Betty’s day out

Determined not to go back to work until Monday, and the weather being just perfect for a day out in our summer car (owing to the fact that you stand a good chance of getting wet if you take her out in the rain), we took Betty for a day out on Saturday.

First stop the Gallo Roman villa at Seviac; I didn’t realise till we arrived that this was not only Betty’s, but also Nick’s first visit here. The mosaic floors in the villa, built and lived in from the 2nd to 7th centuries AD, are still in amazing condition and there is also a fantastic collection of irises; unfortunately we were a couple of weeks early to see them at their best as only a few were flowering, but that’s a good excuse for another trip.

From there it was only a short way to Larressingle, aka little Carcassonne, a tiny fortified village on top of a hill; I can understand why so may of the houses were for sale – imagine having all those tourists peering into your front garden all summer long!

Then off we sped (well it feels like speeding in Betty!) to Fources, a beautiful village with a circular village green. We had a coffee at the auberge and I took a panoramic photo, but haven’t quite managed to stitch it all together, so when I’ve consulted my son-in-law, an expert in such things, I’ll post it then.

By the time we were heading home we were both famished, so rather than cook we stopped in Nogaro and ate at one of our favourite restaurants; a good end to a good day out.

 

Déterminé à ne pas retourner au travail jusqu’à lundi , et le temps étant parfait pour une journée dans notre voiture d’été (en raison du fait qu’on a des fortes chances qu’on se mouille si on sort sous la pluie ), nous avons pris Betty pour un voyage le samedi .

Premier arrêt; la villa gallo-romaine à Seviac; je ne savais pas jusqu’à nous sommes arrivés que c’était  la première visite ici de Nick. Les sols en mosaïque de la villa, construite et habitée du deuxième au septième siècle de notre ère, sont toujours dans un état incroyable et il ya aussi une fantastique collection d’iris; malheureusement, nous étions un peu trop tôt pour les voir au meilleur; que quelques-uns fleurissaient, mais c’est une bonne excuse pour un autre visite.

De là, il n’y avait qu’un petit trajet à Larressingle, alias petit Carcassonne, un petit village fortifié au sommet d’une colline; je peux comprendre pourquoi plusieurs des maisons étaient à vendre – imaginez tous ces touristes regardant dans son jardin tout l’été!

Puis nous sommes allés à Fourcès, un beau village au tour d’une centre verte. Nous avons bu des cafés à l’auberge et j’ai pris une photo panoramique, mais je n’ai pas tout à fait réussi à coudre tous ensemble, alors quand j’ai consulté mon gendre, un expert en ces choses, je le mettrai à ce site .

En route vers chez nous, nous avions tous les deux un grand faim, donc nous sommes allés au Progres à Nogaro pour manger; une bonne fin à une bonne journée.

A trip to San Sebastian

Having survived 34 years of marriage (yes, Nick has told me he’d get less for murder!), we thought we deserved a few days away. I can’t quite get used to Spain being just a couple of hours drive, but it is, so we went to San Sebastian. Parking there is a nightmare so we booked to stay outside the city in, for us, the almost unpronounceable town of Astigarraga, a 20 minute bus ride from San Sebastian. The B&B was great; geared up mainly for pilgrims on the route of St. Jacques de Compostelle, breakfast was a DIY affair, helping yourself to whatever you liked from the kitchen, including fresh laid eggs. The living room was huge, housing a table for 14 people, and we had it almost entirely to ourselves; the owner was a delight, patiently waiting while I thumbed through my English/Spanish dictionary to find the words I needed as her English was even worse than my Spanish; I’ve come home determined to improve my grasp of the language before our next visit.

Our wedding anniversary was the excuse for the trip, but the real reason was that we were both exhausted, but unable not to work while at home. So we spent our days wandering around the city, drinking freshly squeezed orange juice in pavement cafés, eating paella, ambling along the beach, drinking cider (a surprising local product), eating cod stuffed pimentoes  and climbing the narrow, twisting paths to the top of Mont Urgull, from where there were breathtaking views of the city below. On the last day, having checked out, we walked a little of the pilgrims’ route, which goes straight past the B&B; the weather forecast was horrible for that day, but luckily for us, they got it wrong and we had warm sunshine for a third day in a row.

It’s back to the grind on Monday, but I think our batteries are recharged now; just won’t have to leave it so long till the next break!

 

Ayant survécu à 34 ans de mariage, nous avons décidé que nous méritions à quelques jours de vacances. Je ne peux pas tout à fait m’habituer à l’Espagne étant seulement quelques heures de route, mais c’est vrai, donc nous sommes allés à San Sebastian. Stationer une voiture dans la cité est un cauchemar, donc nous avions réservé en dehors de la ville, à  Astigarraga , un trajet en bus 20 minutes de San Sebastian. La chambre d’hote était super; destiné principalement pour les pèlerins au chemin de Saint Jacques de Compostelle, on se servait pour le petit déjeuner; on pouvait prendre ce qu’on voulait de la cuisine, y compris les œufs pondus frais. Le salon était immense, contenant une table pour 14 personnes, et nous l’avions presque entièrement à nous-mêmes; le propriétaire était charmante, attendant patiemment pendant que je feuilleté mon dictionnaire anglais / espagnol pour trouver les mots dont j’avais besoin parceque que son anglais était encore pire que mon espagnol; je suis rentrée déterminé à améliorer mon maîtrise de la langue avant notre prochaine visite.

Notre anniversaire de mariage était le prétexte pour le voyage, mais la vraie raison était que nous étions tous les deux épuisés, mais incapable de ne pas travailler à la maison. Nous avons donc passé nos journées à errer autour de la ville, boire le jus d’orange fraîchement pressé en terrasses de cafés, de manger de la paella, déambulant le long de la plage, boire du cidre (un produit local surprenant ), manger morue  farcis de piments et monter les chemins étroites et tortueux vers le haut du Mont Urgull, d’où il y avait une vue imprenable sur la ville en contrebas . Le dernier jour, après avoir quitté la chambre d’hote, nous avons marché un peu de la route des pèlerins; les prévisions météo était mauvais pour ce jour-là, mais heureusement pour nous, ils se sont trompés et  il a fait beau pour une troisième journée consécutive .

On doit reprendre du travail lundi, mais je pense que nos batteries sont rechargées maintenant; il ne faut pas attendre si longtemps jusqu’à la prochaine pause !

Practice makes perfect

For weeks we’ve been looking at alternative finishes for the space above the bow window in the new house. Finally we agreed on a solution; to cover up the existing beam and the rails that support the plasterboards with some wood to look like a beam. But should it look new, like the rest of the window, or old, like the beams that support the roof? I thought old, but when Nick tried it in place, he thought it looked too heavy; I loved it though and think it’s just a case of getting used to it, so it’s staying. It’s a lovely old chunk of oak which has cleaned up beautifully and to make it look even more authentic, he’s attached it with rusty old nails – very rustic!

It’s taken me weeks to fill the plasterboard joints in my workroom, doing at least two hours most days, before and after classes, and more when I’m not teaching. It was always intended to be the practice run, but I’ve filled and sanded, then filled again, then sanded some more, then found more bits that needed filling, then sanding, again and again, till finally, I’m reasonably happy with the end result. At that rate I thought it would take months to complete all the filling, until last week, when at last, I think I’ve got the hang of it. The plaster is now going on fairly smoothly and doesn’t need much sanding at all; as an added bonus I’m getting a lot faster too.

Pendant des semaines, nous avons examiné les finitions alternatives pour l’espace au-dessus d’une fenêtre dans la nouvelle maison. Enfin, nous avons convenu d’une solution; pour couvrir le faisceau existant et les rails qui supportent les plaques de plâtre avec un peu de bois pour ressembler à une poutre. Mais faut-il avoir un air de nouveau, comme le reste de la fenêtre, ou vieux, comme les poutres qui soutiennent le toit? J’ai cru que vieux, mais quand Nick l’a essayé en place, il pensait qu’il avait l’air trop lourd; moi, je l’ai aimé bien et je pense que c’est juste une affaire de s’habituer à elle, donc elle va  rester. C’est un beau vieux morceau de chêne qu’il a  rendu encore plus authentique par l’attaché avec de vieux clous rouillés – très rustique!

Il m’a fallu des semaines pour remplir les joints de plaques de plâtre dans mon atelier, faisant au moins deux heures presque tous les jours, avant et après les cours, et plus encore quand je ne fais pas de cours. Il a toujours été destiné à être la pièce ou je fais mon entrainement, mais j’ai rempli et poncé, puis rempli à nouveau, puis poncé un peu plus, encore et encore, jusqu’à  finalement, je suis assez satisfait avec le résultat final . À ce rythme, je pensais que cela faudrait des mois à compléter tout le remplissage; jusqu’à la semaine dernière, quand enfin, je pense que je m’en suis habituée. Je peux appliquer le platre maintenant assez lisse et il ne faut pas beaucoup de ponçage apres; comme un bonus supplémentaire, je le fais beaucoup plus rapide aussi.

Seven hours in the badlands

The Audax club is an international cycle club that specialises in longer rides; somebody has organised a brevet, a 200km ride, under the auspices of the Nogaro club, to be run in a few week’s time. So the president of our club decided to reconnoitre the route yesterday, heading into the Landes, the neighbouring departement, and opened it up to anyone who wanted to join him.

There are speed limits on Audax rides; you have a minimum as well as a maximum time limit to complete them, but Nick hadn’t realised the organiser would stick to these on the reccy.

It was not quite light when he left the house, to meet at the gite at 7.30am and he expected to be home by 5.30 at the latest, even if they only averaged a very gentle 25kph and stopped for a two hour picnic. It was actually 7.30pm by the time he reappeared, cold because he had put so little effort into the riding, hungry, and complaining that he’d been bored to death, that the long, straight roads through the forests made Australia look interesting. He said he’d passed the time trying to count the pine trees, and measuring the distance between houses. I think he’s washing his hair the day of the official ride.

Le club Audax est un club de cycle international qui se spécialise dans les longs trajets; quelqu’un a organisé un brevet, une balade de 200 km, sous les auspices du club de Nogaro, et on le fera en avril. Le président de notre club a décidé de reconnaître la route hier, elle va dans les Landes, le département voisin, et  il a invité tous ceux qui voulaient se joindre à lui.

Il ya des limites de vitesse sur les manèges Audax, avec un minimum ainsi que d’un délai maximal de les compléter, mais Nick n’avait pas attendu que l’organisateur s’en tiendrait à ces derniers sur le reconnaître.

Ce n’était pas tout à fait la lumière quand il a quitté la maison, pour arriver au gîte à 07h30 et il pensait de rentrer par 17h30 au plus tard, même si ils ne faisaient qu’en moyenne 25km à l’heure et arrêtés pour un pique-nique de deux heures. Il était en fait 19h30 au moment où il a réapparu, froid, car il avait mis si peu d’effort dans la circonscription, affamé, et protesta qu’il avait été ennuyé à la mort aux routes droites, plats et longues. Il a dit qu’il avait passé du temps à essayer de compter les arbres de pin , et de mesurer la distance entre les maisons. Je pense qu’il a laver ses cheveux le jour de la course officielle.

Fete de Saint Mont, or berets, berets everywhere and more than a drop to drink!

This weekend was the Fete de Saint Mont, a wine producing area that encompasses several villages, all of which take part in the festival. We started at the village of St. Mont itself; we intended to arrive in time for the mise en perce, when they tap into the first barrel of last year’s wine (well, I think that’s what it is), but spent so long driving round, looking for a parking space that we missed it. But not to worry, the festival atmosphere was everywhere, from the stalls throughout the village, selling everything from pottery to lettuce plants, and  from paintings exhibited in the church on the top of the hill to jars of home produced local honey. The local bandas band was playing as they ambled through the streets of this beautiful little village which was decorated everywhere with banners and most of the villagers were dressed in medieval type costumes. But it was the headgear that was the most striking; it has to be said that berets were definitely de rigeur this weekend and everybody who was anybody was wearing one, mostly black, but a few beige and cream too. As we’d gone in the Renault, Nick had his to hand – well he has to wear it when out and about in our favourite little sports number!

We decided to stay in St Mont for lunch, joining the queue outside the foyer rurale as we waited our turn to be served, canteen style, a tray containing garbure, foie gras en papillote, salade de gesiers, magret de canard and croustade, served, of course, with a glass of local wine and coffee. Incredibly, it was all served hot and beautifully cooked, even though there were several hundred people eating. We were lucky enough to find a couple of seats inside, out of the cool breeze that blew all day, and near to the stage where a  group of wine growers serenaded us with traditional songs in a number of different local languages, including Gascon and Bearnaise. By the time we finished our meal, people were still queueing outside.

Lunch out of the way, we walked through the village to the cave, where the wine is produced. It’s done on an industrial scale, so there’s nothing quaint about it, but the huge stainless steel containers are an impressive sight. There Nick bought the other essential accessory for the day – a wine glass on a string that hangs around the neck; suitably attired, he tasted several wines and bought three cases which were loaded into the Renault for us by two lovely gentlemen who posed for a photo for me. Everybody working at the fete is a volunteer, mostly vineyard owners and workers, so they’re all really friendly and the atmosphere is great.

From St Mont, we went to the Chateau de St Go, which had an art exhibition among the indoor wine storage containers and then on to Aignan, where a local celebrity chef was demonstrating a recipe for tournedos de canard à l’orange. Of course, Nick had to do more tasting at each stop, so by the time we got home, he was very comfortable in his beret.

Ce week-end était la fête de Saint Mont, une zone viticole qui regroupe plusieurs villages, qui tous participent à la fête. Nous avons commencé dans le village de Saint- Mont lui-même, nous avions l’intention d’arriver à temps pour la mise en perce, quand ils puiser dans le premier baril de vin de l’année dernière (enfin, je pense que c’est ce qu’il est) , mais nous avons passé si longtemps à la recherche d’ une place de parking que nous l’avons raté . Mais ce n’etait pas grave, l’ambiance de fête était partout, des stands partout dans le village, où on pouvait acheter toutes sortes de choses. Le groupe de bandas locale jouait quand ils déambulait dans les rues de ce beau petit village qui a été décoré  pour la fete et la plupart des villageois étaient vêtus de costumes médiévaux. Mais c’était la coiffure qui était le plus frappante,  tout le monde qui était quelqu’un portait un beret Gascon, la plupart en noir , mais quelques uns beige et crème aussi . Comme nous y sommes allés dans la Renault, Nick a eu le sien à portée de main.

Nous avons décidé de rester à Saint- Mont pour le déjeuner, de rejoindre la file d’attente à l’extérieur du rurale de foyer où nous attendions notre tour pour être servi, style cantine, un bac contenant garbure, foie gras en papillote, salade de gésiers, magret de canard et croustade, servi, bien sûr, avec un verre de vin local et du café. Incroyablement, tout etait  chaud et bien préparé, même s’il y avait plusieurs centaines de personnes qui voulaient manger. Nous avons eu la chance de trouver des places à l’intérieur, hors de la brise fraîche qui soufflait toute la journée, et à proximité de la scène où un groupe de vignerons  ont chanté des chants traditionnels dans plusieurs différentes langues locales, y compris Gascon et Béarnaise.


Déjeuner terminé, nous avons marché à travers le village au cave, où le vin est produit. Nick a acheté l’autre accessoire indispensable pour la journée – un verre sur une chaîne qui pend autour du cou; convenablement vêtu, il a goûté plusieurs vins et acheté trois cartons que deux beaux messieurs, qui ont posé pour une photo pour moi, ont mis dans la voiture. Tout le monde qui travaille à la fête est un bénévole, la plupart etant les propriétaires viticoles et leurs travailleurs, de sorte qu’ils sont tous vraiment sympa et l’ambiance est super .

De St Mont , nous sommes allés au Château de St Go, ou il y avait une exposition d’art parmi les récipients de stockage de vin à l’intérieur , puis à Aignan , où un célèbre chef local a fait la démonstration d’une recette de tournedos de canard à l’orange . Bien sûr, Nick a du déguster à chaque arrêt , donc au moment où nous sommes rentrés chez nous, il etait très à l’aise dans son béret .

Little by very slow little…

At last, a mere 10 months after the installation of our photovoltaic panels, the men from ERDF have been round to start the hook-up to the grid; only start, mind, after all, you can’t rush these things. They will be back to do the rest……., but when asked how long that would take, they were somewhat reluctant to say. Still, we feel we are on the right track at last.

The heating installer has returned, too, to finish the central heating system. We now have a pompe à chaleur outside the house; it works by taking calories from the air and using them to warm a fluid that will run in the pipes under the floors. He said we’d try it out tomorrow, when he’s fitted the radiators in the rooms that don’t have underfloor heating. It’ll be lovely to be able to walk around barefoot in the winter on tiled floors!

Nick hasn’t been idle recently; our old compost bins had composted themselves, so he and Kieran cleared out the compost and dug foundations for new bins. Nick’s built them in breeze block this time and will make the fronts of planks so they’re removable. He crepied part of the garage wall and just needs to finish that off once the mortar is dry, so he can stand on the bins – and once the weather picks up again. After two weeks of glorious sunshine, it’s been back to winter for the last few days, with cold winds and sudden hailstorms blowing in from nowhere. Roll on spring!

En fin, seulement 10 mois après l’installation de nos panneaux photovoltaiques, les hommes de ERDF sont venus commencer faire la raccordement. Ils n’ont pas terminé; il faut plus de temps pour ça, mais on a le sens maintenant que, peut etre un jour, on sera connecté à la toile electrique.

Le monsieur que fait l’installation du systeme de chauffage est revenu aussi; il y a un pompe à chaleur derrière la maison maintenant et il va revenir demain pour installer les radiateurs où on n’aura pas du chauffage sous-sol. Il a dit qu’on pourra l’essayer demain; il sera tellement bon de pouvoir marcher pieds nus au carrelage en hiver!

Nick a été bien occupé recemment; les anciens composteurs sont devenus du compost, donc il les a débarrassé et a construit des nouveaux en parpaings. Il a fait la moitié du crepi au mur du garage, mais doit attendre que le ciment seche avant de faire la reste, quand il peut travailler d’en haut des composteurs. Il faut, aussi, attendre le beau temps; apres deux semaines d’un temps magnifique, on est rentré dans l’hiver, avec un vent froid et des orages de greles. Vivement le printemps!

Let battle commence!

There’s little love lost between the goose and myself; it’s an aggressive creature that attacks anyone who isn’t Nick and I think sees me as a rival for his affections. It even cornered me in my workshop last week when I was filling joints (in the plasterboard); fortunately there was a sweeping brush handy that I could use to fend it off until Kieran came to my rescue.

It was time to give the grass in the park its first cut of the year; with all the rain we’ve had, followed by the warm sun of the last week, it was getting really long. I decided to collect the cuttings as they would be too long to mulch down if left, so I put the collecting box on the back of the tractor. I never go into the park without a big stick, so I can protect myself from the goose if necessary, but normally, it leaves me alone if I’m on the mower. Today, though, was different; halfway across the garden, it decided to make its move, hurtling across the grass towards me and pecking viciously at the tractor tyres and engine cover. At least it wasn’t me this time, I thought, once I’d beaten it off with the stick. But a minute later, the tractor engine cut out, leaving me stranded in the middle of the park, with an angry looking goose hovering nearby. I considered my chances of reaching the gate safely, but the beast was between me and my emergency exit and Nick had gone into Nogaro to buy breeze blocks, so no help was at hand. The mower wouldn’t start again; I knew I’d have to dismantle it and clear the damp grass from its innards, a task that takes at least 5 minutes. There was nothing else for it; I’d have to leave the relative safety of the mower seat and take my chances out in the wild. I got down, clutching my stick and looking as mean as I could, I surrounded myself with pieces removed from the mower, all the time keeping an eye on the goose. It stood and watched with one beady eye for a while, but then started lowering its head, hissing and edging towards me. I stood firm, holding the length of bamboo ready to ward off the approaching enemy; but to my relief and amazement it slowed, stopped and eventually backed off. A small battle won, though not, I suspect, the war.



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Le jar et moi-même nous detestons cordialement; c’est une créature agressive qui attaque quiconque n’est pas Nick et je pense me voit comme un rival pour son affection. Il m’a même acculé dans mon atelier la semaine dernière quand je remplissais joints dans la plaque de plâtre; heureusement il y avait une brosse de balayage maniable que je pourrais utiliser pour le repousser  jusqu’à Kieran est venu à mon secours .

Il était temps de couper l’herbe au parc pour la première fois de l’année; avec toute la pluie que nous avons eu, suivie par le chaud soleil de la semaine dernière, il est devenu vraiment longue. J’ai décidé de recueillir les tontes car ils seraient trop longs à composter si je les avais laissé, donc j’ai mit le truc que collecte l’herbe à l’arrière du tracteur. Je ne vais jamais dans le parc sans un gros bâton, donc je peux me protéger contre le jar si nécessaire, mais normalement , il me laisse seule quand je suis à la tondeuse . Aujourd’hui, cependant, était différent; mi-chemin à travers le jardin, il a décidé de faire son mouvement, dévaler à travers l’herbe vers moi et picorer méchamment les pneus du tracteur et le capot du moteur. Heureusement ce n’était pas moi cette fois, j’ai pensé, une fois que je l’avais battu avec le bâton. Mais une minute plus tard, le moteur du tracteur s’est arreté, me laissant brin au milieu du parc, avec un jar en colère tout près. J’ai considéré la possibilité d’atteindre le portail en toute sécurité, mais la bête était entre moi et ma sortie de secours et Nick était allé à Nogaro pour acheter des parpaings, donc aucune aide n’etait disponible. Je ne pouvais pas rallumer la tondeuse; je savais que je dois la démonter et enlever l’herbe humide de ses entrailles, une tâche qui faut au moins 5 minutes. Il n’y avait rien d’autre à faire, je dois quitter la sécurité relative du siège de la tondeuse et prendre mes chances dans la nature. Je suis descendue, serrant mon bâton; je me suis entourée de pièces retirées de la tondeuse, tout le temps en gardant un œil sur le jar. Il est resté sur place, en me regardant d’un œil de fouine pendant un certain temps, mais ensuite il a commencé baisser la tête et faire des sifflements quand il m’approchait. Je suis restée ferme, tenant la longueur de bambou prêt à parer l’ennemi, mais à mon grand soulagement et d’étonnement, il a ralenti, s’est arrêté et finalement fait marche en arrière . Une petite bataille gagnée, mais pas, je crois, la guerre .

Happy St. Patrick’s Day!

Last week was pretty busy; the weather has been glorious recently, so we tackled some outside jobs, such as lasuring the colombage beams on the garage front and crepi-ing between them, painting inside the roof of the balcony and starting construction of some new compost bins. The old compost bins were such a raging success that, built of old, slightly rotten floorboards from the grange, they composted themselves. The new ones will be built of breezeblock.

The highlight of the week, for me anyway, was Saturday night, when the band had been asked to play at a St. Patrick’s Day celebration. Adrian agreed to provide a mixing desk and play the role of sound man, so we arrived at the salle des fetes in Izotges at 4pm to start setting up. The evening was organised by the village line dancing group; tickets for the meal were sold out by the previous Monday and when we got there, the ladies were shredding lettuce, grating carrots, making mayonnaise and putting the finishing touches to the Guiness casserole for 130 people, while the men were decorating the room and the tables, all in green and orange.

By the time we started playing at 7.30, the room was filling up; those who had left it too late to book a meal came along to sample the large selection of beers and to listen to the music, while those who had booked tucked into a lovely meal. Once the dinner was finished, lots of people made use of the space in front of the stage to dance. Having a “professional” sound man made such a difference to us; not just in the way you’d expect, but it seemed to make everyone raise their game a notch or two and I think we played really well as a result. Certainly everybody was very complimentary.

By the time we finished, at 1.30 this morning, we were tired but elated; and having had just a couple of short breaks from playing during the six hours, I don’t think I was the only one with very sore fingers!

Pendant le beau temps qu’on a eu recemment, nous en avons profité par faire quelques travaux exterieurs, comme lasurer le bois du garage, peindre dans la toiture du balcon et commencer construire des nouveaux composteurs. Les premiers composteurs, construit des planchers un peu pourri de la grange, ayant auto-composté, les nouveaux seront en parpaing.

Mais pour moi, le moment le plus marquant de la semaine etait samedi soir, quand on avait demandé à notre groupe, etCelterra, de faire l’animation pour une fete de St. Parick à Izotges. Notre ami, Adrian a accepté de faire le mixage; donc nous sommes arrivés à 16heures à faire notre préparation. L’association de country d’Izotges avait organisé la fete et quand nous sommes arrivés les dames etaient en train de préparer le repas pour 130 gens, pendant les hommes decoraient la pièce et les tables, tout en vert et orange. Tous les billets pour le repas etaient vendus en avance, mais ceux et celles qui ne pouvaient pas manger sont arrivés à gouter la grande selection de bières et écouter la musique.

Nous avons joué de 19H30 pendant que les gens mangaient un très bon repas; plus tard ils ont dancé jusqu’à nous avons fini à 1h30 dimanche matin. Je crois que les gens etaient bien amusés; certainement ils etaient très flatteurs à propos de la musique.

Nous sommes tous rentrés heureux et fatigués, et apres six heures de jouer, je crois que je n’etais pas la seule qui avait mal aux doigts!

 

In response to requests

Friends have recently made suggestions for two changes to the blog; one is that I use it to advertise gigs that the band is doing, for folks living locally and, of course, for our world-wide network of fans (well I can dream!) So below is the poster for our gig for St. Patrick’s day – Kate and Rob; this is for you!

The other suggestion is that I write in French as well as English, so I’ll give it a try when I’ve got time and am not too tired. It’s a good way for me to improve my language skills if French speakers will correct my many mistakes.

On m’a demandé faire quelques changements à mon blog; le premier est que je l’ecris en français aussi qu’en anglais; donc, je l’essayerai quand j’ai le temps et je ne suis pas trop fatiguée. Je sais que je fais pas mal d’erreurs, donc j’espère que les français qui le lisent me corrigeraient; comme ça je me perfectionerai en français. Mais pour mes etudiants qui le traduisent de l’anglais; ce n’est pas une traduction exact.

L’autre suggestion etait que j’emploie mon blog à faire des petits annonces à propos des concerts que fait EtCelterra, le groupe avec qui je joue. Donc, ci-dessous est une fiche pour la fête de Saint Patrick – venez nombreux!

 

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Writing course

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Our friend, Geoff, who lives in Nogaro, is a writer; he’s had 31 books published, so in my opinion at least, that makes him a proper writer. He suggested running a one day writing course, so my friend, Sue and I went along, more out of curiosity and a shared desire to “try anything new” than for any other reason.

There were seven of us in total and apart from Sue and myself, they were all writers or aspiring writers! Four of them were working on novels and one had published an e-book on getting your confidence back to start horse riding again. I felt quite in awe of these dedicated, lovely people; two mothers of young children, trying to juggle their families’ needs with paid work and their literary ambitions; a man working full time at a local hospital who writes between shifts; the horse riding lady who is a retired doctor, who struggled to get her “doctor” status left out of her name on the cover; and an elderly lady who’s been writing her novel for years, had paid for a professional critique and as a result is now re-writing the book. Oh yes, and Sue and I, with no intentions of becoming authors.

The course wasn’t about the nitty gritty of putting words on the page, but gave a general overview of what’s involved in writing a book; the tools, the process, the research, and how to get published amongst other things. In one exercise we were shown a picture, the silhouette of a man standing in a small boat at sunset, a rifle in his hands, near a Scottish looking croft, next to which was a car; we had two minutes to write the synopsis of a story. Then Geoff played us some weird sounds and we did the same again. The variety of ideas was amazing! We also covered such things as methods for getting over writer’s block, what to do if you don’t like the way your main character is developing and how many words constitute a novel.

The course overran its allotted time, but by the end the writers on it were persuading Geoff to run a series of follow up courses, to tackle such subjects as character development and building the plot ; they were all very keen to have regular meetings, with him as leader/teacher. I was rather sorry to say that I won’t be joining them; I’d enjoyed the day so much, but I’ve too much to do and too little time in which to do it anyway, so I must prioritise. Apart from that, the sheer hard graft involved is mind blowing! I think I’ll just stick to my little blog and hope that you enjoy reading it enough to visit again.

For anyone who’s interested, have a look at     http://www.geoffholder.com/