 cyclists from all over the world, covering 140km with ascents of the cols de Tourmalet and Hautacam, both savage climbs.

The weather forecast was atrocious; low temperatures at altitude, rain, hail and high winds, though when we left home in the morning, it was lovely here. Nick wasn’t riding, but we were helping a friend by moving his minibus from where he left it at the start in Pau, to the finish at Argeles Gazost so he could get his guests home at the end of the day.

The clouds were heavy and black over the mountains when we arrived, though at least it was dry down in the valley. Not so on the tops. As the elite riders began to trickle down the hill, it became apparent what sort of conditions they’d endured; most were grey-faced and many were visibly shaking with cold, in spite of the state of the art gear they were wearing and the less high tech, though I’m sure very welcome, bin bags with holes cut for head and arms that some kind soul must have been handing out on the summits.

Eventually Ian and Nathan, the first two of our party, arrived, frozen and soaking wet; they changed and we headed off to the medals and food tents. This was real mass catering; a bowl of hot pasta and sauce for each rider and a bag containing crisps, buns, water and a high energy gel. By this time it was pouring at the finish too, so every square inch of space in the tent was taken up with bodies, making the atmosphere pleasantly warm.

I got talking to someone who’d done the étape for his third time; he told me that just over the top of the Tourmalet, where the rain was so heavy that the road was standing in water, somebody had dropped a water bottle, causing about 70 riders to come off their bikes – no fun in a big group at 30mph. As we spoke he fished down the front of his jersey to remove the newspaper he’d put there to stave off the cold on the descent, now a cold, sodden mess.

Eventually all five of our riders turned up, none of them looking too happy. We took them back to Ian’s and after showers and a proper meal, they all looked human again. I hope the weather will be kinder to the pros on Thursday, when they tackle this stage.

Sorry about the lack of photos; when I can download them from my phone, I’ll post them.

 

Chaque année, des cyclistes amateurs ont l’occasion de monter une étape du Tour de France; il est généralement une étape très éprouvante, souvent dans les montagnes et se tient l’événement quelques jours avant le véritable Tour fait la même étape. Hier, c’était le grand jour pour un incroyable 13 000 cyclistes de partout dans le monde, couvrant 140 kilomètres avec des montées de cols du Tourmalet et de Hautacam, deux ascensions sauvages.

La météo était atroce; basses températures en altitude, de la pluie, de la grêle et des vents violents, mais quand nous avons quitté la maison le matin, c’était très agréable ici. Nick ne roulait pas, mais nous aidions un ami en déplaçant son minibus, d’où il l’a laissé au départ à Pau, à l’arrivée à Argelès Gazost pour qu’il puisse rentrer ses invités à la fin de la journée.

Les nuages ​​étaient lourds et noir sur les montagnes quand nous sommes arrivés, mais au moins il faisait sec dans la vallée. Pas comme ça aux sommets. Quand les coureurs élites ont commencé arriver en bas de la colline, il est devenu évident quel genre de conditions ils avaient endurées; la plupart avaient de visage gris et plusieurs tremblaient visiblement du froid, malgré les vetements impermeables qu’ils portaient et, moins high-tech, des sacs poubelles, découpés pour la tête et les bras, que quelqu’un gentil a du les donné aux sommets.

Finalement, Ian et Nathan, les deux de notre groupe en premier, sont arrivés, froid et trempés; ils ont changé leurs vetements et nous sommes partis pour les médailles et la tentes alimentaires. C’était impressionant, ce restauration pour 13 000 personnes; un bol de pâtes chaudes et de la sauce pour chaque coureur et un sac contenant des chips, des madeleines, de l’eau et un gel de haute énergie. Maintenant, il pleuvait à l’arrivée aussi, donc chaque centimètre carré de l’espace a été repris avec les gens dans la tente, rendant l’atmosphère agréablement chaud.

J’ai parlé avec quelqu’un qui avait fait l’Étape pour la troisième fois; il m’a dit que juste apres le sommet du Tourmalet, où la pluie était si lourd que la route était presqu’inondée, quelqu’un avait laissé tomber une bouteille d’eau, provoquant une chute d’environ 70 coureurs – pas bon dans un grand groupe à 50km à l’heure. Pendant nous parlions il a tiré du devant de son maillot le journal qu’il y avait mis pour eviter le froid pendant la descente, maintenant trempé et froid.

Finalement, tous les cinq de nos coureurs sont arrivés, aucun d’entre eux n’avait l’air heureux. Nous les avons repris chez Ian et après des douches et un bon repas, ils ont tous rétabli. J’espère que le temps sera meilleur pour les professionels jeudi, quand ils font cette étape.

No rest for the wicked

After the trip to Harrogate, we felt we needed a rest, but there was no chance of that! We got home at 6.15 on Thursday evening, to discover that my rehearsal had been brought forward an hour as we were eating together; so a hasty dish was thrown together, we emptied the car, packed up my guitar and music and I headed off to rehearsal while Nick started the unpacking. It’s fair to say that I was flattened by the time I got home again at 1.30am.

On Saturday the band was playing at the fete at Hinx, a small village with a big beer festival. There were three bands playing, though we did the lion’s share, playing for about 6 hours between midday and midnight. Adrian was our sound man for the day and people seemed to enjoy it; there was plenty of dancing while we played. Another late night, as by the time we’d packed up the sound system into Jacques’ van and driven home it was after 2am.

Sunday was band members Nellie and Hervé’s housewarming party; arranged when they thought Hinx was the following week. They took the “everything from our own garden” theme to new heights by roasting a whole lamb (Hervé’s a shepherd) over an open fire to go with the home grown veg; what a treat! The members of the band who could make it to the party played whatever we could manage without Alain; I found it a lot less nerve-wracking than a formal gig and we all enjoyed it and I think played better as a result.

Now back to work on the house and garden. Our house sitters did what they could while we were away, but we seem to have taken the good weather with us to Yorkshire as it rained here for most of our trip. As a result, the grass was knee high and the weeds bigger than ever, so there’s a lot of catching up to do now. We’ve got loads of courgettes and pattissons (sort of white, UFO-shaped squash things with scalloped edges) and should soon have some ripe tomatoes. We did have one surprise in the garden though; we saved melon seeds, amongst others, last year, planted them and they grew beautifully. We went to inspect the plants on Monday and found that we will have a fantastic crop – of butternut squash! Perhaps we need a new system of seed labelling.

Après le voyage à Harrogate, nous sentions que nous avions besoin d’un repos, mais il n’y avait aucune chance que cela! Nous sommes rentrés à 6.15 jeudi soir, pour découvrir que mon répétition avait été avancé d’une heure parce que nous mangions ensemble; donc j’ai fait un plat hâtif, nous avons vidé la voiture, y mis ma guitare et de la musique et je suis parti à la répétition tandis que Nick a commencé le déballage. Il est juste de dire que j’ai été aplati au moment où je suis rentré de nouveau à 01h30.

Le samedi le groupe jouait à la fête de Hinx, un petit village avec une grande fête de la bière. Il y avait trois groupes qui jouaient, mais nous avons fait le plus grand part, en jouant pendant environ 6 heures entre midi et minuit. Adrian était notre homme de son pour la journée et les gens semblaient apprécier; il y avait beaucoup de danse pendant que nous jouions. Une autre nuit tard, que par le temps que nous avions emballé le système de son dans le van de Jacques et conduits à la maison, il était deux heures après.

Le dimanche était membres de la bande Nellie et Hervé pendaison de crémaillère; organisé quand ils pensaient Hinx était la semaine suivante. Ils ont pris le thème “tout de notre propre jardin” à de nouveaux sommets par la torréfaction un agneau entier (Hervé est ancien berger ) sur un feu ouvert pour aller avec les legumes de maison; quel régal! Les membres de la bande qui pourraient venir à la fete avons joué ce que nous pouvions  sans Alain; je l’ai trouvé beaucoup moins éprouvant pour les nerfs d’un concert formel et nous avons tous apprécié et je pense a mieux joué en conséquence.

Maintenant, revenons à travailler sur la maison et le jardin. Nos sitters maison ont fait ce qu’ils pouvaient pendant que nous étions ailleurs, mais nous semblent avoir pris le beau temps avec nous pour Yorkshire car il a plu ici pour le plupart de notre voyage. En conséquence, l’herbe était haute de genou et les mauvaises herbes plus grand que jamais, donc il ya beaucoup de rattrapage à faire maintenant. Nous avons reçu des tonnes de courgettes et pattissons (sorte de blanc, en forme d’OVNI choses de squash avec les bords crantés) et devrions bientôt avoir des tomates mûres. Nous avons eu une surprise dans le jardin bien; nous avons gardé des graines de melon, entre autres, l’année dernière, les avons plantés et ils ont grandi magnifiquement. Nous sommes allés à inspecter les installations le lundi et constaté que nous aurons une récolte fantastique – de butternut! Peut-être il nous faut un nouveau système d’étiquetage des semences.

Le Tour in Yorkshire

Link

We had an amazing week in Harrogate; a trip we couldn’t miss as it was a once-in-a-lifetime chance to see the Tour de France come through our home town, not once, but twice in a weekend. We also managed to catch up with loads of friends, who all came to join us at the Jinnah restaurant on Thursday; what a great evening that was.

I don’t think I’ve ever seen the good people of Harrogate looking so happy, with the exception of the traffic warden who gave us a parking ticket for not having a proper parking disc, just a hand written note stating our time of arrival. The town was mobbed with people to watch the finish of the first stage on Saturday afternoon; I joined friends on Ripon Road, just 1km from the finish, while Nick cycled out to a couple of places to watch the Tour come through. The atmosphere was fantastic, something Harrogate will never forget.

The whole town and surrounding area was decorated; yellow bikes were everywhere, yellow, green and white bunting hung from shops, railings and trees, but my favourite decor was the tiny jerseys in yellow, green and white with red spots on. I read somewhere that the ladies of Yorkshire had knitted 40 000 of them, but the council wouldn’t allow them to hang them between lampposts as their weight, if it rained, would bend the lampposts! Undaunted, people strung them from anything else and they looked magnificent.

On Sunday morning the Tour was going past Alex’s house; by the time I arrived at 8am there were already people dragging their armchairs and sofas to the road edge to watch in comfort. Several people, including Izzy, took advantage of the road closure to cycle part of the route of the Tour and were cheered on by the spectators. Alex and I ran a cake stall to raise funds for a charity close to Alex’s heart; friends baked buns and biscuits to add to what we’d made, all decorated on a Tour theme. We made an incredible £250 for Thea’s trust, thanks to the generosity of people watching and those who’d helped with the baking.

Once the Tour weekend was over, it was time to start filling the car. We’d taken out the rear seats for the trip and travelled to England with it almost empty; but by the time we’d bought various items that are either unavailable or extortionately expensive here and collected the rest of Kieran’s belongings, left when he thought he’d be returning in a year or so, there wasn’t a lot of space left. A good job we’d left Nick’s bike and my guitar at home and borrowed from friends when we arrived.

The week flew by and soon it was time to set off for home; a journey of 35 hours after a manically busy week left us feeling in need of a holiday, but that wasn’t to be. But that’s another story; one for my next post.

 

Nous avons eu une semaine merveilleuse à Harrogate; un voyage que nous ne pouvions pas manquer car c’était une chance unique dans la vie à voir le Tour de France viennent à travers notre ville natale, non pas une fois, mais deux fois en un week-end. Nous avons également réussi à retrouver beaucoup d’amis, qui sont tous venus se joindre à nous au restaurant Jinnah, le jeudi; c’était une soirée magnifique .

Je ne pense pas que j’ai jamais vu les bonnes gens de Harrogate ayant l’air si heureux, à l’exception de l’agent de la circulation qui nous a donné un ticket de parking pour ne pas avoir un disque de stationnement adéquate, une note écrite de la main indiquant notre heure d’arrivée . La ville a été pris d’assaut par les gens à regarder la fin de la première étape, le samedi après-midi; je l’ai regardé avec des amis sur la route de Ripon, à seulement 1 km de l’arrivée, tandis que Nick a roulé vers quelques endroits pour regarder le Tour à travers. L’ambiance était fantastique, quelque chose de Harrogate n’oubliera jamais.

Toute la ville et ses environs a été décoré; vélos jaunes étaient partout, des petits drapeaux jaunes,  verts et blancs accrochées des commerces, des barrières et des arbres, mais mon décor préféré était les petits maillots en jaune, vert et blanc avec des pois rouges. J’ai lu quelque part que les dames de Yorkshire ont tricoté 40 000 d’entre eux, mais le municipalité ne leur permettraient pas de les accrocher entre les lampadaires parce que leur poids, s’il en pleuvait, pourrait faire pencher  les lampadaires! Imperturbable, les gens les enfilées de toute autre chose et ils avaient l’air magnifique.

Le dimanche matin, le Tour passait devant la maison d’Alex; au moment où je suis arrivé à 8h du matin, il y avait déjà des gens traînant leurs fauteuils et canapés au bord de la route à regarder dans le confort. Plusieurs personnes, dont Izzy, ont profité de la fermeture de la route à une partie du cycle de l’itinéraire du Tour et ont été acclamés par les spectateurs. Alex et moi avons fait un stand de gâteaux pour amasser des fonds pour un organisme de bienfaisance à cœur d’Alex; quelques amis on preparé des petits gateaux et biscuits à ajouter à ce que nous avions fait, toutes décorées sur un thème duTour. Nous avons gagné un incroyable £250 pour “Thea’s Trust”, grâce à la générosité de gens qui regardent et ceux qui avaient aidé à la cuisson.

Une fois le week-end Tour était terminée, il était temps de commencer à remplir la voiture. Nous avions pris les sièges arrière pour le voyage et avons voyagé en Angleterre presque vide; mais par le temps que nous avions acheté divers articles qui sont soit indisponibles, soit horriblement cher ici et allés chercher le reste des biens de Kieran, laissé quand il pensait qu’il reviendra dans un an ou deux, il n’y restait pas beaucoup d’espace. C’est bon que nous avions laissé le vélo de Nick et ma guitare chez nous et emprunté à des amis quand nous sommes arrivés.

La semaine est passée très vite et bientôt il était temps de rentrer; un voyage de 35 heures après une semaine bien remplie maniaque nous a laissé sentir dans le besoin des vacances, mais qui ne devait pas être. Mais c’est une autre histoire; une pour mon prochain post.