Not a race, but great fun

Cycling’s no minority sport here; you see cyclists everywhere, and mostly riding state of the art, carbon fibre machines. Every village has its cycling club and each one is different from its neighbours. Our club, in Nogaro, is affiliated to the French Cycle Touring Association; the le Houga club, whose president happened to ride past when I was struggling to remove a tyre  after a puncture last week, and played the role of knight in shining armour, has their main race of the year at the village fete; another, Eauze, is mostly for racing.

The Eauze club is holding a race at the motor race circuit in Nogaro in June; they wanted to check that their timing system was working properly, so several members of our club joined some of their riders on the circuit tonight to try out the transponders. There were about twenty riders, from little lads of 8 or 9 years old in full Eauze club strip, to the more mature members of our club; they did several tours of a small circuit, passing the finish line individually and in a group, to check that the system, linked to a laptop, functioned as it should.

By the end of about 40km, the organisers seemed happy with their system, the cyclists were happy to have had a good thrash around the circuit and everyone went home. Nick won’t be riding in the race, but we may well go along to watch.

 

 

Le vélo n’est pas un sport de la minorité ici; on voie des cyclistes partout, et le plupart roule aux belles machines en fibre de carbone. Chaque village a son club de cyclisme et chacun est différent de ses voisins. Notre club, à Nogaro, est affilié à la Federation Française de cyclotourism; le club du Houga, dont le président est arrivé à passer devant quand je luttais pour enlever un pneu après une crevaison la semaine dernière , et a joué le rôle de chevalier dans l’armure brillante, a sa principale course de l’année à la fête du village; une autre, à Eauze, est surtout pour faire la course.

Le club d’Eauze organise une course sur le circuit de Nogaro, en Juin; ils voulaient vérifier que leur système de chronometrage  fonctionne correctement, donc plusieurs membres de notre club se sont joignés certains de leurs coureurs sur le circuit ce soir pour essayer les transpondeurs. Il y avait une vingtaine de coureurs, de petits garçons de 8 ou 9 ans dans la bande complète du club d’Eauze, aux  membres  plus matures de notre club; ils ont fait plusieurs tours d’un petit circuit, en passant la ligne d’arrivée  individuellement et en groupe, pour vérifier que le système, lié à un ordinateur portable, fonctionne comme il se doit .

À la fin de pres de 40 km, les organisateurs semblaient satisfaits de leur système, les cyclistes étaient heureux d’avoir eu un bon randonnée autour du circuit et tout le monde est rentré chez lui. Nick ne roulera pas à la course, mais peut etre nous irons la regarder.

Lazy days on the balcony? Dream on!

The majority of people around here do their gardening according to the phases of the moon, so I’ve decided to give it a go. Someone in the walking club has promised me a book, but until then I’ve found a website that tells you what you can sow and when.

The tomatoes really should have been planted last week, but the bed wasn’t ready; however, from tomorrow, for several days, it’s not a good time to sow or plant anything, so we had to get on with it.

We started at 8.30 this morning; we removed the turf from where the bed was to be and broke the soil up as best we could; this patch of ground has been undisturbed for decades and it’s been hot for the last week, so the heavy clay soil was baked as hard as iron.

One of my students has horses…. and pigs and goats and chickens and cats and 13 dogs and a parrot. Not a farmer, just an animal mad English woman! She was as pleased to be rid of a trailer load of manure as we were to have it, so we spread the manure around and Nick rotavated it in, followed by a load of home made compost.

By lunch time we were ready to start planting our tomatoes, all grown from seeds saved from last year; round yellow ones, orange ones, yellow pear-shaped cherry tomatoes, red beef tomatoes, black beef tomatoes and red cherry tomatoes; 72 plants in all. If they all grow, we’ll have tomatoes coming out of our ears! The only sort we haven’t got are ordinary, round, red tomatoes, so I might buy some plants on the market this week.

Planting done, we had to go back for another trailer load of manure. We’d been promised a cooler, cloudier day today than of late, but although there was a bit of cloud, it was very hot and heavy. As we got to Tracy’s, the sky darkened and there was the sound of thunder in the distance. We shovelled as fast as we could, then came home and unloaded at the same pace. The wind was getting stronger and there were a few drops of rain in the air, but we finished in time.

Nick had to head off to pick up a water storage tank we’d been promised, but as today was the last good day for a while for planting root vegetables, I still had to weed and dig over enough ground in the patch where we dug out the broad beans yesterday, to sow beetroot. The rain started properly now; I was soaked to the skin by the time I’d finished, but very glad of the rain as I was too tired even to  consider watering.

 

La majorité des gens ici font leur jardinage selon les phases de la lune, alors j’ai décidé de l’essayer. Quelqu’un dans le club de randonnées m’a promis un livre, mais en attendant, j’ai trouvé un site qui vous dit ce que vous pouvez semer et quand.

On a du planté les tomates la semaine dernière, mais le potager n’était pas prêt; cependant, à partir de demain, pendant plusieurs jours, ce n’est pas un bon moment pour semer ou planter quoi que ce soit, donc nous avons dû le faire.

Nous avons commencé à 8h30 ce matin; nous avons enlevé le gazon d’où le potager devait être et a battu le sol comme de notre mieux; ce partie de terre n’a pas été dérangé pendant des décennies et il a fait chaud pendant la dernière semaine, donc le sol argileux lourd a été cuit et dur comme fer .

Un de mes étudiants a des chevaux …. et des porcs et des chèvres et des poules et des chats et 13 chiens et un perroquet. Pas un agriculteur, juste une anglaise folle des animaux ! Elle était aussi heureux de se débarrasser d’une charge de remorque de fumier que nous etions de l’avoir, nous avons donc écarté le fumier au potager et Nick a passé la motoculteur, suivi par une charge du compost, fait chez nous.

L’heure du déjeuner, nous étions prêts à commencer à planter nos tomates, tous issus de graines recolté l’année dernière; les rond jaunes, destomates oranges, des tomates cerises jaunes  en forme de poire, tomates coeur de boeuf rouge, tomates coeur de boeuf noires et tomates cerises rouges; 72 plantes en tout.  La seule varieté que nous n’avons pas obtenu sont des tomates rouges ordinaires, rond, donc je les acheterai au marché cette semaine .

Plantation fait, nous avons dû  retourner pour un autre chargement de la remorque de fumier. Nous avions été promis un jour nuageux et moins chaud aujourd’hui, mais bien qu’il y ait un peu de nuages, il faisait très chaud et lourd. Quand nous sommes arrivés chez Tracy, le ciel s’assombrit et il y avait le bruit du tonnerre lointain. Nous pelleté aussi vite que nous le pouvions, puis vint la maison et déchargé au même rythme. Le vent se renforce et il y avait quelques gouttes de pluie dans l’air, mais nous avons fini à temps.

Nick a dû parer à ramasser un réservoir de stockage d’ eau que nous avions été promis, mais aujourd’hui était le dernier bon jour pendant un certain temps pour la plantation des légumes  de racines, il m’a fallu enlever des mauvaises herbes et creuser suffisamment de terrain dans le patch où nous avonsenlevé les fèves hier, à semer la betterave. La pluie a commencé bien maintenant; j’étais trempé jusqu’aux os avant de finir, mais très heureux de la pluie car j’étais trop fatigué, même à considérer l’arrosage .

Summer’s here!

All of a sudden, summer’s arrived and we have to get up early to work outside before it gets too hot. Nick had this year’s first dip in the pool yesterday; he said it was lovely – it looked pretty cold to me, so I’ll take his word for it.

After many weeks of work, the first room in the new house is complete; my workshop has been the practice room for the new techniques we’ve had to learn, such as filling plasterboard joints, and for trying out shades of varnish on the woodwork. The result may not be absolutely perfect, but it’s not bad and it’s brilliant to have somewhere to sew after all this time, so I’m not complaining. I spent yesterday afternoon sorting fabrics, trimmings and books  into cupboards and onto shelves. I nearly got away with hiding the mending/alterations pile in a cupboard, but Nick spotted it and insisted that it all be put in a clear plastic bag in the middle of the room – “so I can’t miss it”. Some of it’s been in there so long, I thought he’d have forgotten it, but no, I’ll have to tackle it now.

Tout d’un coup,  l’été est arrivé et nous devons nous lever tôt pour travailler dehors avant qu’il ne fasse trop chaud. Nick a essayé la piscine hier pour la première fois de l’année ; il a dit qu’il était très agréable – il avait l’air assez froid à mon avis, donc je dois le croire.

Après plusieurs semaines de travail, la première pièce de la nouvelle maison est complète; mon atelier a été la salle de formation pour les nouvelles techniques que nous avons dû apprendre, comme le remplissage des joints de plaques de plâtre, et pour essayer nuances de vernis sur les boiseries. Le résultat  n’est pas peut être absolument parfait, mais ce n’est pas mal et c’est génial d’avoir un endroit à coudre après tout ce temps, donc je ne me plains pas. J’ai passé hier après-midi trier des tissus, garnitures et livres dans les armoires et sur ​​les étagères. J’ai essayé de cacher la tas de choses à retoucher dans un placard, mais Nick l’a vu et a insisté que tout soit mis dans un sac en plastique transparent dans le milieu de la pièce –  pour que ” je ne puisse pas l’oublier “. Certains d’entre eux ont y été  si longtemps, je pensais qu’il aurait oublié, mais non, je  dois les faire maintenant .

In praise of the garden fork

Most of the outer walls of our new house are built of roofing tiles; it’s quite a common construction method around here and very attractive, but the outer walls needed insulating, so there we’ve lost the lovely effect. However, the walls common with the gite don’t need to be insulated so we decided to make a feature of them as they extend from the hall downstairs, past the staircase and up to the roof.

Nick’s current mission, then, is to point between the tiles.Before pointing, he must first chip out all the old mortar to about half the depth of the wall; as the pointing covers a larger area than the tiles themselves, this is quite a task. He’s using a special mix of products to get the effect we want, sourced from far and wide. The end result is good, though; I think it will be worth all the effort.

He also has to replace the torchis, the in-fill between the colombage beams beside the staircase; so today he removed barrow loads of the loose, crumbling in-fill that’s graced the old wine making part of the grange for many years. Next he needs to fill the gaps with supporting bricks, before he can start to replace the torchis.

For my part, I’ve been busy in the garden recently; it’s time to sew French beans, and plant out the courgettes, aubergines, tomatoes, chillies, peppers and melons we’ve grown from seed in our makeshift greenhouse. We made three long, narrow beds for veg last year, using the old telegraph poles that used to support the old garage roof, but the first problem this year was finding them. The weeds were shoulder high on me and it was only by walking till I tripped up over one of the poles that I could find the beds at all! It’s taken me all week to clear all the weeds, but today, once Nick had strimmed around the edges, we were ready for planting.

The goose was “helping” Nick, which was fine until he needed to empty his barrow into the compost bins, near where I was working. I made sure my wheel barrow was between me and the goose and stayed very quiet, hoping it wouldn’t notice me; not a chance. Nick caught it heading my way a couple of times and spoke to it soothingly, but as soon as his back was turned, it started to hurtle across the grass towards me, too fast for Nick to catch up. I was using the garden fork, a wonderful anti-goose-attack device, as I discovered; I pointed it at my attacker, who continued to run full pelt, straight between two of the tines. It was completely stuck, flapping its wings wildly and squawking loudly, till Nick took it back to the park. Forget the big stick – from now on my weapon of choice will be the garden fork.

La plupart de murs extérieurs de notre nouvelle maison sont construits de tuiles; c’est une méthode de construction très commun ici et très jolie, mais on a du isoler les murs extérieurs, donc nous avons perdu le  bel effet. Cependant, les parois communes avec le gîte ne doivent pas être isolés et nous avons décidé de faire une attraction d’eux comme ils s’étendent de la salle en bas, à coté de l’escalier et jusqu’au toit.

La mission actuelle de Nick, alors, est de faire les joints entre les tuiles. Au début, il doit enlever tout le vieux mortier à environ la moitié de la profondeur de la paroi; comme le mortier  couvrera une superficie plus grande que les tuiles eux-mêmes, c’est tout à fait une tâche. Il utilise un mélange spécial de produits pour obtenir l’effet que nous voulons, provenant de très loin. Le résultat final est bon, donc je pense que ça vaut la peine.

Il doit aussi remplacer les torchis à côté de l’escalier; de sorte qu’il a retiré les charges de brouette, l’effritement de remplissage qui a etait partie de la grange pendant de nombreuses années. Ensuite, il doit combler les lacunes avec des briques, avant de pouvoir commencer à remplacer les torchis .

Pour ma part, je suis bien occupée dans le jardin récemment; il est temps de semer des haricots verts, et planter les courgettes, aubergines, tomates, piments, poivrons et melons que nous avons fait pousser de semences dans notre serre de fortune. Nous avons fait trois petits potagers étroits l’année dernière, en utilisant les vieux poteaux  qui soutenaient l’ancien toit de garage, mais le premier problème cette année a été les trouver. Les mauvaises herbes étaient jusqu’à mes épaules et ce n’est que par la marche jusqu’à ce que je trébuché au-dessus de l’un des poteaux que j’ai pu trouver lespotagers du tout! Il m’a fallu toute la semaine pour effacer toutes les mauvaises herbes, mais aujourd’hui, une fois Nick avait tondu sur les bords, nous étions prêts pour la plantation.

Le jar  “aidait” Nick, qui allait bien jusqu’à ce qu’il avait besoin de vider sa brouette dans les bacs de compostage, près d’ où je travaillais. Je me suis assuré que ma brouette était entre moi et le jar et est restée très calme, en espérant qu’il ne me remarque pas. Nick le gardait et lui parlait doucement, mais dès qu’il avait le dos tourné, il a commencé à dévaler à travers l’herbe vers moi, trop rapide pour Nick à rattraper. J’utilisais la fourchette de jardin, un merveilleux appareil anti-attaque-de-jar, comme je l’ai découvert; je l’ai signalé à mon agresseur, qui a continué à  toute vitesse, la tete entre deux des dents. Il a été complètement bloqué, agitant ses ailes follement et se balader fort , jusqu’à Nick l’a ramené au parc. Oubliez le gros bâton – à partir de maintenant sur ​​mon arme de choix sera la fourchette de jardin.

 

What rhymes with goose?

It’s been a bad week for the mower, and a frustrating week for poor Nick,

After two weeks of rain, the grass in the park had grown exceedingly thick.

I went out to mow it, armed with a sunhat, sunscreen and bottle of juice,

Not forgetting my vital piece of kit – a stick to ward off the goose.

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The first part went well, cutting through the long grass like a hot knife going through butter,

But soon I noticed a burning smell and the engine began to splutter,

A moment later from under the bonnet billowed forth plumes of white smoke,

And it appeared to me quite likely that my trusty steed was broke.

As I stepped down from the mower, I wondered about a truce,

A short-lived thought as I ran for the gate, hotly pursued by the goose.

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Nick was in the garden, constructing a new herb bed,

But he spent the rest of the afternoon repairing the mower instead.

He removed all the workings and sharpened the blades, it was clogged up with grass, ‘tis the truth,

He had meaningful chats with his helpers; the cat, and of course, the goose.

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Next day I finished mowing the park and moved on to the field at the back,

Just doing a very neat three point turn when I heard an ominous crack,

The steering wheel didn’t steer any more, it was all rather wobbly and loose,

So I went to find Nick, armed with my stick to ward off attacks from the goose.

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He soon diagnosed the problem, a joint in the steering had cracked,

I hope we can soon find a new one, cos everyone knows it’s a fact

That all this long vegetation is a great home for tics and for puces,

Which frequently latch on to Hugo, though nothing attacks that damned goose!

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Desolée pour les Français, mais je ne peux pas le traduire!

Flamenco night

The monthly dinners at the cycle club are becoming more and more cosmopolitan; first the curry evening, now an evening of Flamenco dancing! Didier, one of the club cyclists, normally dances with this troupe, but was needed to play percussion on Friday as their usual band wasn’t available. However the ladies who danced put on a fantastic display without him, joining us for dinner afterwards.

When not out working hard at the old entente cordiale (tough life, but someone has to do it), or in working hard on the house, we’re spending as much time as possible in the garden. I wouldn’t go so far as to say it’s looking good, but small areas are improving, slowly. Nick has just built a herb bed, so we planted it up this evening with citronelle, coriander, marjoram, verveine, tarragon, as well as the inevitable parsley, sage, rosemary and thyme.

I’ve heard people say that they never do DIY in the summer, as their gardens take up all their time. I’m beginning to understand their attitude now, as we attempt to build the house, run a home and business and keep on top of what could very quickly turn into a complete wilderness. Sometimes I reminisce about our garden in Harrogate, where if you worked for two hours, you’d run out of things to do; no, I have no desire to go back to that; we love the feeling of spaciousness we have here, even if we struggle to keep up.

Les dîners mensuels du club de cycle sont de plus en plus cosmopolite; il y avait la soirée de curry et maintenant une soirée de danse flamenco! Didier, un des cyclistes du club, danse normalement avec cette troupe, mais a été nécessaire pour jouer des percussions vendredi quand leur groupe habituel n’était pas disponible. Cependant, les femmes qui dansaient faisaient un spectacle magnifique sans lui, et nous ont rejoint pour le dîner après.

Lorsqu’on ne travaille pas sur l’entente cordiale (difficile, mais quelqu’un doit le faire), ou  travaille dur à la maison, nous passons autant de temps que possible dans le jardin. Je ne dis pas qu’il devient beau, mais il y a des petits lieux d’amelioration. Nick vient de construire un petit jardin d’herbes aromatiques, donc on a planté ce soir la citronnelle, la coriandre, marjolaine, verveine, estragon, ainsi que le persil, la sauge, le romarin et le thym.

J’ai entendu des gens disent qu’ils ne font jamais de bricolage en été, comme leurs jardins prennent tout leur temps. Je commence à comprendre leur attitude maintenant, quand nous essayons de construire la maison, gerer un entreprise et se tenir au courant de ce jardin qui pourrait très rapidement se transformer en pagaille complete. De temps en temps, je reflechis de notre jardin à Harrogate, où si on travaillait pendant deux heures, on a fait tout qu’il fallait; non, je n’ai aucune envie de retourner; nous aimons la sensation d’espace que nous avons ici, même si c’est beaucoup de travail.

Victor Meldrew wouldn’t believe it!

If you want a garden table and chairs, you go to the shop, make your choice, pay and take your purchase home – right? Not if you happen to live here!

We managed the first bit – going to the shop in Tarbes and choosing a table and chairs; but things didn’t go so well from there on.

We asked if the goods were in stock or had to be ordered; the nice young lady told us that there weren’t any in stock and as they wouldn’t be getting any more in, we couldn’t order them either. So, we asked, could we take the one on display? The poor girl looked embarrassed as she explained that no, we couldn’t take that one, but if we came back at the end of May, they might be selling it off. Hmmmmm……..

So we had a look on line; none in Pau, none in Biarritz, none in Bayonne, but they did have some in Agen. I phoned to check; yes, they had three tables and plenty of chairs in stock and yes, the helpful lady would reserve them for us. She even asked what sort of car we had and said that a Peugeot Partner was plenty big enough. So we headed off for a day out exploring Agen – well it’s an hour and a half’s drive, so we wanted to make the most of the day.

All went well till they brought out the furniture; it was obvious that there was no way that huge box was going to fit inside our little car. Nick was furious; we could so easily have taken roof bars or the trailer. We measured the box – 204cm. We measured the space in the car – 155cm. We went into Agen, simmered down over a good lunch and had a walk along the canal where it crosses the river on a bridge. Then back to the shop; Nick and two sales assistants, with metres of cord, took the table and chairs out to the car to see if they’d fit, while I wasn’t allowed out of the shop till I’d paid for the goods; but as you don’t get your money back on returned goods, just a credit note, I wasn’t going to pay if we couldn’t take it home. The queue grew longer and longer at the checkout (I have no idea why they couldn’t serve the people behind me – yet another of the mysteries of shopping here), as one of the sales assistants came back for yet more cord, saying he thought it would probably be OK.

Eventually enough of the box went inside the car and the back door was tied firmly down onto the end of the table. I paid up, much to everyone’s relief and we set off for home at a very gentle pace. No photos of the furniture, I’m afraid, as it’s still in its packaging and won’t be unwrapped till I finish lasuring the balcony, but when we do unwrap it, there’ll be quite a celebration!

 

Si on veut une table et chaises de jardin, on va à la boutique, on choisit, regle et sort votre achat – oui? Non, si on vit ici!

Nous avons réussi la premiere partie – aller à la boutique de Tarbes et de choisir une table et des chaises; mais les choses ne vont pas aussi bien à partir de là .

Nous avons demandé si les produits étaient en stock ou ont dû être ordonnée; la belle jeune femme nous a dit qu’il n’y avait pas en stock et qu’ils ne seraient plus en obtiennent, donc nous ne pouvions pas les commander.  Nous avons demandé si nous pourrions acheter celle-la qu’on avait vu? La pauvre fille avait l’air embarrassé, elle a expliqué que non, nous ne pouvions pas prendre celui-là, mais si nous reviendraient à la fin de mais, ils pourraient être en soldes. Hmmmmm ……..

Donc, nous avons eu un coup d’oeil sur la ligne; aucune à Pau, à Biarritz aucune , aucune à Bayonne, mais ils avaient quelques unes à Agen. J’ai appelé pour vérifier; oui , ils avaient trois tables et beaucoup de chaises en stock et oui, la dame pouvait les réserver pour nous. Elle a demandé même quel genre de voiture nous avions et dit que un Peugeot Partner était assez grande. Donc, nous sommes partis pour une journée de découverte Agen – eh bien, c’est une heure et demie en voiture , donc nous avons voulu profiter de la journée.

Tout allait bien jusqu’à ce qu’ils firent sortir les meubles; il était évident que cette énorme boîte allait tenir dans notre petite voiture. Nick était furieux; nous aurons pu si facilement pris les barres de toit ou de la remorque. Nous avons mesuré la boîte – 204cm. Nous avons mesuré l’espace dans la voiture – 155cm. Nous sommes allés dans Agen, nous calmé avec un bon déjeuner et avions fait un promenade le long du canal où il traverse la rivière sur un pont. Puis retour à la boutique; Nick et deux vendeurs, avec des longeurs de cordon, ont pris la table et des chaises à la voiture pour voir si elles iraient dedans, alors que je n’avais pas le droit de sortir de la boutique jusqu’à ce que je l’avais payé pour les marchandises; mais comme on ne recois qu’un avoir sur les marchandises en retour,  je n’allais pas payer si nous ne pouvions pas les prendre avec nous. La file d’attente s’allongeait à la caisse ( je n’ai aucune idée pourquoi ils ne pouvaient pas servir les gens derrière moi – encore un des mystères de l’achat ici ), quand un des  vendeurs revient pour encore plus cordon, disant qu’il pensait qu’il serait probablement OK .

Finalement assez de la boîte est allé à l’intérieur de la voiture et la porte arrière était attaché fermement sur ​​l’extrémité de la table. J’ai payé, au grand soulagement de tout le monde et nous partîmes pour la maison à un rythme très doux. Pas de photos de meubles aujourd’hui parcequ’il est encore dans son emballage et ne seront pas déballés jusqu’à ce que je termine lasuring le balcon, mais quand nous le déballerons, il y aura une célébration tout à fait !

Fources flower show

The marché aux fleurs at Fources is one of the best in Gascony; set in the heart of a beautiful village, the whole place is filled with plants and flowers of every type, from herbs, fruit and vegetable plants, to plants that attract butterflies and bees, every type of citrus tree you can imagine (and some you can’t), as well as garden sculptures and furniture.

This year, sadly, it rained for the weekend of the show; though that didn’t seem to do anything to dampen the spirits of the stallholders or the hundreds of visitors who attended.

We went on the Sunday, the drier day, kitted out in waterproofs and walking boots. We left the car in the quagmire of a car park, glad to have seen a tractor near the entrance, in case anyone got stuck, but although it had rained all the way there, it stopped just before we arrived, and apart from one heavy downpour in the middle of the day, didn’t start again till we left. At lunchtime we joined hundreds of others for lunch in the salle des fetes; very canteen style, you get your whole meal on a tray and find somewhere to sit at the long tables arranged in the hall. As always at these events, our neighbours at table welcomed us and chatted to us throughout the meal; we’ll probably never see them again, but that doesn’t matter to people around here, who are just so friendly.

We have some idea of the plan for our garden now, so felt justified in buying some plants, though we surprised ourselves when, as if by magic, the whole car was stuffed with vegetation by the end of the day, and my purse contained just a few centimes. Tomatoes, courgettes, aubergines, lemon grass, 11 geraniums, 15 bizzy lizzies, a couple of shrubs and several little, hang-over-the-edge-of-a-wall type plants, as well as two ginko biloba trees, one for the park and another to bonsai.

The house looks ready for summer now, with geraniums across the front and bizzy lizzies on the windowsills; it’ll soon be time to plant out the veg and Nick has plans to build the wall to hang stuff over – roll on summer!

Le marché aux fleurs à Fourcès est l’un des meilleurs en Gascogne; situé au coeur d’un tres beau village, toute la place est remplie de plantes et de fleurs de toutes sortes, d’herbes aromatiques, des fruits et plantes de legumes, des plantes qui attirent les papillons et les abeilles, chaque type d’arbre d’agrumes que vous pouvez imaginer (et certains que vous ne pouvez pas), aussi que des sculptures et des meubles du jardin.

Cette année, malheureusement, il a plu pendant le week-end de lla fete; mais même cela ne semble pas faire quelque chose pour freiner les esprits des marchands ou les centaines de visiteurs qui ont participé.

Nous sommes allés le dimanche, la journée la plus sèche, s’habillés en imperméables et chaussures de marche. Nous avons laissé la voiture dans le bourbier d’un parking, heureux d’avoir vu un tracteur près de l’entrée, au cas où quelqu’un est resté coincé, mais bien qu’il avait plu tout le chemin là, il s’est arrêté juste avant notre arrivée, et en dehors d’une lourde averse dans le milieu de la journée, n’a pas recommencé jusqu’à notre départ. A midi, nous avons rejoint des centaines d’autres pour le déjeuner dans la salle des fêtes; style très cantine, on obtien le repas entier sur un plateau et on trouve un endroit pour s’asseoir sur les longues tables disposées dans la salle. Comme toujours lors de ces événements, nos voisins de table nous ont accueillis et ont bavardé à nous pendant tout le repas; nous allons probablement jamais les revoir, mais cela ne fait rien pour les gens d’ici, qui sont super sympa.

Nous avons une idée du plan de notre jardin maintenant et avons pu acheter des plantes, mais nous nous sommes surpris lorsque, comme par magie, toute la voiture était bourré de végétation à la fin de la journée, et ma porte-feuille ne contenait que quelques centimes. Tomates, courgettes, aubergines, une citronelle, 11 géraniums, 15 impatiens, deux d’arbustes et plusieurs petits  plantes retombants, ainsi que deux arbres ginko biloba, un pour le parc et un autre pour faire bonsaï.

La maison est maintenant prêt pour l’été, avec des géraniums devant et des impatiens sur les rebords de fenêtres; il va bientôt être temps de planter les légumes et Nick fait des plans pour construire le mur pour les plantes retombants – il est presque l’été!

Chick, chick, chick, chick, chicken, lay a little egg for me

Part of our dream of living in Gascony, and renovating a 19th century farmhouse, involved keeping chickens. To be able to collect big, fresh, still-warm eggs from the hen house every day seemed such a luxury when we were still in Harrogate.

So we bought six black Gascony hens and for 18 months we’ve had as many delicious eggs, with deep yellow yolks, as we could use. We made cakes and quiches, omelettes and eggs benedicte; we had huge jars full of pickled eggs, a novelty our French neighbours loved. The real bonus was that they eat almost all the kitchen scraps; vegetable peelings, bread and, their favourite, pastry trimmings.

But a little while ago, we noticed there were fewer eggs appearing in the nesting boxes; perhaps it was the winter weather and things would improve in the spring. But no; numbers continued to fall until, horror of horrors, we had to start buying eggs. We searched everywhere to find where our hens were hiding them; in the goose house, in the undergrowth below the fig tree, in the bamboo, but not one egg did we find. So we consulted the manuals; it appears that fat, contented, over-fed chickens can stop laying. So maybe that’s it.

Our chickens are now on a diet; less bread, no scraps of cake, definitely no more pastry trimmings and Nick’s taking them for three laps of the park every morning, until they start doing their job properly again.

Une partie de notre rêve de vivre en Gascogne, et de rénover une ferme du 19ème siècle, incluait l’élevage de poules. Pouvoir recueillir des grandes œufs frais, encore chauds de la poulailler chaque jour semblait un tel luxe quand nous étions encore à Harrogate.

Donc nous avons acheté six poules noirs de Gascogne  et pendant 18 mois, nous avons eu autant d’œufs délicieux que nous pourrions utiliser. Nous avons fait des gâteaux et des quiches, des omelettes et des œufs Bénédict ; nous avons eu d’énormes bocaux pleines d’oeufs en vinaigre, une nouveauté que nos voisins français aimé bien. Mais le véritable avantage, c’est qu’ils mangent presque tous les déchets de cuisine; épluchures de légumes, du pain et, leur preferé, des excés de pate quand j’ai fait des tartes.

Mais il ya un peu de temps, nous avons remarqué qu’il y avait moins d’œufs figurant dans les nichoirs; c’était peut-être le temps d’hiver et les choses allaient s’améliorer au printemps. Mais non; les numéros ont continué à baisser jusqu’à ce que nous avons dû commencer à acheter des œufs. Nous avons cherché partout pour trouver où nos poules ont été les cacher; dans la maison d’oie, dans le sous-bois en dessous du figuier, dans le bambou, mais nous n’avons trouvé aucun oeuf . Donc, nous avons consulté les manuels; il semble que les poules grosses, contentes, sur-nourris  peuvent cesser de pondre . Alors peut-être que c’est ça .

Nos poulets sont maintenant à un régime; moins de pain, aucun morceau de gâteau, certainement pas plus de garnitures de pâtisserie et Nick les prenant pour trois tours du parc tous les matins, jusqu’à ce qu’elles commencent à faire leur travail correctement à nouveau .

Jungle bashing

It’s that time of year again; the last few weeks of hot, dry sunshine have made everything in our already overgrown, jungle-like garden grow like triffids, but especially the weeds. Nick spends a couple of hours every morning strimming; edges, around trees, banks too steep for the mower; it’s like the Forth Bridge – he hasn’t done it all once yet, but some of it needs cutting again already! And OK, it wasn’t exactly rediscovering the lost gardens of Helligan as I fought my way through the mass of brambles, nettles and general weeds to unearth the strawberry patch, but it was great to find that not only had the plants survived, but they have loads of fruit on, some of it nearly ripe!

We’re picking mange-tout peas every day and the broad beans will soon be ready, but I’ve sown spinach four times now and there’s no sign of anything sprouting. I don’t know what I’m doing wrong.

I took Tracy, one of my students, to Eauze market last week, for a practical French lesson. The sun was shining and the market was buzzing; amongst the usual fruit and veg stalls, the fish vans, the stalls full of sun hats of every shape and size, and the most amazing displays of flowers, was a proliferation of stalls selling fruit and vegetable plants. Green and purple lettuce, tomatoes in every hue, size and shape imaginable, long courgettes, round courgettes, aubergines in white or purple, pepper plants, strawberry plants, raspberry canes……….  I was looking for onions; they come in bundles of a generous hundred, so Tracy asked for a hundred white and a hundred red for me; Nick had asked me to look out for a “cerise St. Martin” chilli plant, so I asked the stallholder, a real character and showman, if he had any. “No, I haven’t any of those, but for you, beautiful English lady, I have something even better.” Tracy and I exchanged glances, wondering what was coming next. “This chilli is the best there is! I’ve only got two left, but I’m giving you one of them as a present. It’s a fantastic aphrodisiac; feed your husband these chillies and he’ll be non-stop – I guarantee!” By this time, he’d got the attention of everybody for several stalls around, all peering to see who he was talking to. Tracy had sidled off, leaving me to deal with the situation as best I could, so I paid and left as quickly as I could, clutching the magic chilli plant.

The amazing chilli is now re-potted and I managed to plant all 260-ish onions in the dust dry earth on Saturday. There was rain forecast for Sunday; though it really seemed unlikely as the sky was still clear blue as I finished gardening at 8pm. But Easter Sunday was the big race day on the circuit in Nogaro; it rains every year and this year was no exception, so the onions were well watered.

 

C’est ce temps de l’année; les dernières semaines de soleil chaud et sec ont fait tout en notre jardin, déjà jungle –  poussent comme triffids, mais surtout les mauvaises herbes. Nick passe quelques heures chaque jour strimming du matin; des bords, autour des arbres, des banques trop raides pour la tondeuse;  il n’a pas encore  tout fait une fois, mais certaines d’entre elles a besoin de couper à nouveau déjà ! Et OK , ce n’était pas exactement redécouvre les jardins perdus de Helligan quand je me suis battu mon chemin à travers la masse de ronces, les orties et les mauvaises herbes générales de dénicher la jardin des fraises, mais c’était super de constater que non seulement les plantes avaient survécu, mais ils ont des charges de fruits, certaines d’entre elles presque mûrs !

Nous ramassons les petits pois mange-tout tous les jours et les fèves seront bientôt prêts, mais j’ai semé des épinards quatre fois maintenant et il n’y a aucun signe de quoi que ce soit la germination. Je ne sais pas ce que je fais mal.

J’ai pris Tracy, un de mes élèves, à Eauze marché la semaine dernière, pour une leçon pratique  de français. Le soleil brillait et le marché était très animé; parmi les fruits et légumes stands habituels, les fourgons de poissons, les étals pleins de  chapeaux de soleil de toutes formes et tailles, a été une prolifération de stands qui  vendent des plantes de fruits et légumes. Salade verte et violet, les tomates dans toutes les couleurs, la taille et les formes imaginables, de  courgettes longues, courgettes rondes, aubergines  blancs ou pourpres, fraisiers, framboisiers ……….Moi, je cherchais des oignons; ils se vendent en paquets d’un généreux cent, donc Tracy a demandé cent blanc et cent rouge pour moi; Nick m’avait demandé de chercher un piment “cerise Saint- Martin”, donc j’ai demandé au vendeur, un vrai caractère et showman, s’il en avait. ” Non, je n’ai pas tout de ceux-ci, mais pour vous, belle anglaise, j’ai quelque chose d’encore mieux. ” Tracy et moi avons échangé des regards, en se demandant ce qui allait arriver. «Ce piment est le meilleur qu’il existe, il ne me reste que deux, mais je vous en offre un comme cadeau. C’est un aphrodisiaque fantastique; nourrir votre mari de ces piments et il sera non-stop – je le garanti!” Par ce temps, il avait attiré l’attention de tout le monde autour, qui regardaient voir à qui il parlait. Tracy avait disparu, me laissant  faire face à la situation du mieux que je pouvais , alors j’ai reglé et suis parti aussi vite que je le pouvais, avec mon piment magie .

J’ai réussi à planter tous les oignons , à peu pres 260,  dans la terre sèche comme la poussière le samedi. Ils avaient prévu de la pluie pour dimanche; mais il semblait vraiment peu probable, parce que le ciel était encore bleu clair quand j’ai fini le jardinage à 20 heures. Mais le dimanche de Pâques était le grand jour de la course sur le circuit de Nogaro; il pleut chaque année et cette année n’a pas fait exception, donc les oignons ont été bien arrosé .